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Tout au long de ce mois d’octobre se déroule « le mois sans tabac Â» partout en France. Une opération nationale pour sensibiliser le grand public aux dangers du tabac et l’inviter à se mettre en marche pour stopper la cigarette. La nocivité est bien réelle. Le tabac est l’addiction qui engendre la plus grande dépendance au niveau physique, psychologique et comportemental. Le tabac tue. En moyenne, entre 75.000 et 80.000 morts sont recensés chaque année. En 2020, plus de trois adultes de 18-75 ans sur dix déclaraient fumer, soit 32%, et un quart déclaraient fumer quotidiennement (25%), selon le dernier baromètre de santé publique France. Preuve que ces chiffres sont inquiétants, toujours dans notre pays, le nombre de femmes, touchées par le cancer du poumon, devrait dépasser celles touchées par un cancer du sein.

Une prise en charge pluridisciplinaire

Seule une prise en charge pluridisciplinaire permet de sortir les fumeurs de cette emprise. Plusieurs actions sont menées, le plus souvent en parallèle. Cela passe par des consultations médicales, qui permettent de prendre en charge la dépendance physique, avec une substitution en nicotine, un accompagnement psychologique, qui permettra la mise en place de thérapies comportementales et cognitives et, si besoin, des rendez-vous auprès d’une diététicienne pour éviter la prise de poids.

Comment participer ?

Au cours de cette 7è édition du Mois Sans Tabac, les fumeurs volontaires sont invités à s’inscrire via le site dédié et à se préparer à faire face au tabac dès le 1er novembre. Un accompagnement personnalisé est proposé. Cette opération a fait ses preuves. Peggy Benoît de l’association Tab’agir explique qu’un sevrage d’un mois multiplie par cinq  les chances d’arrêter de fumer.

Pour obtenir de plus amples informations : www.tabagir.fr

L'interview de la rédaction : Peggy Benoît

 

SNCF voyageurs indique qu’après la journée de mobilisation pour les salaires de ce mardi, le trafic ferroviaire reprend progressivement ce mercredi. Néanmoins, quelques lignes TER resteront perturbées. Pour obtenir de plus amples informations : www.ter.sncf.com

Afin d’assurer l’approvisionnement des véhicules prioritaires, le préfet du Doubs a pris une nouvelle décision. Ainsi, tous les jours de la semaine, de 14h à 16h, la station Carrefour express à Vercel-Villedieu-le-Camp dispose d’une file réservée aux collecteurs de lait et aux véhicules transportant de l’alimentation animale. Elle s’ajoute à la station-service Netto de Valdahon qui s’organise ainsi également. La préfecture précise que les vétérinaires ont été inclus à la liste des professions prioritaires.

Grande journée de mobilisation interprofessionnelle ce mardi. Les salaires et les réquisitions sont au cÅ“ur des revendications. Des perturbations sont à prévoir dans les administrations, l’éducation nationale ou encore les transports. La mobilisation dans les lycées professionnels devrait être suivie. La reforme concernant ces établissements ne passent pas. La suppression de près de 50% des heures de cours, au profit de stages en entreprise est contestée. « L’adaptation constante des formations dispensées par l’éducation nationale au monde économique Â» est fustigée.

Plusieurs rassemblements sont annoncées : à 10h30, place Pasteur à Besançon et à 17h, devant les préfectures de Dole, Lons-le-Saunier et Saint-Claude.  A l’éducation nationale, les enseignants ont prévu de se rassembler, ce mardi, à 10h, en assemblée générale devant chaque lycée professionnel. A 15h, ils participeront à un rassemblement académique sur la place du 8 septembre à Besançon.

L'interview de la rédaction / Nathalie Faivre ( syndicat SNES/ FSU)

 

Ce lundi, à la mi-journée,  policiers et magistrats se sont rassemblés sur le parvis du palais de justice de Besançon. Ils sont venus dire leur opposition à la réforme de la police judiciaire, portée par Gérald Darmanin, le Ministre de l’Intérieur. Ce dernier veut réorganiser ce service, fer de lance de l’investigation en France. Les professionnels sont inquiets et craignent de perdre leur indépendance. Avec un renforcement de l’autorité des Préfets, ils redoutent l’intervention du politique dans leur action au quotidien.

Rappelons que cette réforme, que Gérald Darmanin présente comme « la plus ambitieuse depuis 40 ans Â», prévoit de placer la PJ, comme les autres services de police, sous l'autorité d'un directeur départemental de la police nationale, dépendant du préfet. Â« Cette réorganisation dissimule des bouleversements majeurs qui sont de nature à porter gravement atteinte à l’efficacité des enquêtes et surtout à l’indépendance de la justice. Elle sacrifiera une filière hautement spécialisée sur l’hôtel du traitement de masse de la délinquance au quotidien Â» explique Alexandra Chaumet, déléguée régionale du syndicat de la magistrature.

L'interview de la rédaction / Alexandra Chaumet, déléguée régionale du syndicat de la magistrature

 

Une grande journée de mobilisation pour les salaires et les contre les réquisitions se déroulera ce mardi 18 octobre. En Franche-Comté, plusieurs rassemblements sont prévus. Les manifestants se donnent rendez-vous : à 10h30, place Pasteur à Besançon et à 17h, devant les préfectures de Dole, Lons-le-Saunier et Saint-Claude.  

 A l’éducation nationale, les enseignants ont prévu de se rassembler, ce mardi, à 10h, en assemblée générale devant chaque lycée professionnel. A 15h, ils participeront à un rassemblement académique sur la place du 8 septembre à Besançon.

Concernant l’épidémie de Covid 19. La circulation du virus affiche toujours une tendance à la hausse dans la région. Le taux d’incidence en population générale augmente encore cette dernière période pour atteindre 750 cas pour 100 000 habitants en Bourgogne-Franche-Comté. le  taux de positivité des tests, proche de 34%, enregistre également une progression. La circulation virale concerne toutes les classes d’âges, et notamment les personnes les plus âgées.  Si la situation hospitalière reste à ce stade maîtrisée, les indicateurs marquent une nouvelle hausse.

Ce samedi 15 octobre, c’est la journée mondiale de sensibilisation au deuil périnatal. Dans ce cadre là, Sandrine Capelli, alias Nimbè’s, sort sur les réseaux sociaux et sa chaîne Youtube, une chanson, baptisée « place des anges Â». Sandrine en est l’auteure et l’interprète. Le Pontissalien Gilles Petitjean s’est chargé de la musique. Le mortuacien Phil Clémence s’est occupé des arrangements. Quant à la vidéo, elle a été réalisée par la société Smize Production, basée à Oye-et-Pallet.

Domiciliée dans le Haut-Doubs, cette maman a voulu parler de sa douleur à travers cette chanson. Il lui a fallu plusieurs années,  après la perte de son enfant,  avant de pouvoir trouver les mots capables de traduire avec la plus grande des justesses ses émotions, sa peine et sa souffrance. Pas toujours facile pour ces femmes, qui ont ressenti durant plusieurs mois la vie en elle, d’être entendues et comprises. « Nous sommes très peu écoutées. Nous avons peu de soutien. C’est très dur de se remettre de tout cela, de se relever physiquement. J’en porte encore les traces et les séquelles » affirme-t-elle.

Porteuse de vie et d’espoir

Comme le témoigne Sandrine Capelli, « ces femmes vivent un véritable choc Â». Le plaisir de donner la vie se transforme en un véritable cauchemar.   La déchirure est immense. « Vous avez un corps qui est censé donner la vie et tout d’un coup tout s’arrête Â» ajoute-t-elle. Autant que faire se peut, Sandrine a trouvé dans la musique un moyen d’entrer en résilience. Être en capacité de mettre des mots sur des maux. Parvenir à exprimer cette souffrance qui prend tellement de place dans le quotidien. A travers sa démarche, il y a bien sûr la recherche du meilleur pour soi, mais aussi l’envie de partager, de témoigner pour d’autres. « Expliquer que rien n’est perdu et que la vie continue Â». Comme elle le dit si bien, « partager un message d’espoir Â». Et de conclure : « Il y a toujours un après. Même si le futur nous semble peu envisageable lorsque cela nous arrive, il faut garder espoir. La vie continue… Â».

De nouveaux projets

Sandrine Capelli n’envisage pas de s’arrêter là. Celle qui a toujours aimé chanter, ambitionne de sortir prochainement un nouvel EP ou un nouvel album. De nombreux textes n’attendent que cela. Cette maman artiste du Haut-Doubs veut continuer à raconter la vie. Elle veut poursuivre sa guérison et aider, par son talent et son empathie, celles et ceux que le quotidien n’épargne pas.

Pour retrouver Nimbè’s. Rendez vous sur sa page Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100086263913072 et sa chaîne YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCg6C5ZMiX3IJmBtPohbBABg

L'interview de la rédaction

La Ville de Besançon indique qu’elle maintient les illuminations de Noël. Néanmoins, dans un souci de limiter la facture, il a été décidé de réduire la période d’illumination, qui passera de 5 à 4 semaines. L’amplitude horaire évolue également puisque les lumières de Noël scintilleront de la tombée de la nuit à 22h, et non plus jusqu’à minuit. A l’exception du 24 et du 31 décembre.  

Par ailleurs, les commerçants sont invités à programmer l’heure d’extinction de leur vitrine le plus tôt possible.  Il est également rappelé que « pour réaliser des économies d’énergie et limiter la pollution lumineuse Â», les bâtiments patrimoniaux ne seront plus éclairés à l’exception du 24 et 31 décembre.

Rappelons que ce samedi se déroule la manifestation nationale le « Jour de la Nuit Â». Dans ce cadre-là, chacun est invité d’éteindre ses lumières extérieures à partir de 20h30.  

Ce jeudi, dans le cadre du dispositif mis en place pour faciliter l’approvisionnement en carburants des véhicules prioritaires, le Préfet du Doubs a décidé de mobiliser deux nouvelles stations-services. Il s’agit de la Station Avia – Moulin Maugain à Pontarlier, dont une file est réservée aux véhicules prioritaires et la station Netto à Valdahon, dont une file spécifique est réservée aux collecteurs de lait.

Rappelons que cette organisation est assurée tous les jours de 14h à 16h. Six sites étaient déjà concernés dans le Doubs : trois pour l'arrondissement de Besançon, deux pour celui de Montbéliard et un pour Pontarlier, aux Hôpitaux-Neufs.