Choix du secteur :
Se connecter :
 

Les trois protagonistes impliqués dans une rixe, le 5 octobre dernier, à  Pontarlier connaissent le sort que leur réserve la justice. La garde à vue du mineur a été levée ce mercredi après-midi, mais il devra s’expliquer en décembre prochain devant un juge des enfants.

Quant aux deux majeurs, ils seront présentés ce jeudi devant le Parquet bisontin. Rappelons que les deux frères ont pris à partie l’individu, alcoolisé, qui avait jeté une bouteille dans le Doubs et qui a vociféré contre une femme,  qui lui avait fait remarquer son geste. Concernant cet homme, lors de la rixe, il a donné un coup de rasoir à un opposant. Le blessant au visage. Il était également en possession d’une petite quantité de stupéfiants.

Le rapport de la Commission Indépendante sur les Abus Sexuels dans l’église fait grand bruit. En France, 216.000 personnes ont été victimes d’agressions et de violences sexuelles commises par des clercs ou des religieux catholiques, alors qu’elles étaient mineures, entre 1950 et 2020.

Dans un communiqué de presse, le diocèse de Besançon indique que la commission indépendante a pu consulter les archives diocésaines pour établir son rapport. Une quarantaine de victimes y apparaissent. Par ailleurs, depuis 2016, le diocèse s’est doté d’une cellule d’écoute et d’accueil pour les victimes. Cette dernière reste en place au 06.44.14.22.88. L’archevêque de Besançon précise qu’il a rencontré toutes les personnes victimes qui en faisaient la demande.

Hier, vers 16h30, sur la commune des Premiers Sapins, les sapeurs-pompiers du Doubs ont porté secours à un chien, qui se trouvait dans une cavité, après une chute d’une quinzaine de mètres. Une équipe du Grimp s’est rendue sur place. Elle a pu rejoindre l’animal et le remettre à son propriétaire. Ce dernier n’était pas blessé.

Un accident s’est produit hier, en fin d’après-midi, à Morteau, rue du Docteur Sauge. A la suite d’un malaise, un automobiliste a perdu le contrôle de sa voiture, qui a quitté la route et percuté le mur du lycée Edgar Faure. Grièvement blessée, la victime a été transportée sur les urgences de Pontarlier.

Le Docteur Frédéric Péchier a tenté de mettre fin à ses jours dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre. Il s’est jeté d’une fenêtre au domicile de ses parents, dans la banlieue de Poitiers. Il est placé sous contrôle judiciaire, depuis 2019, à cet endroit. Rappelons que l’anesthésiste bisontin a été mis en examen pour 24 empoisonnements de patients, dont neuf mortels. Il est soupçonné d’avoir pollué les poches de perfusion de personnes hospitalisées, âgées de 4 à 80 ans, provoquant « des évènements indésirables graves Â». Le spécialiste intervenait ensuite pour sauver les victimes. Frédéric Péchier se trouve actuellement en service de réanimation à l’hôpital de Poitiers, où son état est jugé « stationnaire Â», selon un de ses avocats. La rédaction a contacté Randall Schwerdorffer, un de ses avocats.

La piste d’une défenestration semble être actée. Pouvez-vous nous la confirmer ?

Une enquête a été menée très rapidement. Cela s’est passé dans le cadre de la maison familiale. Il s’agit bien d’une défenestration volontaire de la part du  docteur Péchier.

On peut supposer que le docteur Péchier n’allait pas bien. Quelle était sa situation personnelle ?

Pour être franc, il allait extrêmement mal. Psychologiquement, cela fait plusieurs mois que c’est très difficile. C’est très difficile depuis le départ d’ailleurs. L’accusation est très lourde. On lui interdit d’exercer son métier. On lui a interdit d’habiter dans la région. Il a dû quitter le domicile conjugal. Il a dû s’installer chez ses parents. Il n’a plus de revenu. Après bientôt 5 ans de procédure, il est dans une situation catastrophique. D’un point de vue humain, on peut comprendre que c’est un homme qui, parfois, traverse des périodes de désespoir extrêmement profonde. Cela faisait plusieurs mois qu’il ne se passait rien. Il n’y a plus d’audition depuis 30 mois dans son dossier. C’est un combat d’expertises et de contre-expertises. Sachant que les expertises favorables ont fait l’objet de contre-expertises. On est sur une période d’érosion psychique qui faisait que, jour après jour, c’était  de plus en plus dur. Les choses devenaient de plus en plus sombres. Là, nous sommes vraiment sur un geste de désespoir.

Ce geste, vous-a-t-il surpris ?

Non. Il aurait pu intervenir plus tôt. Cela fait très longtemps qu’il ne va pas bien. Même si c’est un battant, c’est vrai qu’il souffre beaucoup. Je m’attendais à cette nouvelle d’un jour à l’autre.

Etienne Manteaux, le Procureur de la République de Besançon devrait prendre la parole demain après-midi, que va-t-il se passer ?

Depuis un certain temps, nous travaillons pour déposer des nouvelles demandes. Demande de modification du contrôle judiciaire pour l’autoriser à travailler, demande de revenir s’installer dans la région et demande de démise en examen. C’est quand même un homme qui est présumé innocent, on a trop tendance à l’oublier. Il a le droit d’avoir une vie sociale. Ce n’est pas quelqu’un qui a été condamné. Tout cela va être déposé dans les prochains jours. J’attends de voir ce que va dire Mr le Procureur de la République lors de son allocution. Je pense que le Parquet va aussi s’intéresser à la sévérité de la procédure. Tout le monde a conscience que cela dure depuis trop longtemps Il y a un moment, soit on renvoie ce dossier pour être jugé, soit on prononce un non-lieu.

Un incendie s’est déclaré dans les combles d’une habitation cet après-midi à Balanod (39). L’action rapide des sapeurs-pompiers a permis d’éviter la propagation des flammes à l’ensemble du bâtiment. Six véhicules et quatorze sapeurs-pompiers se sont rendus sur place.

Le Docteur Frédéric Péchier a tenté de mettre fin à ses jours dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre. Il s’est jeté d’une fenêtre au domicile de ses parents, dans la banlieue de Poitiers. Il est placé sous contrôle judiciaire, depuis 2019, à cet endroit.

Rappelons que l’anesthésiste bisontin a été mis en examen pour 24 empoisonnements de patients, dont neuf mortels. Il est soupçonné d’avoir pollué les poches de perfusion de personnes hospitalisées, âgées de 4 à 80 ans, provoquant « des évènements indésirables graves Â». Le spécialiste intervenait ensuite pour sauver les victimes.

Frédéric Péchier se trouve actuellement en service de réanimation à l’hôpital de Poitiers, où son état est jugé « stationnaire Â», selon un de ses avocats.

Un grave accident de la route s’est produit hier soir Avenue Edgar Faure à Besançon. Deux voitures sont impliquées. On déplore quatre blessés. Deux femmes, âgées de 19 et 24 ans étaient piégées dans leur voiture. La seconde est plus grièvement touchée. Dans le second véhicule, deux jeunes hommes, âgés de 21 et 24 ans, présentent des blessures légères. Les victimes ont été dirigées sur le centre hospitalier de Besançon.

Un grave accident de la route s’est produit hier soir place Battant à Besançon. On déplore quatre blessés.

Hier, vers 16h, les sapeurs-pompiers sont intervenus à Chouzelot, pour un feu de hangar d’environ 700 m2, contenant du fourrage, du matériel agricole et une voiture. A l’arrivée des secours, la bâtisse s’était totalement embrasée. A l’aide d’une lance, les secours sont parvenus à protéger la maison d’habitation située à proximité. Une surveillance des lieux a été assurée cette nuit par les soldats du feu.