Faits divers : Accident de la route
Ce matin à Audincourt, les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus pour un accident de la route.
L'accident a provoqué une fuite de gaz sur la voie publique.
Les secours sont sur place
Ce matin à Audincourt, les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus pour un accident de la route.
L'accident a provoqué une fuite de gaz sur la voie publique.
Les secours sont sur place
En pleine campagne de nettoyage de Printemps, force est de constater que le respect de l’environnement n’est pas encore suffisamment entré dans les mœurs. Que ce soit au Mont des Frenelots sur la commune des Fins ou à Montlebon, le moins que l’on puisse dire est que l’attitude des personnes qui ont jeté leurs déchets en pleine nature est révoltante.
Particulièrement énervée par un tel manque de civisme, Madame le Maire de Montlebon s’interroge et prévient sur le site officiel de la commune : « Mesdames, Messieurs les contrevenants, si pareil fait se produisait devant votre porte, apprécieriez-vous cela ? Ces états de fait ont assez duré ». La surveillance va sans doute être accrue et rappelons-le, ces faits sont en effet amendables.
Voilà bientôt une semaine que la femelle Calao Decken, ce bel oiseau africain, a fugué de la citadelle. Un long corps blanc, des ailes noires et un bec de la même couleur, l’animal peut certes facilement passer inaperçu et prolonger sa fugue comme d’autres avant lui.
Des flamants roses ont par le passé pris eux aussi la poudre d’escampette, tout comme le singe Drako en 2007 pour une cavale qui se termina tragiquement après plus de 80 jours.
Mais l’optimisme reste de mise à la Citadelle où le mâle désespéré attend sa moitié. L’équipe du zoo aussi. Pour les prévenir si vous apercevez la fuyarde : 03 81 87 83 33
L’association « Habitat et Humanisme », qui a une antenne à Besançon, et dont l’action concerne l’ensemble du département du Doubs, va ouvrir en septembre prochain à Besançon, rue Jules Haag, une résidence intergénérationnelle à destination d’un public défavorisé. Cette structure se déclinera en 17 logements. Il y aura des studios pour des étudiants, des personnes âgées isolées ou des familles monoparentales à faible revenu. Un T4, quatre T2, six T3 et une salle commune seront proposés. Un animateur devrait également être recruté pour animer les lieux et créer du lien entre les occupants. Comme n’importe quels autres locataires, les personnes et familles prises en charge par « Habitat et Humanisme’ paieront un loyer mensuel, qui, cependant, ne dépassera pas 33% des revenus mensuels du ou des bénéficiaires.
Ce projet a pu voir le jour grâce aux fonds propres apportés par l’association, la Ville de Besançon et les aides de l’état via notamment l’Agence Nationale de l’Habitat. Avant de s’installer définitivement dans ce quartier bisontin, l’association s’est vue proposer plusieurs autres sites. C’est finalement le terrain de la rue Jules Haag qu’elle a choisi. Pour l’association, le choix de l’emplacement est déterminant pour la bonne réussite de son action sociale. « L’objectif étant de trouver des quartiers où un lien social est possible, avec des services de proximité, des écoles et des transports en commun ».
Un parc d’une quarantaine de logements
L’association bisontine dispose d’une quarantaine de logements répartis dans le département du Doubs. Certains ont été achetés, mais pour la plupart d’entre eux, il s’agit d’un contrat de location avec un propriétaire, qui, parce qu’il accueille des personnes en situation précaire, bénéficie d’avantages fiscaux et d’autres aides diverses. Christian Pauthier est le bénévole chargé de trouver ces appartements capables d’accueillir des locataires pour lesquelles l’impossibilité de se loger handicape grandement leur insertion et leur progression dans la vie. C’est aussi la raison pour laquelle la qualité de l’isolation d’un lieu fait l’objet de toutes les attentions. Pas question d’offrir des lieux de vie avec des charges trop importantes, notamment au niveau du chauffage.
Les propriétaires qui souhaiteraient rencontrer Mr Pauthier pour échanger sur la mise à disposition d’un logement peuvent le contacter au 03.81.50.04.09
Depuis le 1er janvier 2018, les communautés de communes ont une nouvelle compétence obligatoire, imposée par la loi : la Gemapi, gestion des eaux, des milieux aquatiques et prévention des inondations.
Autant de responsabilités nouvelles qui incombent désormais non plus à l’Etat mais aux groupements intercommunaux à qui la loi laisse le choix pour la financer de mettre ou non en place une nouvelle taxe. Ce que plus d’un tiers vont faire dès cette année dans toute la France.
A la communauté de communes du pays de Maiche (CCPM), le président Régis Ligier estime indispensable que cette compétence nouvelle soit financée par une taxe comme le prévoit la loi. Pour plus de lisibilité et aussi car le besoin en l’espèce est important. « Nous avons estimé que les projets dans ce domaine nécessite une recette fiscale supplémentaire de 56000 € donc nous avons choisi d’augmenter les bases des trois taxes en conséquence » explique-t-il.
C’est en effet via les taxes d’habitation, sur le foncier bâti et le non bâti que se traduit cette nouvelle recette fiscale qua la loi a plafonné à 40€ par an et par habitant. Ce sera 3€ pour les habitants de la CCPM.
« Nous avons d’importants chantiers en perspective sur le Doubs et le Dessoubre avec notamment l’arasement des barrages pour restaurer la continuité écologique de ces cours d’eau » poursuit l’élu qui comme beaucoup de ses collègues regrette de voir les collectivités subir ce nouveau transfert issu d’un simple amendement de la célèbre loi Notre (Nouvelle Organisation Territoriale de la République).