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L'accident de la circulation survenu peu avant 14h sur la RD83 à Saint-Amour (39) implique un camion grue seul qui s'est couché sur le côté suite à une sortie de route. Aucun blessé n'est à déplorer. La société Jura Lèv va faire le nécessaire pour le relevage du véhicule.

C’est un véritable fléau qui touche la cité comtoise. Même si la présence des policiers sur le terrain a permis de réduire le nombre de ces infractions, les rodéos restent importants et un problème que les forces de l’ordre entendent bien éradiquer à Besançon. 

Preuve à l’appui, depuis le mois de mai dernier, et après le calme hivernal, les rodéos ont repris du service. Avec le retour des beaux jours et l’arrivée des vacances d’été, les policiers s’attendent à de nouveaux délits. Entre octobre 2017 et juin 2018, 19 engins ont été placés sous scellés et une trentaine d’autres dossiers sont en cours au service d’intervention d’aide et d’assistance de proximité (SIAAP). Des Pee-Wees, des quads, des motocross de 80, 125, 250 ou 450 cm3 sont actuellement stockées dans les hangars du commissariat de police à la Gare d’eau.

En plus de circuler sur des engins non homologués, ces individus, principalement des hommes, âgés entre 15 et 40 ans, multiplient les infractions routières : mise en danger de la vie d’autrui, perturbe la tranquillité du voisinage, non port du casque, recel de vol. A Besançon, les secteurs de Planoise et Palente Orchamps sont particulièrement convoités. Des rassemblements, via les réseaux sociaux, sont également régulièrement organisés. Il n’est pas rare de voir alors débarquer une dizaine de participants. Grâce à Facebook, Snapchat, aux caméras de vidéosurveillance et aux appels d’habitants, excédés, la police bisontine peut mieux cibler les endroits et interpeller les contrevenants. Des interpellations qui ne se font pas toujours en flagrant délit. Et ce, pour éviter l’accident et la mise en danger des autres usagers de la route et des piétons. Néanmoins, la police bisontine l’assure, « tous les individus qui commettent des délits sont inquiétés Â». Si certains tentent de dissimuler leur visage, les moyens technologiques actuels et la perspicacité des policiers permettent très souvent de les confondre.

Même après une condamnation ou une interpellation, ces pratiquants n’ont pas conscience de la dangerosité de leur comportement. Pourtant, ils s’exposent à de la prison ferme et à la destruction de leur engin, dont le coût peut très vite se chiffrer à plusieurs milliers d’euros pour une motocross neuve puissante. A Besançon, il y a quelques jours, une fillette a été renversée et blessée par un jeune en scooter.

Bernadette Barreira, Vice-Présidente de Familles Rurales Association de Couvrot a décidé de fêter sportivement plusieurs anniversaires et de pédaler pour la bonne cause au profit de la recherche médicale. C’est ainsi qu’elle effectue du samedi 19 mai au mercredi 27 juin 2018, son nouveau tour de France et cette fois-ci en longeant les frontières et côtes Françaises.

A ce périple, Nadette « La Cyclotte », c’est son surnom, souhaite marquer les 70 ans de la fondation pour la recherche médicale et du Mouvement Familles Rurales, sans oublier son propre anniversaire le 27 juin, dernier jour de son périple. Elle fêtera elle aussi ses 70 ans, tout un symbole !

Nadette met donc ses muscles au service d’une bonne cause puisqu’elle réalise une collecte de dons aux profits des services « Cardio vasculaire » et « Diabète » de la Fondation pour la recherche médicale.

Son périple passait par Avoudrey où la Fédération Familles Rurales du Doubs associée à l’association Familles Rurales du village ainsi qu’au Centre Communal d’Action Sociale et à la Mairie ont décidé d’organiser son arrivée. Le Vice-Président de la Fédération du Doubs, Bernard Lime a rejoint Nadette au point de départ de son étape à Dommartin et a pédalé à ses côtés jusque Avoudrey.

A leur arrivée, les membres des Conseils d’Administration de l’association et de la Fédération ont accueilli Nadette la Cyclotte et son équipage au travers de la remise de deux chèques au profit de la Fondation pour la recherche médicale. La Mairie et le CCAS du village étant eux aussi associés à cette remise de chèques. En effet, l’association d’Avoudrey avait installé tout au long de la semaine, deux vélos d’appartements devant la Mairie du village pour que chacun puisse venir donner un coup de pédale pour un coup de main. Chaque kilomètre effectué permettait de récolter dix centimes d’euros. Pas moins de 900 kilomètres ont été effectués par les habitants d’Avoudrey au profit de la Fondation pour la recherche médicale.

Nadette a pu également écouter les enfants du périscolaire qui avait grâce au travail de l’équipe encadrante, appris une chanson intitulée « Comme Nadette sur son vélo ». Un ravitaillement de produits locaux a clôturé cet événement avant de repartir pour d’autres kilomètres.

Naissances :

15/06/18 – Andel de Ervin NDOU, sans profession et de Diljana VOCRRI, sans profession.

15/06/18 – Talha-Ömer de Erkan KARDES, magasinier et de Ümmü KACMAZ, sans profession.

15/06/18 – Eva de Pierre DEKONINCK, logisticien et de Laura MONNET, approvisionneuse.

16/06/18 – Lio de Johann BRIOT, galvonoplaste et de Laëtitia GUILLEMAUT, ouvrière en horlogerie.

16/06/18 – Kélia de Johanne BISHOP, mécanicien automobile et de Blandine LATRASSE, secrétaire.

16/06/18 – Lidzy de Sébastien CORNU, maçon et de Jessie GUGLIELMINI, vendeuse.

16/06/18 – Ambre de Maximin AMIOTTE-PETIT, employé bureau technique et de Karine DARD, bijoutière.

17/06/18 – Noé de Joël PILLOUD, technicien de production et de Hélène RENAUD, coiffeuse.

18/06/18 – Alizée de Jérôme BELPOIS, vendeur et de Claire DANTAN, comptable.

18/06/18 – Alice de Jérémy LEBOUCHER, chef de projet industriel et de Jennyfer BOSCH-CANO, dessinatrice industrielle.

19/06/18 – Hydaelyn de Johan BOZON, agent de sécurité et de Alice PESCHON, sans profession.

20/06/18 – Victoire de Sébastien DUBIEZ, technicien de laboratoire et de Anaïs TOITOT, pédicure podologue.

20/06/18 – Maëlan de Anthony BÔLE-RICHARD, horloger et de Angélique SAILLARD, infirmière.

20/06/18 – Malone de Thomas BROCARD, électricien et de Maud BORDY, ambulancière taxi.

20/06/18 – Camron de Colas GIGANDET, exploitant agricole et de Chloé BARBIER, agent de sécurité.

20/06/18 – Lou de Matthieu NICOD, technicien de production et de Anneline JEANNET, chef d’équipe.

20/06/18 – Ylan de Yohan MARGOTEAU, agent de sécurité et de Guetty VITULIN, aidesoignante.

20/06/18 – Yzia de Régis POURCHET, gestionnaire de stock et de Typhanie CHARDON, auxiliaire puéricultrice.

20/06/18 – Stella de Jérémy CARMINATI, électricien et de Mélanie BONNET, employée administratif.

21/06/18 – Léna de Charlie PONÇOT, lamineur et de Julie MIMRAM, laqueuse.

22/06/18 – Nélan de Mohammed-Zoheir TEBIB, ouvrier qualifié et de Marion REMETTER, esthéticienne.

Publications :

20/06/18 – Frédéric MONNIER, technicien de maintenance et Lucie TETAZ, manager commercial.

Mariages :

23/06/18 – Ali BANAZLI, gérant et Ebru MUTLU, étudiante.

23/06/18 – Kevin POIROT, chauffagiste et Coralie PROVOST, cuisinière.

Décès :

19/06/18 – François JACQUEMARD, 53 ans, aide-soignant, domicilié à Charency (Jura), époux de Véronique GRÉMION.

19/06/18 – Alain MOYSE, 75 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Gabrielle BOUCARD.

20/06/18 – Michel COURTET, 85 ans, retraité, domicilié à Villers-sous-Chalamont (Doubs), époux de Denise GUIGNARD.

20/06/18 – André SAILLARD, 74 ans, retraité, domicilié à Sombacour (Doubs), époux de Andrée GUIGNARD.

20/06/18 – Auguste CREPEL, 88 ans, retraité, domicilié à Montperreux (Doubs), époux de Paulette DECREUSE.

Voilà encore un dramatique événement qui va donner matière à réflexion sur l’utilité ou plutôt l’utilisation des réseaux sociaux. Souvenez-vous, il y a quelques semaines déjà, lors des portes ouvertes des sapeurs-pompiers de Montbéliard, lors d’une manÅ“uvre, une impressionnante chute est filmée et, bien entendu aussitôt relayée sur les réseaux sociaux. En mode, car c’en est une mais qui dure et se développe, « j’ai tout vu j’y étais Â». L’issue de cet accident ayant été finalement moins grave que ce qu’elle aurait pu être, la polémique est rapidement passée.

Ce qui s’est passé en Italie récemment, un imbécile prenant un selfie avec en fond une victime fauchée par un train…jamais oh grand jamais ça ne pourrait arriver chez nous. Et pourtant, non seulement c’est arrivé très vite en France et tout près de chez nous.

Comment ne pas être en effet écÅ“uré, le mot est faible, et relayer ici l’appel lancé ces derniers jours par les proches de Johann, décédé dans un accident de moto à Mathay la semaine dernière : « certaines personnes ont filmé le massage cardiaque, et se sont amusées à diffuser ça sur internet…Merci de partager ce message en masse afin que nous retrouvions ces personnes, ainsi que ceux qui ont pris des photos Â».

Quels commentaires ajouter à cela ? Qu’au moment où tout le monde est connecté et veut voir, savoir et faire savoir il y a des limites ? Les mots manquent tellement c'est évident. Mais pas pour tout le monde visiblement. A chacun d’entre nous sans doute de faire un examen de conscience et d’y réfléchir.

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