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Sacré champion du monde FIFA 17 à Berlin, le jeune franc-comtois vient de signer dans l’équipe e-sport du PSG.

A seulement 20 ans, il accumule déjà les titres, champion de France à l’Olympia, vice-champion d’Europe à Paris et champion du monde, le PSG a semble-t-il signé avec la bonne recrue.

En parallèle, le bisontin a validé sa sélection en équipe de France à Clairefontaine.
Il portera donc les couleurs du PSG et de l’équipe de France.

A Pontarlier, les marchés hebdomadaires avaient été déplacés pendant la période hivernale. Dès demain ils reviennent à leur emplacement habituel, dans les rues des Bernardines, Jeanne d’Arc et places Crétin et Jules Pagnier.

Depuis la création de la Halle Emile Pasteur, il avait été annoncé qu’elle serait à destination de l’ensemble des pontissaliens et non pas seulement pour les marchands du jeudi et du samedi. C’est chose faite, la Halle a déjà été réservée pour l’ensemble des weekends du mois de juin.

La décision de quitter la halle couverte a tout de même fait débat au sein des maraîchers, des commerçants et de la municipalité. Un vote a donc été effectué, la majorité des maraîchers étaient pour le retour à l'emplacement habituel. 

Rendez-vous dès demain pour (re)découvrir le marché pontissalien. 

Les acteurs de la seconde guerre mondiale sont de plus en plus rares et leurs témoignages d’autant plus précieux. D’où l’initiative de mairie de Dole de convier Maxime Cordelier, 94 ans, à intervenir devant les élèves de CM1 et CM2 de l’école de Goux.

Devant des enfants impressionnés par son parcours et ses nombreuses décorations, dont la Légion d’Honneur, il a évoqué son engagement et la libération du 8 mai 1945. Nul doute que ces jeunes citoyens seront encore plus attentifs autour du monument aux morts lors des prochaines commémorations.

L’étude d’impact à venir permettra d’apporter des réponses aux questions posées lors de la concertation et de nombreuses thématiques comme les besoins de foncier, les mesures de protection contre le bruit, les effets du projet sur la qualité de l’air, les vibrations, l’activité agricole et les milieux naturels.

Dans son communiqué de presse, le maître d’ouvrage s’engage à prendre en compte dans la suite des études techniques les points suivants soulevés au cours de la concertation :

  • « Les variantes possibles à Beure feront l’objet d’une étude complémentaire qui réexaminera leurs capacités à écouler le trafic en toute sécurité et cherchera à en optimiser les coûts. La faisabilité des différentes variantes proposées par les contributeurs de la concertation sera regardée. Dans le cas où la variante 3 serait finalement retenue, les différentes options de desserte et de désenclavement du quartier des Piccotines à Beure devront être étudiées en détail.
  • La possibilité de mettre en place un aménagement modes doux en site propre sur l’ensemble de l’itinéraire entre les « Boulevards » et Beure sera étudiée ; les impacts en termes d’acquisitions foncières seront mesurés pour le Chemin des Vallières, où il n’est pas prévu aujourd’hui de site propre pour les modes doux, et ce afin de répondre précisément aux questions des riverains.
  • Les études sur une sortie du site de Micropolis vers le Nord et sur une mise à double sens de la rue Blaise-Pascal dans le quartier des Vallières seront poursuivies. La faisabilité technique d’un accès à la ZA Terre Rouge depuis le boulevard Kennedy sera étudiée.
  • La possibilité technique d’une desserte modes doux et accessible aux Personnes à Mobilité Réduite (PMR) du site de Micropolis depuis l’avenue François-Mitterrand sera étudiée. Des concertations spécifiques seront ensuite organisées avec les riverains concernés par les questions de foncier et de protection contre le bruit, la commune et les habitants de Beure sur la variante d’aménagement à Beure et les associations de cyclistes sur les aménagements pertinents pour la voie modes doux. L’information sur l’avancement des études sera poursuivie sur le site de la DREAL et au moyen de réunions avec les Conseils Consultatifs des Habitants et les associations Â».

Ce mercredi 25 avril, l’association Bourgogne Franche-Comté Mobilité Electrique, en partenariat avec le Grand Besançon, organise les 1ères rencontres de la Mobilité électrique. Cette journée se décline en des tables rondes à destination des élus et des représentants des collectivités locales, du monde associatif et des professionnels et d’un « village de la mobilité électrique Â», en plein cÅ“ur de la place Granvelle, qui permet aux visiteurs de rencontrer les professionnels du secteur pour échanger autour de ce sujet de société. Plus de 20 stands, dont sept concessionnaires automobiles ont répondu présent.

La mobilité électrique est un sujet très en vogue. Beaucoup y voient notamment un intérêt lié à la protection de l’environnement. Selon des chiffres communiqués par l’association Bourgogne Franche-Comté Mobilité Electrique plus de 100.000 véhicules électriques sont en circulation en France actuellement. L’Hexagone serait d’ailleurs « passé en tête des pays européens au niveau du nombre d’immatriculations de voitures électriques devant la Norvège, longtemps leader en la matière». La mobilité électrique touche tous les domaines. Cela concerne bien entendu les déplacements des particuliers mais aussi les entreprises, les transports en commun et les loisirs, sans oublier le monde du handicap. Cette technologie reste encore marginale, mais elle tend à se démocratiser. Reste néanmoins à lever quelques freins comme le développement sur le territoire d’outils et d’infrastructures servant à leur usage et bien entendu le coût qui reste encore important.

600 vélos à assistance électrique bientôt en service dans le Grand Besançon

A la Communauté d’Agglomération du Grand Besançon, l’intérêt porté à la mobilité électrique ne date pas d’aujourd’hui. L’arrivée du tram, la création d’une ligne de bus en site propre, l’achat de véhicules et scooters électriques, le développement de vélocité et la mise en service prochaine de vélos à assistance électrique en ville ou encore l’installation de bornes de chargement font partie des initiatives lancées. Pour Michel Loyat l’élu en charge des transports au Grand Besançon, la ville d’aujourd’hui et de demain ne peut pas se concevoir sans cette démarche politique. « C’est une volonté pour nous d’avoir une mobilité conforme au développement durable Â» conclut l’élu bisontin.

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