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Ce mardi, une nouvelle journée de grève et d’action contre la réforme du lycée et de l’université s’est tenue à Besançon, comme partout en France. Une cinquantaine de personnes, enseignants, lycéens et étudiants, s’est rassemblée devant le rectorat, avant de défiler en ville.

Concrètement, les manifestants demandent le retrait de la réforme de l’accès à l’université et du projet d’un nouveau baccalauréat. « Non aux facs d’élites, non aux facs poubelles, non aux facs concurrentielles Â», « contre leurs facs réservées aux riches. Pour une fac libre et auto gérée Â» ou encore ‘Parcoursup = illégalité. Loi appliquée mais non votée Â» pouvaient-on lire sur les banderoles déployées.

« Il y a beaucoup de mesures qui vont s’enchaîner et qui auront des conséquences en termes de suppressions de postes dans les années à venir Â» explique cet enseignant. Selon les adultes présents, les ambitions du gouvernement pour accompagner les jeunes dans leur scolarité et leur entrée dans le supérieur sont « des mots en l’air Â». « Il n’y a pas assez de moyens pour encadrer des élèves qui sortent de terminale Â».

Du côté des jeunes manifestants, l’inquiétude est également bien réelle. « Ceux qui ne savent pas quoi faire vont se retrouver dans la m…, si cette loi passe. Il faut aider les jeunes à savoir quoi faire dans leur avenir. Malheureusement, la situation se détériore. Il n’y a plus assez d’adultes dans les établissements scolaires et les universités. Les moyens ne sont plus suffisants Â» explique ce jeune homme. « Le projet d’avenir, c’est une université ouverte, libre, gratuite et émancipatrice. Les projets de loi ne sont pas en adéquation avec cela Â» conclut cette étudiante.

Mon Plaisir à Chamesol, L'Etang du Moulin à Bonnétage et Le France à Villers-le-Lac sont les trois restaurants étoilés du Pays Horloger qui dans la nouvelle promotion du Guide Michelin ont conservé chacun leur étoile. Une bonne nouvelle pour chacun des restaurateurs concernés et pour l'ensemble du territoire qui dispose là d'un argument supplémentaire pour son attractivité touristique.

Cette démarche vise à instaurer une réelle coopération et mutualisation entre les services publics d’urgence. La France compte en effet, aujourd’hui environ 450 centres de traitement des appels d’urgence (15, 17, 18, 112) qui travaillent de façon cloisonnée et ne partagent pas toujours d’information en temps réel.

Prêts à abandonner leur célèbre numéro d’appel, le 18, les pompiers souhaitent en effet voir le 112 devenir le numéro d’urgence unique : « Il permet de joindre les services d’urgence de tout type (sapeurs-pompiers, police, SAMU). Ce numéro fonctionne même depuis un téléphone verrouillé ou ne disposant pas d’une carte SIM. Il peut être composé sur un fixe comme sur un téléphone portable, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 Â».

Avec pour le grand public une meilleure lisibilité et pour les secours la certitude de mieux traiter les demandes avec une prise en charge plus rapide des urgences. « Lorsque vous faites un arrêt cardiaque, à chaque minute qui passe, vous perdez 10% de chances de survie ! Un numéro d’urgence unique peut permettre de traiter plus rapidement les urgences et de favoriser une meilleure coordination à partir du moment où les différents services publics travaillent au même endroit », explique la FNSPF.

Aujourd'hui à Pontarlier, 140 collégiens de 5è ont été sensibilisés aux dangers de la route. Les élèves du collège Philippe Grenier ont eu la chance de vivre une simulation de chute à bord d'un "car pédagogique" créé par la société Agora.

Par groupe de 12 et pendant trente minutes, Emmanuel Klett directeur de la société Agora formation et formateur leur explique par le biais d'images et de vidéos l'importance du port de la ceinture en cas d'accident, et surtout en cas de renversement du car scolaire.

Après la théorie vient la pratique. Le car chute, les élèves doivent se détacher et s'entraider pour sortir par la sortie de secours située sur le toit.
La simulation de chute s'effectue en 17 secondes, mais les élèves ont bien retenu que dans la vie un car qui roule à 80km/h met uniquement 3 secondes pour se renverser.

Dans une ambiance détendue, le message est passé, "si on met la ceinture c'est pour nous, parce que l'on tient à la vie et pas seulement pour faire plaisir à nos parents" disent les collégiens après être sortis du car.

La chute du car vue de l'extérieur

Il ne suffit pas, pour qu'un sinistré soit indemnisé au titre de la loi, que ses biens aient été endommagés dans une zone touchée par une violente inondation par exemple. Il faut d'une part qu'il ait contracté une assurance et d'autre part que l'Etat déclare sa commune en Etat de catastrophe naturelle.

 

Normalement, une indemnisation de sinistre se fait au cas par cas. Dans le cas d'une catastrophe naturelle, ce dispositif (Loi n° 82-600 du 13 juillet 1982 relative à l'indemnisation des victimes de catastrophes naturelles) a été pensé pour indemniser de façon automatique toutes les personnes ayant contracté une assurance et qui se trouvent dans la commune reconnue sinistrée par un arrêté ministériel.

 

Les victimes sont alors indemnisées sur la base de la garantie «catastrophe naturelle» figurant dans leurs contrats ou à hauteur d'une franchise légale. Attention, les personnes non assurées ne toucheront rien, même si elles sont dans la zone concernée. 

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