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Atmo Bourgogne Franche-Comté a lancé une opération de prélèvement des pollens d’ambroisie. L’ambroisie est une plante hautement allergisante : 5 grains de pollen par mètre cube d’air suffisent pour que les symptômes apparaissent chez les sujets sensibles (rhinite, conjonctivite, asthme, urticaire, eczéma...).

Huit capteurs sont impliqués dans cette surveillance en région Bourgogne Franche-Comté : Montbéliard, Besançon, Dole, Bletterans, Mâcon, Dijon, Chalon et Nevers. Les objectifs de cette étude portent sur l’évaluation de l’exposition aux pollens d’ambroisie dans la région, l’estimation de l’origine géographique des pollens captés ainsi que le suivi de l’évolution des taux au fil des ans. Les prélèvements ont démarré ce mardi 28 juillet et les résultats seront diffusés chaque vendredi durant cette campagne, à compter du 13 août, sur internet via la page www.atmo-bfc.org/ambroisie . Cette étude prendra fin lorsque la pollinisation de la plante sera terminée, aux alentours de début octobre.

2021, un suivi exceptionnel dans le Haut-Doubs

Outre cette campagne de surveillance mise en œuvre depuis plusieurs années, le suivi de l’ambroisie se fait également dans le Haut-Doubs pour cette année 2021. La mise en place d’un capteur à Valdahon, en collaboration avec la Communauté de Communes des Portes du Haut-Doubs, permettra de comparer les observations à celles des huit  autres sites polliniques de la région et de vérifier si la zone est encore relativement épargnée par la présence de l’ambroisie ou non

Suite à l’épisode de gel du mois d’avril 2021, des mesures d’aides sont mises en place par l’État. Parmi ces mesures figure un dispositif de prise en charge des cotisations sociales, par la Mutualité Sociale Agricole, pour les exploitants et employeurs de main d’œuvre les plus touchés par le gel.

L’imprimé de demande de prise en charge est en ligne sur le site de la Mutualité Sociale Agricole: https://franchecomte.msa.fr/lfy

 

La Chambre d’agriculture de Bourgogne Franche-Comté demande « formellement » aux pouvoirs publics de prendre toutes les mesures nécessaires pour stopper le retour du loup. Elle demande « systématiquement » l’abattage de celui-ci dès les premiers signes de présence à proximité des élevages. « Il doit en être de même pour les lynx aux comportements déviants » ajoute-t-elle.

Selon l’instance, « les attaques meurtrières et destructrices de troupeaux s’enchaînent village après village et les dispositifs de protection démontrent les limites de leur efficacité ». Pour la Chambre d’agriculture, « l’activité d’élevage déjà fragilisée dans notre région n’est pas compatible avec la présence du loup et du lynx ».

Il est demandé à l’Etat français « d’être responsable des prédateurs dont il a fait le choix d’assurer le développement ». Et de conclure : « les indemnisations des dommages faites aux troupeaux doivent être sans conditions, rapides et à hauteur des pertes réelles, car aujourd’hui, les seuils d’indemnisation des pertes directes et indirectes sont très largement sous-évalués. Ces indemnités doivent également prendre en compte le temps passé, le stress et la détresse des éleveurs impactés ».

La préfecture du Doubs indique que l’alerte aux crues est maintenue pour l’Allan, le Doubs et la Loue. Une vigilance jaune est également d’actualité pour l’Ognon en amont et en aval de la Linotte.

Le Doubs : Les pluies observées depuis le début de semaine provoquent une lente hausse du Doubs. Les niveaux de premiers débordements et dommages localisés seront observés sur Doubs en journée de vendredi motivant son placement en vigilance jaune. Les niveaux seront stables à Voujeaucourt à 00h00 mais continueront leurs hausses à Besançon.

La Loue : Les pluies observées depuis le début de semaine entrainent une hausse des niveaux de la Loue. Les précipitations observées ces dernières heures s'atténuent progressivement avant de cesser en matinée de vendredi. Après une hausse marquée durant la nuit de mercredi à jeudi et en matinée de jeudi, les niveaux sont stabilisés sur l'amont du tronçon avant d'entamer une lente décrue. A Ornans, le maximum de la crue devrait être atteint à 20h00 avec une cote légèrement supérieure à 1m80. Une très lente décrue suivra.

Comme chaque été, la base nautique des Grangettes et les clubs partenaires organisent ce samedi la journée éco-aquatique. Il s’agit de la 13è édition.

Au programme ( animations gratuites) :

De 13h30 à 18h : animation nature
De 14h30 à 17h : nettoyage des rives du lac
A 21h : projection en plein air.

Le public est invité nombreux à participer à cet évènement.

A compter du 7 juillet, et jusqu’au 30 juillet, la direction Biodiversité et Espaces verts de la Ville de Besançon organise les « journées de Chailluz ». Il s’agit de nombreuses animations qui permettront à tout un chacun de découvrir la nature.

Au programme : des balades « découvertes » des insectes et des arbres, des spectacles vivants en musique, lecture et atelier tissage en plein air, grimpe dans les arbres ou encore activités ludiques et découverte des bois.

Les places sont limitées. Réservation obligatoire par mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Toutes les infos sont à découvrir sur www.besancon.fr


Ce dimanche, les citoyens de la conférence citoyenne sur l’avenir des Vaîtes ont remis leur rapport à Anne Vignot, la Maire de Besançon. 80% des 51 participants ont donné un avis favorable, 5% ont voté contre et 15% se sont abstenus. Par ailleurs, 36% de ses membres soutiennent l’hypothèse d’aménagement sans construction de nouveaux logements et 44% soutiennent l’hypothèse d’aménagement avec construction limitée de logements.
Une chose est certaine à une très nette majorité, personne ne souhaite voir une modification profonde du quartier. Il est refusé catégoriquement l’idée de création de 500 logements neufs par an pour assurer une croissance de la population à Besançon. Si construction il doit y avoir, et en référence aux 300 logements proposés par an par d’autres études, il est signifié l’importance de réhabiliter ou transformer les logements vétustes existants, de friches artisanales, commerciales et industrielles, présents sur le quartier des Vaîtes ou plus généralement sur le territoire bisontin. Selon les représentants de ce collectif, il est primordial de « préserver et développer des espaces naturels. Et ce, en raison des enjeux environnementaux et climatiques ».

Neuf zones délimitées

Pour être le plus précis possible, les participants ont défini le quartier en neuf zones. Certaines devant être préservées « intégralement ». Si construction il devait y avoir, les nouveaux bâtiments construits devront l’être « avec un faible impact environnemental » et « des espaces verts devront être prévus ». Concernant l’école Tristan Bernard. La priorité reste le projet de réhabilitation de la structure actuelle, jugeant qu’un projet d’une telle ampleur « ne répond pas aux besoins » déclinés. Si une construction, là encore, est envisagée, elle devra s’effectuer « sur un autre périmètre ».

Suivi des préconisations

Concrètement, les membres de la conférence citoyenne demandent « qu’au cours des prochains conseils municipaux, une délégation soit présente ». Rappelons que le projet des Vaîtes sera à l’ordre du jour du Conseil Municipal du 30 septembre prochain. Ils demandent également « à être informés de toutes les décisions juridiques et politiques qui seront prises à propos des Vaîtes ». Enfin, méfiants, ils s’interrogent « sur la réelle prise en compte de (leur) avis ». Sur ce point, Anne Vignot les a également rassurés et leur a signifiés qu’elle leur répondra tout d’abord personnellement et qu’elle s’assurera du respect du suivi de cette démarche citoyenne.

Demain, samedi, l’association « Vivre au pied du Mont d’Or », soutenue par des élus et des associations franco-suisses, organise un action à la douane de Vallorbe. Il est prévu une distribution de tracts, avec barrage filtrant à hauteur de la douane.

L’objectif étant de dénoncer le projet éolien Bel Coster, qui prévoit l’installation de neuf éoliennes de 210 mètres de hauteur. Les manifestants pointent un projet qui va détériorer le paysage. Actuellement, un combat judiciaire est en cours.

Un recours a été déposé auprès du tribunal cantonal du canton de Vaud. D’autres actions juridiques sont prévues si le collectif est débouté.

L'interview de la rédaction : Le président de l'association "Vivre au peid du Mont D'or"

Une nappe verdâtre fluo, non identifiée, a été constatée sur le bassin baignade de l’étang de Brognard, dans le pays de Montbéliard. Selon les spécialistes de la biodiversité, il pourrait s’agir d’un développement d’algues microscopiques. Selon les sapeurs-pompiers, ces microphytes sont inoffensives pour la faune et la flore. Des analyses de l’eau sont néanmoins en cours pour vérifier cette hypothèse.

La Ville de Besançon demande une reconnaissance de l’état catastrophe naturelle pour la sécheresse de l’année 2020 auprès de la préfecture du Doubs. Comme les années précédentes, un certain nombre de propriétaires ont constaté des fissures sur leurs maisons et biens immobiliers, en raison sans doute de la sécheresse des sols. Le dossier est désormais dans les mains de l’état, qui statuera sur cette situation. La Ville rappelle que les propriétaires concernés doivent signaler les dégâts auprès de leur assureur.