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Les U19 du Racing Besançon se sont qualifiés pour le 3è tour de la Coupe Gambardella. Le groupe d’Alex Radreau s’est imposé sur le score de 3 buts à 0 face à une belle équipe de la Joux Nozeroy, qui a tenu bon jusqu’à la 70è minute environ. Au grand regret, de son entraîneur, Benjamin Paget, e collectif jurassien n’a pas su concrétiser les occasions qu’il s’est crée en première période. Du côté des Racingmen, grâce à un bon coaching, on a relevé le défi. Les Rouges ont su saisir leur chance et éviter le piège de ces matches de coupe, qui transcendent les équipes de division inférieure.

L'interview de la rédaction : Alexandre Radreau ( coach bisontin)

Les U18 du Grand Besançon Doubs Handball ont  remporté ce samedi leur derby face à Belfort. On disputait la troisième journée de championnat en national. Le groupe de Karim Bensedira a vaincu son voisin franc-comtois sur le score de 46 à 23. « C’est une belle victoire. Les garçons ont été disciplinés et ont bien respecté les consignes » explique le coach bisontin. Et de poursuivre : « les erreurs sont dues à un excès d’engagement et de motivation car le groupe avait envie de bien faire ».

Ce bon résultat est prometteur. L’équipe ne doit rien lâcher et poursuivre avec  ce bon état d’esprit et cette dynamique collective pour assurer sa qualification après la saison régulière. La prochaine rencontre est programmée le 10 octobre, au palais des sports Ghani Yalouz, contre Villers, cinquième de la poule.

A travers son plan de relance, l’Etat apporte  un important soutien aux entreprises. L’objectif étant de permettre de relancer l’activité économique en pleine crise sanitaire. Ce soutien passe notamment par la mise en place de dispositifs : un jeune, une solution , le fonds de solidarité, les Prêts Garantis par l’Etat et l’activité partielle. Dans le Doubs, dans le cadre de France Relance, ce sont 52 millions d’euros de soutien qui ont été consentis aux entreprises du département pour 187 lauréats. Autres exemples, 174 millions d’euros ont été mobilisés dans le Doubs au titre du fonds de solidarité et 709 millions d’euros pour environ 4800 entreprises concernant les Prêts Garantis par l’Etat (PGE).

Un jeune une solution

Rappelons que ce dispositif permet aux entreprises d’embaucher des jeunes et de bénéficier d’un accompagnement de l’état à hauteur de 60% du coût du travail. Depuis son lancement, 200 jeunes ont bénéficié d’un contrat initiative emploi. Selon Jean-François Colombet, préfet du Doubs, d’ici la fin de l’année, entre 100 et 150 emplois pourraient être pourvus dans le département. Les jeunes de moins de 26 ans en sont les bénéficiaires.

En début de semaine, les chefs d’entreprise du département ont été reçus en préfecture pour faire le point sur les dispositifs et l’accompagnement assuré. Une action identique sera réalisée à Montbéliard et Pontarlier.

L'interview de la rédaction / Jean-François Colombet ( préfet du Doubs)

Ils sont arrivés au bout de leur projet. Théo Mairot et Clément Didier, âgés de 20 ans, originaires des Fins, viennent de réaliser leur 1er film, baptisé « Génération Z », un clin d’œil à ces jeunes gens, nés entre 1995 et 2010, bercés depuis leur plus tendre enfance par le numérique. « Génération Z », c’est l’histoire de deux frères adoptés, que la vie va provisoirement mettre à l’écart. Ces deux personnages vont faire une découverte incroyable, qui va chambouler le cours de leur vie.

Les deux réalisateurs ont tenu promesse. Malgré la situation sanitaire compliquée, ils ont mené intelligemment leur barque pour donner naissance à cette création de 47 minutes. Ils ont su fédérer et s’entourer. Ils ont écrit le film, organisé le tournage et assurent actuellement sa promotion. Tout est parti d’un défi d’adolescents, désireux de se prouver qu’ils étaient capables de se surpasser, de se mobiliser et de réussir. La passion pour le cinéma, ils l’ont chevillée au corps. Du haut de ses 20 ans, avec l’enthousiasme qui caractérise cette génération, tout en ayant la tête sur les épaules, Théo souhaite faire carrière dans le 7è art. Il envisage de partir à l’étranger pour tisser des liens professionnels et enrichir son expérience. Ce jeune homme s’est déjà essayé à la production en réalisant des vidéos humoristiques sur le réseau social YouTube.

Une première au cinéma à Morteau

Le 17 octobre prochain, Théo et Clément organiseront une première projection de leur long métrage au cinéma l’Atalante de Morteau. Le public est invité à venir découvrir cette création cinématographique, tournée dans toute la région. Besançon, Pontarlier, Morteau, en suisse voisine, l’équipe a posé ses caméras dans de nombreux endroits. Près de 200 figurants ont collaboré. Les projets ne manquent pas. Le duo  aimerait faire découvrir son film sur un plus large territoire . Il démarche, actuellement les cinémas art et essai de la région pour décrocher une programmation.

Un avenir prometteur se dessine. Si vous avez envie de découvrir le fruit de leur travail, n’hésitez pas à vous inscrire pour la séance du 17 octobre prochain. Le nombre de place est limité. Cliquer sur : https://www.eventbrite.com/e/billets-generation-z-avant-premiere-167882207201

Le reportage de la rédaction

Dès le lundi 20 septembre, les étudiants de l’université de Franche-Comté peuvent bénéficier à nouveau de la ligne écoute-info pour être écoutés, informés ou réorientés. Elle avait été lancée le 8 mars dernier. La plateforme téléphonique reste gratuite et anonyme. Elle a pour ambition de réduire les impacts psychologiques causés par la crise sanitaire. Elle est accessible, du lundi au vendredi, de 12 heures à 14 heures et de 18 heures à 20 heures, au numéro suivant : 03.81.66.55.66

Ce dimanche, face à une solide équipe de Lyon, les U17 du Racing Besançon n’ont rien pu faire. Ils ont été battus sur le score de 4 buts à 1. Avec deux nuls et deux défaites, les Racingmen présentent un bilan insuffisant, mais les adversaires sont coriaces. Néanmoins, le groupe montre une belle détermination.

RACING U17 OL 10

Ce dimanche après-midi, mené 1-0, dès la première minute de jeu, le groupe d’Alexandre Casoli  va revenir au score, avant de lâcher prise. « Il nous manque un peu de qualité de jeu et de vision technique. Nous commettons des erreurs et face à des centres de formation, cela ne pardonne pas » explique le coach bisontin. Le Racing va continuer de travailler. Le collectif tentera d’aller chercher sa première victoire de la saison la semaine prochaine dans le pays de Montbéliard, face au FC Sochaux.

L'interview de la rédaction / Alex Casoli

 

RACING U17 OL 33

Les U18 nationaux du Grand Besançon Doubs Handball n’ont pas tremblé. Après leur défaite contre Strasbourg une semaine plus tôt, le groupe de Karim Bensedira se devait de réagir. En tout cas, les consignes ont été donnés en ce sens. Message reçu. Le groupe n’a pas fait dans la dentelle et s’est imposée sur le score de 41 à 27 face à Plobsheim ce dimanche après-midi.

GBDH MATCH 29

Les Alsaciens n’ont rien pu faire contre cette équipe bisontine revancharde. Une victoire qui rassure le staff et les joueurs, avant un difficile déplacement à Belfort dimanche prochain. Karim Bensedira apprécie la victoire et l’état d’esprit de son groupe. Néanmoins, il regrette le nombre de buts encaissés. Il attend une défense plus solide lors des prochaines rencontres.

L'interview de la rédaction / Karim Bensedira

 

GBDH MATCH 12

La défaite est encore difficile à encaisser. Dimanche dernier, les U18 nationaux du Grand Besançon Doubs Handball se sont inclinés, à Strasbourg, dans le cadre de la 1ère journée de championnat. Karim Bensedira regrette les déchets offensifs, avec 21 tirs ratés, et l’absence d’application des règles décidés à l’entraînement et durant la causerie d’avant-match.  Cette défaite met un terme à pratiquement deux ans d’invincibilité.

GBDH PLOBSHEIM

Ce vendredi, les jeunes bisontins se sont remis au travail. Rien n’a été laissé au hasard. L’objectif étant d’apprendre de ses erreurs et d’appliquer les règles et les consignes. « Le groupe doit également apprendre l’humilité » selon son coach, qui espère une prise de conscience ce dimanche. « Après cette défaite, nous ne sommes plus les favoris » ajoute le technicien, qui veut que son groupe retrouve la bonne voie. Celle de la réussite et de la victoire.

GBDH PLOBSHEIM 5

Autant dire que le match de dimanche après-midi, à 14h, au gymnase des Montboucons, contre Plobsheim, est très attendu. Tout le monde aura envie de bien faire et de vaincre les Alsaciens, qui n’effectuent pas au meilleur moment ce déplacement en terre bisontine.

GBDH PLOBSHEIM 12

L'interview de la rédaction / Karim Bensedira

Ancien élève du lycée agricole de Levier, le Jurassien Paul Vacelet (20 ans), originaire de Cuvier, a reçu ce lundi à Paris, le premier prix national du meilleur dossier de stage BTS agricole par le Conseil de l’Ordre des Experts Comptables. Après une sélection régionale à Beaune en octobre 2020, son travail a été reconnu nationalement.

Le jury a apprécié la façon dont le jeune homme a raconté son vécu, mais surtout le regard,  les problématiques et les solutions qu’il a su poser sur le métier. L’étudiant s’est intéressé à ce qui pouvait être mis en place au sein d’une ferme pour diversifier son activité et ses revenus et mieux mettre en valeur la production, tout en ne surchargeant pas de travail l’exploitant, dont les journées sont déjà bien remplies.

Pour Paul, cela passe sans doute par une diminution de la quantité de lait produit pour mieux valoriser le produit final. L’idée étant de faire endosser aux producteurs, l’habit de VRP. Qui mieux qu’eux sont capables de parler de leur terroir et partager surtout la passion et l’investissement qui sont mis en œuvre pour apporter le meilleur produit aux clients. Peut-être une révolution parfois dans les mentalités, mais qui correspond aussi aux attentes de la clientèle, désireuse de consommer local et de privilégier les achats au plus près de chez elle, pour des raisons économiques, mais également environnementales.

L'interview de la rédaction

Ils sont déterminés et rien ne pourra venir parasiter leur engagement. Cette saison, les U16 du CA Pontarlier rugby évolueront au niveau national. Ce n’est pas encore l’élite du rugby français que vont rencontrer les jeunes Capistes, mais ils s’y rapprochent. Ils ne sont plus qu’à une division des centres de formation des clubs professionnels. Autant dire que rien n’est laissé au hasard et que le groupe de Cyril Mattera veut faire honneur à ses couleurs.

 

RUGBY U16 3

Pour ce faire, la préparation a débuté il y a plusieurs semaines.  Elle est intense, mais c’est le seul moyen pour rivaliser dans ce championnat qui s’annonce relevé. Preuve que la motivation est grande et que tous les aspects sont travaillés, le week-end dernier, le groupe est allé se forger un esprit de guerrier au 13è régiment du génie de Valdahon. Encadré notamment par des militaires instructeurs, le collectif, auquel est venu s’adjoindre l’équipe des U19, n’a pas ménagé sa peine.  Dans le viseur de ces jeunes rugbymen, la performance, les résultats et l’amour du maillot. Pas question de décevoir.

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Un centre d’entraînement

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Pour ces adolescents, le rugby est une véritable passion. Ils y consacrent de nombreuses heures durant la semaine. Physique, technique et mental… rien n’est laissé au hasard. Cette formation est d’ailleurs possible grâce au savoir-faire du club, mais également à un partenariat mené avec les établissements scolaires pontissaliens qui, comme pour d’autres disciplines, aménagent les emplois du temps des jeunes sportifs. A condition bien sûr, que les résultats scolaires suivent. D’ailleurs, pour donner les moyens aux jeunes pratiquants de performer, mais aussi parce que ces générations sont l’avenir du CA Pontarlier rugby, un centre d’entraînement vient d’ouvrir ses portes cette année pour les 16-18 ans, avec encore de la pratique, estimée entre 8 et 10 heures hebdomadaires supplémentaires. Le club n’a pas le choix, avec les moyens financiers qu’il à,  s’il veut conserver sa place en fédérale 2, il doit être en capacité de former des jeunes du cru qui seront opérationnels dès leur entrée en équipe sénior. « Pas question d’aller chercher des mercenaires » conclut Cyril Mattera.

L'interview de la rédaction / Cyril Mattera