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Sous la panique, une femme a contacté le commissariat de Pontarlier hier soir à 18h. Elle a expliqué avoir subi des violences et des menaces de mort de la part de son conjoint, avec qui elle habite depuis plus de deux ans. Sur fond de jalousie, ce dernier lui aurait porté de nombreux coups de pieds au niveau des jambes. La victime a été prise en charge, puis transportée à l’hôpital de Pontarlier. Il lui a été prescrit un certificat médical et 5 jours d’ITT. Elle a expliqué avoir déjà été frappée à deux reprises, mais n’a pas souhaité porter plainte. Le mis en cause a été placé en garde à vue, et sera déféré demain à 11h devant la justice.

Les étudiants ont également décidé de faire entendre leur voix ce mardi après-midi. Plusieurs initiatives étaient menées sur les différents Campus. A l’UPFR des sports, une cinquantaine d’étudiants étaient mobilisés.

Ils se sont rassemblés sur le terrain de rugbydu campus, tout en respectant les mesures sanitaires. Chacun a pu prendre la parole et exprimer son ressenti sur sa situation personnelle. Une autre action symbolique se tient actuellement à la faculté de droit de Besançon.

Une nouvelle manifestation pour les libertés est prévue ce samedi 30 janvier, à 10h30, sur la place de la Révolution, au centre-ville de Besançon. Cette mobilisation s’effectuera à l’appel de plusieurs organisations syndicales et partis politiques de gauche. Ce rassemblement sera suivi d’une manifestation jusqu’à la préfecture.

200 personnes se sont rassemblées devant le rectorat de Besançon ce mardi après-midi pour dénoncer la politique du gouvernement en matière d’éducation. Parmi les manifestants, des syndicats, des enseignants, mais également des étudiants de la faculté des lettres, venus exprimer leur désespoir. Après les traditionnelles prises de parole sous les fenêtres de Jean-François Chanet, le recteur de l’académie de Besançon, le cortège a pris la direction de la préfecture, où une délégation doit être reçue par Joël Mathurin.

Pour les enseignants, la coupe est pleine. Les promesses non tenues de Jean-Michel Blanquer, notamment concernant les revalorisations salariales en pleine crise du coronavirus mais également les moyens alloués à leurs établissements pour mener à bien leur mission sont clairement dénoncés.

Selon des chiffres provenant du rectorat de Besançon, le taux de participation au mouvement de grève de ce mardi est de 14 % dans l’académie. Il est de 12 % au niveau national. 14 % des enseignants ont fait grève dans l’académie de Besançon dans le 1er degré. Ils sont 13 % dans le second degré.

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