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Le rectorat de Besançon revient dans un communiqué de presse sur le grave incident survenu hier devant le lycée des Huisselets à Bethoncourt. Pour des différends externes à l’établissement, une bagarre a éclaté à l’extérieur du lycée, à la sortie des cours, vers 17h30. Elle implique un élève qui a très sérieusement blessé un jeune homme non scolarisé dans ce lycée.

« Suite à cette agression, un dispositif de sécurité renforcé a été mis en place dès ce matin aux abords de l’établissement scolaire Â» explique l’écrit du rectorat. Le proviseur a pris une mesure conservatoire d’interdiction d’accès contre l’agresseur, jusqu’à son conseil de discipline. La décision de mettre en place une cellule d’écoute sera prise dans les prochaines heures.

Jean-François Chanet, recteur de l’académie, et Jean-Marie Renault, inspecteur d’académie du Doubs, condamnent avec la plus grande fermeté cet acte de violence « inadmissible Â». Le recteur et l’inspecteur d’académie adressent « leurs voeux de prompt rétablissement à la victime Â». Ils tiennent également à saluer les comportements exemplaires des élèves du lycée qui ont apporté les premiers secours ainsi que le professionnalisme et le dévouement du chef d’établissement et de l’équipe éducative. Ils assurent les élèves et l’ensemble des personnels de tout leur soutien.

Dans l’affaire des empoisonnements dans des cliniques bisontines, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Besançon devait statuer ce mercredi sur la demande de levée de mise en examen exprimée par l’anesthésiste bisontin. Le Dr Frédéric Péchier, qui clame son innocence, demande également son placement sous le statut de témoin assisté. La décision sera connue le 27 septembre prochain.

Rappelons que le praticien a été mis en examen le 6 mars 2017. Il est soupçonné de l’empoisonnement volontaire et prémédité de sept patients, entre 2008 et 2017.

Selon l'enquête, des "doses létales de potassium et d'anesthésique" ont été volontairement administrées à quatre patients de la clinique Saint-Vincent - dont deux sont morts - et à trois patients de la polyclinique de Franche-Comté.

Qui n’a déjà pas souffert de douleurs corporels qui l’handicape et lui rend le quotidien particulièrement difficile ? A Besançon, Catherine Mathey, danseuse professionnelle, a choisi de mettre ses compétences et son savoir, issus de son milieu de prédilection, pour soigner ces maux qui dérangent et empêchent de croquer la vie à pleine dent.

Grâce aux mouvements dansés qu’elle enseigne, la professeure conduit les participants à une prise de conscience, un bien être voire même un mieux être. « La danse est un échappatoire. Elle aide à se libérer et à soigner ses douleurs Â» explique Mme Mathey. C’est ainsi qu’un travail physique mais également moral s’organise avec, à la clé, des résultats surprenant. Pour les douleurs plus profondes, ce travail personnel peut s’accompagner d’un suivi plus psychologique auprès d’autres professionnels qui aideront, cette fois-ci à mettre des mots sur ces maux.

« Nous faisons appel aux préceptes de la PNL (ndlr : la Programmation Neurolinguistique). Les êtres humains communiquent par le visuel, l’auditif et le kinesthésique Â» explique Catherine Mathey. C’est pourquoi l’endroit où se déroulent ces ateliers fourmille de petites intentions qui facilitent la mise en éveil de toutes ces facultés. Ainsi, des expositions d’artistes, des conférences et des concerts ajoutent une valeur ajoutée aux interventions dansées.

Pour obtenir de plus amples renseignements n’hésitez pas à contacter la responsable en appelant le 06.32.47.66.53 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Selon le journal « l’étudiant Â», la ville de Besançon occupe la 20è place nationale et la 6è place au classement des grandes villes où la qualité de vie est la meilleure pour étudier. Ce palmarès prend en compte une offre de formations qualitative et suffisamment diversifiée, des propositions de logements nombreux et peu onéreux, un réseau de transports en commun efficace et abordable, un programme culturel riche et varié et un marché de l’emploi important et dynamique, … . Quinze critères ont été choisis pour établir ce palmarès.

Concrètement, Besançon se classe en 5è position pour le logement, 4è pour l’offre de formations, 35è pour les transports, 31è pour le dynamisme de l’emploi, 17è pour l’offre culturelle et l’ensoleillement et 16è pour le taux de réussite en première année de licence.

Pour tout savoir sur ce palmarès : www.letudiant.fr