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Un homme, domicilié dans l'arrondissement de Pontarlier, a été interpellé ce mardi, à 13h, pour une infraction routière.

Dans le même temps, les policiers ont retrouvé un couteau à cran d'arrêt dans son véhicule. L'arme a été saisie. L’individu a reconnu et sera convoqué pour une réponse pénale. 

A Pontarlier. Un homme de 47 ans devra s’expliquer en juin prochain devant la justice. Il est soupçonné d’avoir battu sa femme, qui s’est vue prescrire 5 jours d’ITT.

Dimanche, le quadragénaire s’est présenté alcoolisé au commissariat de police. Il a été placé en cellule de dégrisement et en garde à vue. Il a ensuite été déféré devant le parquet bisontin.

En attendant sa comparution devant un juge, il a été placé sous contrôle judiciaire, avec interdiction de rentrer en contact avec sa compagne.

Comme le revendique Jérémy Coley agriculteur à Uzelle (canton de Rougemont) et porte-parole départemental, la Confédération paysanne a une vision optimiste « à condition de sortir de la logique de surproduction qui domine. On voit aujourd’hui des fermes s’agrandissent au détriment des petites qui elles disparaissent ».

Une vision que ne partage pas son syndicat qui prône pour des exploitations à taille humaine « avec un nombre d’hectares et d’animaux cohérents. Nous devons évoluer comme la société avec à l’esprit la proximité et la qualité qu’exigent les consommateurs ».

L’assemblée générale était cette année marquée par la présence du porte-parole national Laurent Pinatel venu traiter du thème de l’engagement des politiques en matière d’agriculture. Insatisfait du projet de loi présenté à la suite des Etats Généraux de l’Alimentation il déplore que la répartition des marges soit toujours un gros problème entre les producteurs d’une part et la grande distribution et les transformateurs d’autre part, les agriculteurs ayant l’impression de ne pas voir leur travail justement rémunéré.

Circuits courts, glyphosate, accords de libre-échange et importations de viandes…les sujets abordés par le responsable national n’ont pas manqué. La réforme de la Politique Agricole Commune (PAC) prévue en 2020 fait aussi partie des préoccupations avec une baisse prévue des aides revenant à la France. Aides que la confédération paysanne aimerait voir distribuée autrement : « Il faudrait passer d’une aide à l’hectare à une aide à l’actif pour enfin sortir de ce modèle productiviste source de nombreux problèmes sociaux comme environnementaux ».

A Besançon. Le projet de réhabilitation du site de la Rhodiacéta, que l’on domine en arrivant de Pontarlier et de la Suisse, entre dans une phase importante. Tout au long de cette année 2018, les travaux de désamiantage et de déconstruction de cette friche industrielle vont être menés. L’objectif étant de créer, pour le deuxième semestre 2019, un superbe parc dédié aux loisirs, à la culture et au sport. Précisons qu’une partie du site industriel sera conservé pour permettre l’accueil du SNB, le club de canoë kayak et d’aviron de Besançon, et d’un équipement culturel complémentaire à La Rodia. L'ensemble du projet - déconstruction, sécurisation du site, dépollution et reconversion paysagère - devrait s'élever à 5 millions d’euros.

Toute une histoire

Rappelons que ce site industriel fait partie de l’histoire industrielle de Besançon. Jusqu’en 1983, cette usine chimique, spécialisée dans la soierie et le fil de nylon, était en activité. Durant ses heures les plus riches, elle comptait jusqu’à 3.000 salariés. Désormais propriété de la Ville de Besançon, après plus de trente ans de péripéties judiciaires, ce site, racheter à l’euro symbolique, va donner une nouvelle image à cette entrée de ville peu valorisante. Les Bisontines et les Bisontins sauront se l’approprier.

Les amicales des Sapeurs-Pompiers de la Cluse et Mijoux, de Montperreux et des Verrières de Joux organisent ce vendredi soir un grand concert de la chandeleur.

40 musiciens pompiers professionnels ou volontaires monteront sur scène pour leur ancien collègue Christian Bosson aussi appelé "Boboss".
Cet ancien chef de centre des Verrières de Joux a appris il y a deux ans qu'il souffrait d'un cancer du foie et d'un cancer du côlon.
Les médecins lui laissaient trois mois à vivre, un choc donc pour lui et ses collègues. Un premier concert avait alors été organisé pour lui permettre de financer son traitement qui vient tout droit des Etats-Unis et qui n'est pas remboursé.

Aujourd'hui Boboss est toujours là et ce vendredi ses collègues se mobilisent pour un second concert. "Nous savons tous qu'il va nous quitter, mais l'idée avec ce concert c'est de le voir heureux, et de l'accompagner" explique le capitaine Guyot.

Rendez-vous donc à la salle des fêtes de la Cluse-et-Mijoux vendredi soir à 20h30 pour ce concert solidaire.

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