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La révolution fiscale est en marche en France avec le passage au prélèvement à la source, donc sur le salaire, de l’impôt sur le revenu. Déjà compliquée à mettre en place en France puisqu’elle passe par une implication des employeurs, elle l’est encore plus quand le salarié dépend d’une entreprise suisse.

Qu’en sera-t-il donc pour les frontaliers ? Et dans les couples dont un travaille en France et l’autre en Suisse, comment se passera l’imposition ? Les explications de Valérie Pagnot, juriste à l’Amicale des Frontaliers.

Cette semaine à Pontarlier près de 360 élèves de collège et lycée découvriront la piste de sensibilisation aux risques des deux-roues motorisés. 

Hier 60 collégiens de Philippe Grenier ont passé l’après-midi sur le parking de la Gare de Pontarlier afin d’être éduqué à la conduite du deux-roues en sécurité.

L’initiation s’effectue en plusieurs étapes, ils passent par une salle de cours pour discuter avec les CRS responsables de la formation. Ils abordent des sujets comme les différents permis, le code de la route, la conduite sous l’emprise de l’alcool ou de stupéfiants.
Cette initiation est proposée aux jeunes à partir de 14 ans, l’âge à partir duquel ils peuvent conduire un 50 cm3.

La piste sera ouverte au public demain après-midi. Afin d'obtenir des conseils, ou bien essayer la conduite du deux roues, la piste sera accessible à tous. Seule condition, avoir plus de 14 ans.
Dans le cadre de la police de sécurité du quotidien, pour assister et soutenir la population, le commandant Trousseau et Mme la Sous-préfète seront présents jeudi après-midi pour une remise de prix à destination des élèves ayant participé. 

Ce mardi matin, le général de corps d’armées Gilles Lillo, commandant la zone Terre Nord-Est, avait convié les élus de Bourgogne Franche-Comté au sein des quartiers du 6è régiment du matériel et du 19è régiment du génie pour une présentation et une démonstration des capacités de l’armée de Terre. C’est donc tout naturellement à Besançon qui concentre une importante cargaison militaire que s’est déroulée cette rencontre. Avec respectivement 1200 et 1700 hommes et femmes engagés, dont plus de 500 réservistes, les deux sites présentent des effectifs très importants. D’ailleurs, le 19è RG est le régiment le plus important de l’armée de Terre.

Pour le général Lillo, en poste dans la zone de défense et de sécurité Grand Est depuis septembre dernier, l’objectif premier était de mieux faire connaître l’institution militaire aux élus de la région et aux grands cadres des administrations du territoire. Depuis son arrivée aux responsabilités, le militaire a constaté « le besoin d’ouvrir davantage l’institution et se faire mieux connaître Â». Le général explique qu’en politique comme dans les hautes administrations, la génération qui a connu le service militaire commence à disparaître pour laisser place à de nouvelles personnes pour qui le milieu militaire est parfois méconnue ou insuffisamment maîtrisé.

Des élus intéressés et demandeurs 

Quelques élus ont fait le déplacement. Ceux qui ont répondu favorablement à l’invitation sont convaincus du bienfondé de cette démarche. Ils y voient aussi un moyen de rendre hommage à la nation et à ces hommes et femmes qui, chaque jour, se mobilisent pour la paix et la sécurité du pays. « C’est un grand honneur que d’avoir été invitée. En répondant à cette invitation, je tenais à montrer mon soutien et mon respect à nos forces armées et de défense françaises. Je constate que nous avons encore plus besoin d’eux. Nous nous faisons beaucoup de souci pour eux. Nous savons qu’ils sont très exposés » explique Marie-Christine Chauvin, sénatrice du Jura. « C’est incontournable que d’être présent auprès de nos forces militaires. Notamment pour bien comprendre la machine et les enjeux. Il est important également en ce qui me concerne, en tant que vice-président du département du Doubs, de pouvoir côtoyer ces femmes et ces hommes militaires Â» explique Ludovic Fagaut.

« Le tout-voiture est aujourd'hui dans une impasse, dans un contexte de saturation des routes, de la hausse du prix des carburants et de la nécessaire réduction des émissions de CO2 Â» constatent les députés de la majorité présidentielle du département du Doubs. Ils appellent donc les pouvoirs publics à investir dans des infrastructures afin de développer l'usage du vélo.

« Nous souhaitons ainsi le développement de liaisons dites "autoroutes vélo" entre différents pôles de vie sur un même territoire. Entre deux bourgs distants de quelques kilomètres, une piste cyclable sans coupures à côté d'une ­départementale n'est pas une utopie. Nous sommes également convaincus que les gares doivent devenir des pôles d'échanges multimodaux. Le déploiement d'infrastructures dédiées contribuera à la résorption des "zones blanches" de la mobilité dans certains territoires aujourd'hui en marge Â» soulignent-ils, insistant sur le fait que le vélo est un vrai moyen de transport qui n'est pas limité aux citadins, mais aussi pertinent, pour certains déplacements, dans les territoires péri­urbains et ruraux.

Pour conclure leur appel, ils demandent également la généralisation de l'indemnité kilométrique vélo (IKV) pour tous les employeurs privés et publics, « ce qui permettra aux salariés d'être indemnisés pour leurs déplacements domicile-travail à vélo Â» et un renforcement des dispositions relatives à la sécurité routière pour les cyclistes.

Effectué en début d’année, le recensement de la population de Charquemont a d’ores-et-déjà livré son verdict. Et comme attendu, la population est en hausse comme elle l’est depuis plus de vingt ans avec la même constance.

Les 2413 habitants que comptait la commune il y a dix ans sont donc loin avec aujourd’hui puisque l’INSEE fixe la population locale à 2708 habitants. Soit 500 de plus qu’en 2000 par exemple, une augmentation de plus de 20%.

« Ici, le prix des terrains est abordable et nous bénéficions de la proximité de la Suisse ainsi que d’un tissu économique solide avec environ 550 emplois sur le territoire de la commune Â» se félicite le maire Roland Martin. La collectivité accompagne cette croissance avec ces dernières années par exemple l’agrandissement de l’école et la mise en place de nouveaux services comme une bibliothèque.

« Nous devons anticiper en faisant des prévisions pluriannuelles Â» explique l’élu qui souhaite que le développement de Charquemont soit maitrisé avec pas plus de 15 à 20 constructions nouvelles par an dans les lotissements privés qui sortent de terre.

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