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Après une petite pause bien méritée, les U18 nationaux du Grand Besançon Doubs Handball retrouvaient la compétition ce dimanche. Quasiment assuré de jouer les play-offs, le collectif de Karim Bensedira entend terminer de la plus belle des manières cette deuxième partie de saison régulière. Ce dimanche, il est allé chercher la victoire à Plobsheim.

Après une première mi-temps, compliquée, durant laquelle les consignes n’ont pas été respectées, le groupe s’est ressaisi. La victoire est nette et sans contestation. Score final 37 à 23. Dimanche prochain, place au derby, avec la réception de Belfort.

Ce matin, Jean-François Chanet, recteur de la région académique Bourgogne-Franche-Comté et de l’académie de Besançon, a remis  Ã  une classe entière de 3è du collège Diderot, dans le quartier Planoise, à Besançon, le prix coup de cÅ“ur du concours « Non au harcèlement Â» 2021.

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Pour la 7è année consécutive, cette action pédagogique, qui s’adresse aux élèves du CE2 à la terminale, propose aux enfants et aux adolescents de créer un support de type affiche ou vidéo, évoquant ce fait de société. A Diderot, cette action s’inscrit dans un projet éducatif qui se décline auprès de tous les niveaux de l’établissement.

Repérer, agir et aider

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Accompagnés par un artiste bisontin, les 2 Scènes et leurs enseignants, les jeunes ont mené un véritable travail d’écriture, tant au niveau des textes, de la musique et des décors. L’objectif étant de sensibiliser les autres élèves, la communauté éducative et d’autres publics. Repérer, agir  et aider, tel est le message que ces jeunes gens ont voulu décliner. Les réalisateurs ont voulu également souligner l’importance du rôle de l’ambassadeur contre le harcèlement, désigné dans les établissements scolaires. Un jeune référent qui peut également trouver un relais auprès de tous les adultes du collège.

Le reportage de la rédaction / Un jeune participant et Mr Grillot, le principal du collège Diderot

L’université de Franche-Comté s’engage à accompagner les victimes de violences sexuelles et sexistes, de discrimination, de harcèlement ou de toute autre forme de violence. Le dispositif s’adresse à l’ensemble de la communauté universitaire : personnels, étudiants, intervenants extérieurs, … . Toutes les personnes s’estimant victimes ou témoins de toute forme de violences peuvent se signaler sur la plateforme mise en ligne : sos.univ-fcomte.fr. Son ouverture s’inscrit dans la volonté de Macha Woronoff, présidente de l’université de Franche-Comté, « d’édifier une université de valeurs, basée sur des principes universels et humanistes Â».

Lorsqu’un signalement est déposé, la personne reçoit un mail de confirmation et sera contactée par téléphone par un des cinq intervenants de la cellule SOS afin de fixer un rendez-vous, « dans un lieu neutre Â». Ce premier entretien a pour objectif d’entendre la personne témoin ou victime, de hiérarchiser les faits et de proposer l’accompagnement adéquat. Sur la plateforme, un répertoire de  numéro d’urgence dans les domaines de la justice, du social et du médical est également proposé.

L'interview de la rédaction / Macha Woronoff

Gérard Larcher, le président du Sénat, est dans le Doubs ce lundi. Il répond à l’invitation des sénateurs doubistes Annick Jacquemet, Jacques Grosperrin et Jean-François Longeot. Alors que cet après-midi, le deuxième personnage de l’état est dans le Haut-Doubs, ce matin, il était dans le Grand Besançon.  Mr Larcher s’est rendu à la fromagerie de Fontain, avant de visiter l’école nationale d’industrie laitière de Mamirolle , où il a participé à une table ronde sur le thème de l’apprentissage.

LARCHER MAMIROLLE

Dans quelques temps, la commission    fera le bilan de la loi du 5 septembre 2018, portant sur l’apprentissage. Une réforme qui a boosté la formation professionnelle, mais qui reste sans doute encore imparfaite. C’est la raison pour laquelle le président du sénat a souhaité échanger avec les différents acteurs.

De nombreuses offres d’apprentissage non pourvus

Grâce à ce dispositif, et largement soutenu par les aides gouvernementales en pleine crise sanitaire, le nombre d’apprentis a progressé en France. Mais de nombreux secteurs ne parviennent toujours pas à recruter. Pour le seul établissement de Mamirolle, 200 offres de contrats d’apprentissage n’ont pas trouvé preneurs cette année. L’orientation des jeunes, la complexité administrative, mais aussi un public peu réceptif aux offres proposées, alors qu’à la clé des promesses d’embauche et d’insertion sont possibles,  sont à l’origine des difficultés que connaissent actuellement la société et le monde du travail.

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Un vieux serpent de mer

Le problème de l’apprentissage ne date pas d’aujourd’hui. Pourtant, il est un excellent propulseur vers la professionnalisation et le marché du travail. La formation professionnelle facilite grandement l’accès à un métier. Les taux de réussite et d’insertion professionnels le prouvent aisément. Encore faut-il que des candidats répondent présents et s’engagent avec passion et détermination .

 

L'interview de la rédaction / Gérard Larcher

 

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A l’occasion de la Toussaint, des jeunes âgés entre 18 et 25 ans sont présents dans cinq cimetières de la Ville de Besançon ( Saint-Claude, Saint Fejeux, Velotte, Champs Bruley et Chaprais) pour accompagner les familles dans leurs visites. Leurs missions sont multiples : porter de lourdes charges ou encombrantes, informer et orienter les usagers ou encore participer à l’entretien des cimetières.

C’est dans le cadre du dispositif « A Tire d’Aile Â» que Malik et Mathéo participent à cette opération. Les deux ados ont plaisir à pouvoir aider et rendre service. « On fait quelque chose de nos vacances. C’est utile. On aide la communauté Â» expliquent les deux garçons. Ils sont plusieurs à s’investir ainsi depuis mercredi, et jusqu’à vendredi. Ils sont issus des quartiers de Planoise, Grette-Butte et Clairs Soleils. En échange de leur dévouement, la Ville leur offre des chèques vacances ou une petite rémunération. Une belle action municipale qui offre la possibilité à ces jeunes de s’occuper utilement, de rendre service, d’échanger et de partager avec la population et d’être récompensés pour leur travail et leur implication.

Le reportage de la rédaction / Mathéo et Malik

 

Dans un communiqué de presse, la Ville de Besançon indique qu’à compter de ce lundi 25 octobre, les mineurs 12 à 17 ans pourront accéder aux bibliothèque de la cité sans passe sanitaire.

Ce samedi, la cour du collège Diderot à Planoise accueillait la « caravane des pieds d’immeuble Â». Après une version estivale qui a cartonné, l’organisateur, le club sauvegarde de Besançon, propose quelque chose de différent durant ces vacances de la Toussaint.

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Ce samedi, l’association Raid’Aventure et son dispositif Prox’ proposaient de nombreux ateliers. Animés par une équipe de policiers, ces derniers invitaient les enfants à pratiquer des sports de combat, faire un parcours du combattant, participer à des jeux d’opposition ou des sports collectifs, … . L’objectif étant d’instaurer une autre relation entre la population et les forces de l’ordre

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Les QPV (Quartiers Prioritaires de la Ville)  ont un incroyable talent

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En parallèle, à l’image de l’émission « La France a un incroyable talent Â», le club « La Sauvegarde de Besançon Â» et ses éducateurs et médiateurs  sont partis à la rencontre des talents du quartier de Planoise. Des jeunes, âgés entre 10 et 20 ans, qui ont une véritable passion et qui l’expriment à travers du  rap, de la chanson, de la poésie, … les domaines ne manquent pas. Ce samedi, ces jeunes gens se sont exprimés sur scène. Leur prestation a été filmée. Elle sera visible sur une plateforme virtuelle. Le 7 novembre, un jury se réunira et récompensera les jeunes artistes à l’occasion d’une belle fête dans le gymnase du collège Diderot. Une nouvelle fois encore, Fodé N’Dao et son équipe veulent donner une autre image du quartier et mettre dans la lumière cette jeunesse dont on ne parle pas et  qui, pourtant, regorge de savoir-faire et de compétences.

L'interview de la rédaction / Marine Didier, secrétaire de "La Sauvegarde de Besançon"

 

Dans le cadre de la semaine nationale des Missions Locales, la structure du bassin d’emploi de Besançon organisait ce vendredi un temps de découverte du monde de la restauration au sein des locaux de la structure « Cuisine Mode d’Emploi Â», qui accueille tout au long de l’année des personnes en réinsertion.

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A l’initiative de Mouna Nouneb, conseillère en garantie jeune, un concours de cuisine était organisé. Cette animation avait un double objectif : présenter l’offre de formation de l’hôte bisontin et valoriser les compétences des jeunes et de leurs conseillers. C’est donc autour de cette thématique culinaire que jeunes et professionnels ont pu partager une passion. Cocktails et encas ont été préparés. Les formateurs du chef cuisinier Thierry Marx et d’autres jeunes en formation ont pu dispenser leurs bons conseils aux apprentis d’un jour qui, pour certains,  présentaient  déjà une belle maîtrise.

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Les jeunes apprécient cette initiative. Associer un métier et une passion leur convient aisément. Certains ont déjà dans la tête le projet d’une formation  ou d’une entreprise personnelle.

Le reportage de la rédaction : Anne Dupeyron ' directrice adjointe de la Mission Locale). Mona Bouneb. Deux jeunes participants

 

Cette semaine, avant quinze jours de vacances bien méritées, le lycée professionnel Saint Bénigne de Pontarlier organise une semaine thématique invitant les jeunes à s’engager artistiquement. « L’art et l’engagement Â» permet de mettre en lumière les travaux de ses élèves qui, pour certains le présenteront, lors d’une épreuve orale pour l’obtention de leur baccalauréat professionnel.

Ces adolescents sont issus de différentes filières et formations. Les thèmes de la santé, de l’usage des jeux vidéos ou encore du harcèlement ont été déclinés sur plusieurs supports. Le résultats est bluffant et les messages diffusés sont d’une très grande pertinence. Marie, future pompier, a voulu créer une peinture à la fois sombre et porteuse d’espoir. La référence au code pénal et l’inscription du logo du réseau social Snapchat rappellent que la justice sanctionne cette violence et que les réseaux sociaux sont à utiliser avec précaution. Benoît et ses amis ont préféré la Bande dessinée pour sensibiliser les autres lycéens au VIH et à l’usage du préservatif. Enfin, le tableau de Léo ne passe pas inaperçu également. Le parapluie en forme recouvert d’un préservatif, tenu par Maestro, le célèbre personnage de la série animée   , est le seul rempart pour se protéger des Infections Sexuellement Transmissibles.

Des adolescents qui parlent à d’autres adolescents. Une initiative très intéressante et riche d’enseignements, qui a trouvé sa place dans les lieux de vie de l’établissement scolaire.

Le reportage de la rédaction : M. Cordier et Marie, Léo et Benoît 

La Ville de Morteau continue de mettre à l’honneur sa jeunesse. Après avoir consulté les associations sportives et culturelles, ainsi que les entreprises et commerces de la cité, elle a choisi de faire un focus sur neuf jeunes gens qui se démarquent par leur mobilisation dans différents domaines : la musique, le cinéma, le sport, l’art, …

Les neufs portraits sont exposés sur les grilles de l’école du centre. Les passants peuvent découvrir les portraits des jeunes et lire la présentation que chacun d’eux a rédigé pour expliquer son parcours.

Comme l’explique Martial Bournel-Bosson, conseiller délégué à la jeunesse, « pour la municipalité et la commission jeunesse, les jeunes sont au centre des préoccupations. Ils représentent l’avenir. Valoriser leurs talents, leur implication, leur parcours nous tient à cÅ“ur Â».

L'interview de la rédaction