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Ils méritent cet épilogue heureux. Ce dimanche après-midi, les U19 nationaux du CA Pontarlier se sont imposés sur le score de 1 but à 0 face au Paris FC, le 3è de ce championnat des plus relevés, qui concentre l’élite de la nouvelle génération de footballeurs français. Le groupe de Romain Pogeant ne baisse jamais les bras et ça paie. Bravo les gars.

 

L’ASC Velotte, club de football créé à la fin des années 70 et durant les années 80, est devenu en 2022, le troisième club avec le plus de licenciés à Besançon. Avec plus de 200  pratiquants, il se classe juste derrière le Racing Besançon (580 licenciés) et le Besancon Football (466 licenciés). Le club velottier connait une vraie croissance, alors qu’une baisse des effectifs bisontins de 23% est à noter depuis la saison 2017/2018. Mais d’où vient cette hausse au sein de ce club de quartier ? Benjamin Besançon, président du club de l’ASC Velotte, a répondu aux questions de Sacha Froment, qui a récemment effectué son stage de 3è au sein de Radio Plein Air.

Parmi les clubs qui comptent à Besançon

Benjamin Besançon nous a fait part de ses principales ambitions pour Velotte. Il  veut que « le club préforme des joueurs avec du potentiel, pour qu’ils puissent rejoindre  des centres de formation ». Pour ses équipes, il veut également qu’elles réhaussent leur niveau pour prendre toute la place qu’elles méritent au sein du football bisontin. Parmi les autres ambitions du président, celle de créer davantage de lien avec les habitants du quartier. Un bon moyen pour recruter aussi de nouveaux bénévoles et joueurs. Alors qu’il y a 3 ans, 91 licenciés composaient les différentes équipes, aujourd’hui, ils sont 200 à taper dans le ballon. « Le bouche à oreille est un formidable vecteur de communication. La meilleure des publicités, c’est lorsque des  copains en parlent à d’autres copains » reconnaît Benjamin Besançon.

L’objectif de 300 licenciés

Chez les U15, on aime partager sa passion avec d’autres. Dernièrement, Basile a rejoint les rangs de l’ASC Velotte. Lui, aussi, a été séduit par l’ambiance amicale qui y règne. Pour rien au monde, il ne porterait une autre couleur. Mais où ce club de quartier compte s’arrêter ? Benjamin Besançon s’est fixé le cap des 300 licenciés. Selon le responsable, « c’est en atteignant ce niveau que le club pourra s’inscrire dans la durée et la maturité ». Une nouvelle étape pourrait être franchie lors de la prochaine saison. Affaire à suivre.

L'interview de la rédaction

 

Depuis quelques mois, grâce au soutien pédagogique de Mme Hautbois, Conseillère Principale d’Education au collège Victor Hugo de Besançon, et Lisa Devillers, actuellement en service civique au sein de cet établissement scolaire, une dizaine de collégiens participe à un atelier pâtisserie le mercredi après-midi. Rencontre avec les adultes et ces jeunes passionnés

Pour le collège bisontin et sa direction, les attentes pédagogiques sont multiples : encourager les projets et les initiatives lancés par les adolescents, créer et tisser du lien avec les élèves, renforcer le sentiment d’appartenance des jeunes à l’établissement scolaire et valoriser les métiers des parents. C’est ainsi que Lilou et Saraz ont fait les démarches nécessaires pour voir aboutir leur idée. Ces jeunes filles ont su trouver les mots et se montrer convaincantes pour obtenir les autorisations nécessaires.

cuisinier victor hugo 3

Des idées plein la tête

C’est avec générosité, envie et partage que le duo mobilise autour de lui. Les deux cheffes distribuent les rôles et s’assurent du bon déroulement de la séance. On partage ses savoirs, on donne de bons conseils et on réfléchit et pense à l’avenir. Chacun apporte sa pierre à l’édifice. Lilou admet même bien volontiers que ses petits camarades lui apportent également de bonnes idées dans la conception des activités et l’application de certaines techniques. Ce mercredi, les petits pâtissiers du collège Victor Hugo ont cuisiné de succulentes gaufres et un joli gâteau au yaourt. Entre deux coups de fouet ou la recherche des ingrédients dans la réserve, chacun envisage l’avenir ou se projette d’ores et déjà dans sa vie professionnelle future. C’est ainsi que Lilou, Saraz et Timéo ont déjà envisagé la possibilité de créer leur propre pâtisserie. « Une entreprise familiale et sociale, qui donnera du travail à toutes les personnes qui en ont besoin ». La future boulangerie sociale et solidaire de Besançon est sans doute en train de se réfléchir  et de se concevoir dans les murs du collège Victor Hugo.

L'interview de la rédaction

 

Jusqu’au premier tour des élections présidentielles, en avril prochain, Plein Air a décidé de donner la parole aux jeunes francs-comtois. En compagnie des étudiants en licence 3 Info’Com  de la faculté des lettres de Besançon, nous allons à la rencontre des 18-25 ans pour savoir ce qu’ils attendent du prochain Président de la République. Cette semaine, c’est Alexia qui s’y est collée. Elle a rencontré Esther, qui demande une politique plus sociale et une revalorisation du travail.

L'interview de la rédaction

 

Les Maisons Familiales et Rurales de Bourgogne-Franche-Comté forment chaque année près de 3000 élèves et 1000 apprentis. Ces structures proposent également des formations pour adultes. Environ 2500 adultes sont accompagnés tous les ans. A Vercel, 300 jeunes sont accueillis pour suivre des formations dans les domaines de l’agriculture et de la sécurité. Les formation en alternance, dès la 4è et jusqu’au BTS, sont au cœur du dispositif. C’est cette pédagogie au plus près des réalités des métiers qu’ils ont choisis qui a séduit ces jeunes apprentis. L’accompagnement de chaque élève dans son projet personnel et ce contact étroit avec le monde professionnel expliquent le succès grandissant de ces formations. Les jeunes le revendiquent, les compétences acquises et les valeurs transmises répondent à leur besoin personnel et leurs attentes professionnelles.

Paroles de jeunes

Emma ( Bac professionnel Conduite et Gestion de l’Entreprise Agricole – Niveau 4) : « J’ai choisi l’apprentissage parce que cela me permet d’avoir un peu une rémunération. J’aimerais poursuivre mes études par un BTS pour pouvoir m’installer. Je pense poursuivre avec les MFR parce que l’on est bien encadré. Les moniteurs sont toujours là pour nous écouter  et nous aider si on a besoin ».

Louis (technicien agricole – Niveau 4) : « L’alternance me plaît beaucoup. C’est la forme d’apprentissage qui me convient le mieux. Tout ce que l’on apprend à l’école, on le voit et on le pratique la semaine suivante dans nos fermes ».

Kevin (brevet professionnel dans le domaine de la sécurité – Niveau 5). « On apprend le métier directement ici. J’ai pu être embauché sur un apprentissage pour préparer un diplôme plus important dans le domaine de la sécurité ».

Avec un taux de réussite de 93% aux examens et un taux d’insertion professionnelle de 93% également, ces structures proposent une voie intéressante permettant aux jeunes de trouver une place dans la vie active et sur le marché de l’emploi.

Le reportage de la rédaction / Les jeunes et M. Galmiche ( directeur de la MFR de Vercel)

 

    Les scènes Buissonnières reviennent cette année pour une huitième édition. Des élèves de CM1-CM2 ainsi que de sixième travailleront toute l’année autour d’ateliers de danse, d’écriture et de musique afin d’imaginer une grande fête hip-hop le 24 mai à Dole. Les représentations auront lieu le lundi 7 au Collège de l’Arc à Dole, le 8  à la salle Dolto de Dole, le 10 à la salle des fêtes de Damparis et le 11 au Collège Rouget de Lisles de Lons. Plus d’informations sur www.espacedessens.sitew.fr.

En février et en mars, la Citadelle met en place divers ateliers créatifs pour tous les âges. Divers ateliers manuels seront proposés. Plus d’informations sur www.citadelle.com. A partir du 9 février, tous les mercredis hors vacances scolaires, le musée comtois de la citadelle invite à une visite contée pour mettre en avant le patrimoine culturel de la Franche-Comté. À partir de 5 ans, limités à dix-neuf places, les mercredi de 14h30 à 16h.

La mobilisation se poursuit au lycée Jules Haag à Besançon. Après avoir exprimé leurs inquiétudes et leur mécontentement en début de semaine, les enseignants, dont le taux de grévistes a atteint 70% ces derniers jours, se sont rassemblés ce jeudi matin devant l’entrée du lycée. Ils ont organisé un rassemblement bruyant. Il faut dire que l’entretien de mardi au rectorat n’a pas été « satisfaisant ». D’où ce rappel à l’ordre.

JULES HAAG MANIFESTATION 4 DD

Les professeurs demandent des moyens d’enseignement supplémentaire. Selon les manifestants, depuis la fusion entre les lycées Jules Haag et Montjoux, la situation ne cesse de se dégrader. Les moyens humains ne sont pas à la hauteur des enjeux et des besoins. « Des postes de CPE, de professeur documentaliste, de secrétaires administratifs et d’intendance, … » sont demandés. Une assemblée générale devait acter sur la suite du mouvement.

 

JULES HAAG MANIFESTATION 6 DD

L'interview de la rédaction / Médéric Bayard, professeur de mathématiques, représentant du syndicat Snes/Fsu

Jusqu’au premier tour des élections présidentielles, en avril prochain, Plein Air a décidé de donner la parole aux jeunes francs-comtois. En compagnie des étudiants en licence 3 Info’Com  de la faculté des lettres de Besançon, nous allons à la rencontre des 18-25 ans pour savoir ce qu’ils attendent du prochain Président de la République.

Cette semaine, c’est Alicia qui s’y est collée. Elle a rencontré une étudiante qui espère que le prochain président de la République s’intéresse davantage aux sujets qui préoccupent les Français et qu’il soit beaucoup plus  en adéquation et en proximité avec ses concitoyens.

Le reportage de la rédaction

Ce samedi, de 10h à 17h, les quatre campus de l’IMEA (Besançon, Pontarlier, Montbéliard et Vesoul) de la chambre de commerce Saône-Doubs ouvrent leur porte au public. Un temps précieux pour découvrir les formations et la pédagogie dispensées dans cette école consacrée aux métiers du commerce et de la vente.

Dans cette structure, qui forme de nombreux jeunes, on dispense des formations en alternance BAC+2 et BAC+3 reconnues par l’état. Les savoir-être et savoir-faire sont au cœur des connaissances et des apprentissages apportées par une équipe pédagogique, composée également d’intervenants professionnels extérieurs, mobilisée  autour de la transmission et du partage avec leurs étudiants. Une approche qui semble convenir à la nouvelle génération, consciente que cette  pratique « est la meilleure des écoles »  et « une insertion plus que certaine sur le marché de l’emploi ». Comme le confirme Françoise Sanchez, directrice de l’école IMEA, le taux d’employabilité des jeunes à l’issue de leur cursus de formation est de 83%.

Remi et Charline

Agés de 19 ans et 20 ans, les deux étudiants sont respectivement en 2è et 1er années de formation. Rémi, une fois son diplôme en poche l’été prochain, devrait confirmer un BAC+3 dans le domaine du marketing sportif. Charline se laisse encore un peu de temps pour envisager la suite. Pour ces deux jeunes, la vente et le commerce sont leur quotidien. Rémunérés, ils alternent chaque semaine temps théorique et pratique. C’est d’ailleurs ce qu’ils sont venus chercher. Les études dans une salle de classe, sur une table, devant un ordinateur, ils n’en veulent plus. Comme beaucoup de jeunes adultes de leur âge, ils veulent être complément acteurs de leur formation. Faire, apprendre, se débrouiller, commencer à gagner sa vie, côtoyer et se former aux côtés de professionnels, c’est ce qui les a poussés à franchir le pas et les portes de l’IMEA de Pontarlier par exemple. Ils ne le regrettent pas et semblent s’épanouir dans cet univers qui permet de se construire et de grandir professionnellement et personnellement.

Le reportage de la rédaction  : Rémi, Charline et Françoise Sanchez

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