La gendarmerie du Jura attribue un carton rouge à un motard, flashé à 217 km/h sur son engin de grosse cylindrée dans le secteur de Moirans-en-Montagne, dans le sens Saint-Claude – Lons-le-Saunier, mercredi après-midi. Rappelons que la vitesse est limitée à 90 km/h sur ce territoire jurassien. Son permis de conduire lui a immédiatement été retiré. Sa moto a fait l’objet d’une immobilisation judiciaire. Il devra également s’expliquer prochainement devant la justice.
Ce mercredi matin, vers 8h30, à Besançon, un automobiliste a été interpellé par la brigade motorisée, rue de la Pelouse. Il était en défaut de permis de conduire, d’assurance et de contrôle technique. Il a été placé en garde à vue. Au cours de son audition, le trentenaire a reconnu les faits en précisant qu’il venait d’acheter le véhicule avec lequel il a été contrôlé et qu’il souhaitait le tester. Il a été remis en liberté dans la journée et devra s’expliquer le 23 juin prochain devant la justice.
On l’a appris hier. Camille, une enfant, enlevée il y a 11 ans à Carqueiranne par sa mère, a été retrouvée en Suisse, près de Lausanne. Elle se trouvait en compagnie de cette dernière, qui a immédiatement été interpellée. En 2011, cette maman, ingénieure militaire, avait enlevé son enfant à son ex-conjoint, Alain Chauvet, qui en avait la garde. La mère de famille n’a jamais réussi à obtenir la garde exclusive de la petite fille, aujourd’hui âgée de 16 ans.
Ce vendredi après-midi, Etienne Manteaux, le Procureur de la République de Besançon, a fait le point sur l’affaire des tirs survenus le 11 février dernier, vers 9h40, sur la place Cassin, à Besançon. Un ressortissant étranger a été blessé par une arme à feu de petit calibre au niveau du genou. Touché à proximité d’un café, l’homme est parvenu à rejoindre, à pied, la pharmacie la plus proche.
Entendue, la victime, qui s’est vu prescrire quatre jours d’ITT, a pu désigner son agresseur. Les enquêteurs bisontins, à l’aide des caméras de vidéosurveillance, ont pu retracer l’itinéraire de fuite des deux personnes impliquées dans cette affaire. Leur véhicule a pu être identifié et son propriétaire appréhendé lors de son retour à Besançon, il y a deux jours. Il a été placé en garde à vue, puis en détention provisoire.
Lors de son audition, il a reconnu faire partie de ce duo. Il a cependant précisé qu’il n’était pas le possesseur de l’arme. Il a expliqué avoir accompagné son ami pour régler un différend, portant sur un trafic de tabac. Précisant également qu’il ne savait pas que ce dernier était armé. Justifiant ainsi sa fuite à Marseille et en Tunisie pendant quelques jours.
Les investigations se poursuivent. Les enquêteurs concentrent leurs recherches sur le deuxième homme, toujours en cavale. Celui qui aurait donné les coups de feu.
Un individu de 23 ans devra s’expliquer le 22 août prochain devant le tribunal correctionnel de Besançon. Mercredi soir, lors du meeting de Philippe Poutou, il a mis un coup de poing à un militant du Nouveau Parti Anticapitaliste. Le ton est monté lorsque le mis en cause et un groupe de sept personnes ont arraché des affiches du candidat à l’élection présidentielle.
L’homme était alcoolisé. Il présentait un taux de 1,08 gramme d’alcool dans le sang. Dans sa voiture, les policiers ont découvert une matraque télescopique. Un brassard avec une croix gammée a également été découvert à son domicile lors d’une perquisition.
Le chauffeur biélorusse, à l’origine de l’accident matériel, survenu mercredi, en début d’après-midi à Besançon, entre Beure et Micropolis, a été condamné à six mois de prison avec sursis, assortie d’une interdiction de conduire tout véhicule terrestre en France. Les tests d’alcoolémie ont permis d’établir qu’il conduisait avec 1,64 gramme d’alcool dans le sang. Rappelons que cet accident avait occasionné d’importantes perturbations dans le secteur bisontin.
A Besançon, un magistrat dijonnais a été condamné à 2 ans de prison, dont un an ferme, ce vendredi, pour avoir proposé le viol de sa fille de 13 ans sur des sites libertins. Il pourra effectuer sa peine sous surveillance électronique. L'ancien juge pour enfant sera inscrit sur le fichier des auteurs d'infractions sexuelles.
Dix-sept personnes ont été interpellées dans toute la France, notamment dans le Doubs dans le cadre d’une affaire ciblant le chanteur Eddy de Pretto. L’artiste avait subi des insultes homophobes et des menaces de mort sur les réseaux sociaux après une prestation dans une église en juin dernier. Ce sont 3.000 messages d’insultes et menaces de mort qui ont été envoyés en quelques jours. Ces harceleurs en ligne seraient des inconnus de la justice.
Un jeune homme de 24 ans était encore en rétention judiciaire ce jeudi matin à Besançon. Hier soir, vers 21h, il a été interpellé par les policiers de la BAC à l’intérieur du tramway, à hauteur du Boulevard Allendé. La patrouille s’est souvenue que celui-ci faisait l’objet d’une fiche d’écrou pour exécution de peine. Lors d’un précédent jugement, cet individu avait été condamné à 6 mois d’emprisonnement ferme. Il a été interpellé et conduit au commissariat de la Gare d’Eau sans incident.
A Pontarlier. L’aide à domicile, soupçonnée d’avoir dérobé plus de 5000 euros à une dame de 92 ans, a reconnu les faits. Elle s’expliquera en juin prochain devant la justice. Durant sa garde à vue, elle a avoué avoir réalisé deux vols. L’un ayant été commis en 2019. Le préjudice total est estimé à 6.000 euros. Il s’agit d’espèces. Rappelons que le vol chez la nonagénaire s’était déroulé dans une trappe, cachée sous une pile de linge dans la maison. Les faits datent du 10 août dernier. Ses empreintes ont été retrouvées dans la trappe.