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Dans le Doubs, l’ADMR, l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural, continue de porter assistance aux personnes dans le besoin, tout en respectant les consignes de sécurité mises en place. La coordination s’effectue avec le personnel médical pour éviter les contacts et la propagation du virus. Pour la sécurité de ses salariés et des bénéficiaires, la structure a pu compter sur le soutien d’entreprises telles que La Fontaine d’Allenjoie ou encore la société Guillin d’Ornans pour obtenir des masques chirurgicaux et des visières de protection. Elle a également pu bénéficier de la première commande de 2 millions de masques de la région Bourgogne Franche-Comté.

Des équipes toujours mobilisées

Malgré la situation, 65% des salariés sont encore en activité, et Willy Cadet, le directeur de l’ADMR du Doubs, chiffre à 1.115 le nombre d’interventions journalières auprès de personnes âgées et en situation de handicap. Il assure « avoir encore la volonté de pouvoir mettre en place et déployer de nouvelles prises en charge pour ce que l’on appelle les actes non-essentiels, c’est-à-dire, « le ménage, l’accompagnement social, ou les courses. Â»

Jobs d’été

L’ADMR recrute encore de nouveaux collaborateurs. Malgré le contexte économique, le recrutement d’étudiants durant la période estivale est maintenu. Il est possible de postuler en contactant le service recrutement de la fédération ADMR du Doubs au 03.81.56.22.44.

Le radar tronçon entre Cléron et Épeugney, près d'Ornans sur la Départementale 9 est endommagé depuis ce week-end. La vitesse est limitée à 80 km/h sur ce secteur. Cet appareil a été installé sur ce secteur après un terrible accident, survenu en 2012,  qui avait coûté la vie à trois personnes.

La dégradation de radar est un délit qui relève des articles 322-1 et article 322-2 du code pénal. Elle entraîne donc une inscription au casier judiciaire.

- Pour avoir affiché des autocollants, fait des graffitis, occulté ou bâché les vitres d'un radar : l'auteur des dégradations risque jusqu’à 15 000 euros d’amende et une peine d’intérêt général ;

- Pour avoir détruit ou endommagé un radar (incendie, vol, explosion) : l'auteur des dégradations risque jusqu’à 75 000 euros d’amende et 5 ans d’emprisonnement.

- Si l'action a été menée par un groupe de personne, ou un individu masqué, la peine est encore plus lourde : jusqu’à 100 000 euros d’amende et 7 ans d’emprisonnement.

Le coût de réparation d'un radar dépend de l'importance des dégradations. Aussi, il peut varier entre 500 euros pour une vitre cassée sur un radar à 200 000 euros pour le remplacement intégral d'un radar de dernière génération. Le financement du déploiement et de la maintenance des systèmes automatiques de contrôle et de sanction provient du produit des recettes des amendes radars. (Source : Sécurité Routière)

Au tour de la Municipalité des Hauts de Bienne de lancer sa chaîne de solidarité. Comme dans beaucoup de communes, son but réside en la conception de masques pour la population et les soignants. Chaque habitant est invité à participer, couturier ou non. Il est possible de s’atteler à la fabrication des masques ou bien tout simplement de faire des dons de tissus, fils et élastiques directement à la mairie. Pour être bénévole, les inscriptions se font au 03 84 33 10 11. Des patrons seront distribués en marie. S’il venait à manquer de matériel, la municipalité s’engage à rembourser les frais de chacun nécessaire à la création de masques. Ces derniers seront par la suite distribué par la mairie mais pourront l’être également par les bénévoles.

La précarité chez les étudiants n’a pas attendu le coronavirus pour être d’actualité, mais ce sentiment se renforce durant cette période sanitaire délicate. 500 étudiants sont encore confinés à l’étroit dans leur logement étudiant. Certains ont également vu leurs revenus disparaître, ne pouvant plus travailler pendant cette période de confinement. Anthony Poulin, élu bisontin (EELV) et en charge de la vie étudiante à la ville de Besançon, constate « l’accélération de la précarité étudiante Â» causée par le confinement, et regrette le sentiment d’oubli que peut ressentir la jeunesse face aux premières mesures prises par le gouvernement.

Pour pallier à cette situation, plusieurs actions sont menées. La semaine dernière, des distributions de paniers-repas ont été mises en place par la BAF (Fédération des étudiants franc-comtois), avec le soutien de la Ville et du Grand Besançon. Près de 250 étudiants ont pu bénéficier de cette action solidaire. Le Crous a également mis en place un dispositif d’écoute et de soutien psychologique, pour aider de nombreux jeunes se sentant seuls pendant le confinement. En attendant, peut-être, davantage de mouvement de la part de l’État, Anthony Poulin l’assure, « tous les acteurs locaux sont mobilisés, vous n’êtes pas seuls Â».

Franck Monneur, directeur de la communication d'Éric Alauzet (LREM) pour les élections municipales, est monté au créneau, sur son compte Facebook, face aux nombreuses critiques des internautes sur le discours du Premier Ministre, Édouard Philippe et de son Ministre de la Santé, Olivier Véran.

Franck Monneur fustige les "éternels insatisfait srâleurs et mécontents, qui savent tout mieux que tout le monde".

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