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Du 9 au 13 novembre, Coopilote et ses partenaires de la Fabrique à Entreprendre organisent une semaine dédiée à l'entrepreneuriat féminin à l'ère 2.0. Compte tenu de la situation sanitaire du moment, il a été décidé d’organiser des évènements en distanciel, sous la forme de webinaire. La rédaction a rencontré Catherine Humbert chargée d’accompagnement des entrepreneurs pour Coopilote, implantée à Besançon ( Parc Lafayette – 7 rue A. de Vigny).

Mme Humbert le constate encore aujourd’hui, les femmes restent minoritaires dans le domaine de la création d’entreprise. Seulement 30% d’entre elles se donnent le droit de devenir chef d’entreprise. D’où tout l’intérêt de cette semaine thématique. Ainsi, l’objectif est de prévoir un temps pour passer en revue les différentes étapes, les compétences et les thématiques permettant de se lancer dans cette belle aventure de l’entrepreneuriat. Chaque jour une thématique différente est proposée : «  de l’idée au projet Â» « stratégie commerciale Â» ou encore « plan de financement et compte de résultat Â». Si les mentalités bougent un peu, il reste encore à faire évoluer la société. Notamment en donnant à ces femmes volontaires et ambitieuses la confiance et l’estime dont elles ont besoin pour réussir pleinement. Ces dernières doivent également parvenir à endosser cette nouvelle fonction, en réussissant à faire coïncider leurs vies personnelle, familiale et professionnelle. Ce qui n’est pas toujours aisé. « Toutes ces choses sont encore à travailler, à échanger Â» explique Mme Humbert. Autres points intéressants à souligner, le management d’une femme, diffère de celui d’un homme. Ses capacités dans les domaines des relations humaines sont appréciées par leurs collaborateurs. Il apparaît également qu’une entreprise créée par une femme a une durée de vie et une rentabilité beaucoup plus longues que celles créées par des hommes. « Ces entrepreneuses proposent au monde une nouvelle manière de vivre l’économie Â» conclut Mme Humbert.

Pour participer à ces rendez-vous, il suffit de s’inscrire, via l’adresse mail suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.. Un lien vous sera envoyé afin de vous connecter pour suivre à distance les interventions prévues. Téléphone : 03.81.95.48.91

L’Union Départementale des Sapeurs-Pompiers du Doubs indique que, pour l’heure, les soldats du feu et les 73 amicales, présentes dans les centres d’incendie et secours du Doubs, n’effectuent pas, pour l’heure en tout cas, leur traditionnelle tournée chez les habitants pour la distribution de leur calendrier annuel.

En fonction de la situation sanitaire du moment, ils espèrent pouvoir la relancer début décembre. Dans le cas d’une prolongation du confinement, des solutions seront trouvées pour que chaque foyer puisse recevoir son traditionnel calendrier.

A Pontarlier, à compter de ce mardi 3 novembre, le centre de dépistage permanent du Covid-19 est déplacé à la salle Toussaint Louverture du théâtre Bernard Blier. Et ce, pour faire face à l’afflux de personnes. Les prélèvements nasopharyngés seront assurés par les deux laboratoires de la ville. Le site est ouvert du lundi au vendredi de 8h à 17h30 et le samedi de 8h à 12h.

Les analyses se font sans rendez-vous, mais s’adressent aux personnes disposant d’une prescription médicale, ayant été contactées par l’Assurance maladie ou par l’Agence régionale de Santé ou les professionnels de santé ou assimilées intervenant à domicile.

« Les personnes avec ou sans symptômes sans prescription médicale ne sont plus acceptées Â» précise le communiqué de presse. Si vous devez réaliser un test avant une opération, veuillez-vous rendre au laboratoire de biologie médicale le plus proche de chez vous.

Mobilisation ce mardi matin devant les lycées de Besançon. Les jeunes dénoncent les conditions sanitaires dans ces établissements scolaires. Ils pointent certaines règles "incompréhensibles" et leur crainte quotidienne de se rendre au lycée. Ils le disent clairement, « ils ne veulent pas tomber malades pour des raisons purement économiques Â».

Au lycée Pasteur, parmi les points qui suscitent leur incompréhension : l’accueil au self , dans un espace confiné, et sans le port du masque et des classes pouvant atteindre 35 élèves. Mathéo ne le cache pas, petit à petit, les effectifs des classes se réduisent. Pour la sienne, avant les vacances scolaires, sur un groupe de 35, seuls 19 jeunes ont terminé ces si premières semaines de cours, les autres étant considérés comme cas contact.

Une mesure radicale

Si l’idée de faire blocus est différemment appréciée, les lycéens de Pasteur souhaitent être associés aux réflexions portant sur la mise en place du protocole qui définit les mesures de distanciation physique. « C’est peut-être radical, mais c’est le seul moyen pour être audible Â». Pour l’heure, les lycéens ne se sont pas exprimés sur les suites qu’ils entendent donner à cette première mobilisation.

Dans un communiqué de presse, Fannette Charvier et Eric Alauzet, les députés de la République En Marche du Doubs, réagissent aux divergences que suscite la mise en place de certaines mesures liées au reconfinement de la France. Cela concerne notamment, la fermeture des petits commerces de proximité. Les deux parlementaires, proches d’Emmanuel Macron, expliquent que « dans ces moments d’extrême gravité, l’injonction paradoxale et les postures démagogiques devraient être bannies ».

Selon eux, « les vaines querelles et les arrêtés ou attitudes venant d’élus de la République hypothèquent gravement nos chances de réussite ». Et de conclure : « Ne perdons jamais de vue qu’il s’agit de sauver des vies et d’éviter des séquelles de cette maladie sournoise. En limitant le nombre de malades, nous préserverons notre système de soins et les soignants ».

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