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Un mois après le lancement de la vaccination contre la grippe saisonnière, l’ARS et l’Assurance maladie Bourgogne Franche-Comté rappellent les enjeux de cette campagne dans un contexte sanitaire déjà fragilisé par l’épidémie de Covid-19, qui connaît un net rebond.

Selon l’ARS, « avec la couverture vaccinale habituellement atteinte en France contre la grippe, la vaccination permettrait d’éviter 2000 décès en moyenne chez les plus de 65 ans ». L’Organisation Mondiale de la Santé indique qu’avec une couverture vaccinale de 75%, 3000 décès supplémentaires pourraient être évités chaque année.

La Ville de Besançon indique dans un communiqué de presse qu’Anne Vignot, Maire de Besançon et présidente du Grand Besançon, a été testée positive au Covid-19 ce mardi 23 novembre. Dans ces conditions, les réunions de ce soir à Planoise sont annulées et son agenda sera aménagé de façon à pouvoir s’isoler tout en maintenant dans la mesure du possible des réunions en visio.

Depuis quelques mois déjà, plusieurs services de chirurgie du CHU de Besançon disposent de 10 casques de réalité virtuelle hypnoVR conçus et développés en France, qui permettent, avant ou pendant l’opération, de diminuer la douleur, le stress et l’anxiété des patients tout en présentant également de sérieux avantages pour les équipes soignantes.

Le patient est invité à choisir l’univers en 3D dans lequel il évoluera. Il peut aussi choisir dans quelle langue s’exprimera la voix (féminine ou masculine) qui l’accompagnera et guidera sa respiration. S’appuyant sur l’hypno analgésie et la musicothérapie, en quelques secondes, ce dispositif plonge le patient en immersion totale dans un monde virtuel éloigné de l’hôpital.

Selon les derniers chiffres de l’éducation nationale concernant l’épidémie de Covid-19, le rectorat de Besançon indique, qu’à la date de jeudi, en début d’après-midi, « aucune structure scolaire n’est fermée. 74 classes à distance bénéficient de la continuité pédagogique dans l'académie ».

Toujours selon cette même source, 224 élèves et 28 personnels sont cas confirmés à la Covid-19 en cumul sur les 7 derniers jours.   L’administration souligne que « les campagnes de tests salivaires se poursuivent dans les écoles de l'académie ».

L’Agence Régionale de Santé indique que la situation épidémique continue de se dégrader significativement en Bourgogne-Franche-Comté, où le taux d’incidence s’apprête à franchir le seuil de 100 cas pour 100 000 habitants, soit le double du seuil d’alerte. On notera que les quatre départements francs-comtois présentent un taux d’incidence en population générale supérieur à 100.

La préfecture du Doubs tire la sonnette d’alarme en raison du risque de propagation de la grippe aviaire observée au sein de l’union européenne. Depuis le début du mois d’août, 130 cas ou foyers d’influenza aviaire ont été détectés dans la faune sauvage ou dans des élevages en Europe, notamment au bord de la mer du Nord et de la mer Baltique.

Dans ce contexte et à l’approche de la période migratoire à risque, la France est en situation de forte vigilance. Trois basses-cours contaminées ont été recensées dans les départements des Ardennes et de l’Aisne en septembre dernier. Dans ces conditions, le niveau de risque a été élevé de « modéré » à "élevé" sur tout le territoire national par arrêté ministériel en date du 4 novembre 2021.

La question se pose dans certains pays européens. Alors que l’épidémie prend de l’ampleur. En France, Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, s’est voulu rassurant sur ce point ce matin.  Même s’il reconnaît une recrudescence des cas de covid19, il a assuré « qu’aucun confinement n’est prévu aujourd’hui » dans l’Hexagone.  Ce qui n’est pas le cas dans d’autres pays européens.

Que pense-t-on de cette décision en Franche-Comté, nous sommes allés poser la question dans les rues du centre-ville de Besançon.  Les réponses sont diverses et aucune tendance véritable ne se dégage. Il est parfois difficile de se positionner entre l’obligation de préserver les personnes vulnérables, conserver ses libertés et agir en citoyen responsable, désireux d’en finir avec cette épidémie qui hante notre quotidien depuis près de deux ans. Paroles de bisontins…

Le micro-trottoir de la rédaction

Le CHU de Besançon dispose désormais d’un nouveau scanner dit « spectral » pour son secteur d’imagerie des urgences. Il porte une technique innovante dans l’imagerie médicale et apporte de nombreux atouts : analyse « multi-énergies » pour chaque examen, temps d’exposition réduits, moins de produits de contraste injecté et une amélioration de la pertinence du diagnostic. L’hôpital Minjoz est le premier établissement de la région à être équipé de cette technique d’imagerie pour son secteur des urgences. Moins d’une dizaine d’établissements de santé en France disposent actuellement d’un scanner spectral de ce type.

Le masque a fait son retour dans toutes les écoles de France ce lundi. Cette décision fait suite à la hausse des cas de covid dans le pays. Le taux d’incidence est désormais supérieur à 50 cas pour 100.000 habitants dans tous les départements. Le retour à la normale est bien entendue conditionnée à l’évolution sanitaire.  Dans le Doubs, le syndicat Snuipp  fait mauvaise fortune bon cœur.

S’il reconnaît les inconvénients d’une telle mesure, notamment concernant la transmission des savoirs, la lecture et la communication avec les enfants, il se range à l’avis des experts. L’objectif est d’éviter à tout prix la fermeture des écoles. Néanmoins, par la voix d’Amélie Lapprand, sa co-secrétaire, le Snuipp du Doubs aimerait enfin être entendu par le  ministère de l’éducation nationale, qui s’entête à ne pas mettre à disposition de son personnel des masques inclusifs. Ce qui permettrait aux enfants de voir le visage des adultes et de faciliter ainsi les échanges et les enseignements.

L'interview de la rédaction / Amélie Lapprand

 

Le masque fait son retour dans toutes les écoles de France. Cette décision fait suite à la hausse des cas de covid dans le pays. Le taux d’incidence est désormais supérieur à 50 cas pour 100.000 habitants dans tous les départements. Le retour à la normale est bien entendue conditionnée à l’évolution sanitaire. Il n’en reste pas moins que cette énième mesure engendre une grande lassitude chez les parents et les enseignants. Rappelons qu’à l’école, le masque doit obligatoirement être porté à partir de 6 ans. Les enseignants doivent également le mettre.

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