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Faire un tour du lac Saint-Point et profiter des paysages du Haut-Doubs, longer le Doubs dans le Grand Besançon, rouler entre France et Suisse sur les secteurs de Maiche, du Russey et de Morteau, redécouvrir le territoire des Portes du Haut-Doubs et pourquoi pas la vallée de la Loue… les cyclistes ont largement de quoi se faire plaisir et ne s’en privent pas depuis que le Printemps a enfin fait son apparition.

C’est donc l’occasion de rappeler comme le dit le slogan de la Sécurité Routière que « La route est un espace qui se partage Â», ce qui implique un respect mutuel de la part de ceux qui s’y déplacent.

Le cycliste, tout comme l’automobiliste, doit appliquer les règles du Code de la route qui garantissent sa sécurité et celle des autres usagers. « Pour rouler en toute sécurité, le cycliste doit impérativement disposer d’un vélo en bon état, bien équipé et surtout connaître et appliquer les règles élémentaires de déplacement, en ville et hors agglomération, de jour, comme de nuit Â». Sans oublier le port du casque, obligatoire pour les moins de 12 ans et recommandé pour les autres.

Les automobilistes quant à eux sont invités à respecter la distance de sécurité réglementaire lors de leur dépassement d’un cycliste, comme le prévoit le code de la route : 1m en agglomération et 1,50m en dehors.

Depuis le mois de décembre, le sentier qui permet d’accéder à l’ensemble des cascades du Hérisson était fermé.

La communauté de communes du Pays des Lacs a annoncé la fin des travaux. Ils ont mis en place des gardes corps, déboisés le terrain suite à l’éboulement survenus le 27 décembre dernier.

Comme prévu les cascades du Hérisson seront de nouveau accessibles dans leur intégralité avant la fin du mois, dès dimanche 28 avril.

La Communauté d’Agglomération du Grand Besançon, en collaboration avec l’Etat, la Région Bourgogne Franche-Comté et le service public de l’emploi local, organise ce jeudi de 14h à 18h la 14è édition des rendez-vous de l’Emploi, ce jeudi au Palais des Sports Ghani Yalouz.

Cette opération vise à rapprocher les demandeurs d’emploi résidant dans les quartiers prioritaires et les entreprises qui recrutent. Il ne s’agit pas d’un forum mais des rendez-vous devant déboucher sur des recrutements. Chaque candidat a été appelé en amont afin de lui proposer un poste et de vérifier son adéquation avec le besoin de l’entreprise.

Plus de 300 candidats ont répondu présent. 47 entreprises feront le déplacement. Elles sont essentiellement issues des secteurs de l’industrie et du bâtiment, du tertiaire et des services et de l’insertion par l’activité économique. 159 postes sont proposés.

A l’heure où bon nombre de communes s’engagent dans une démarche zéro phyto, limitant ou éliminant les produits phytosanitaires de leurs habitudes, la question se pose de ce que les jardiniers peuvent aussi faire individuellement à leur niveau. C’est la question qui sera posée lors de la réunion à la Chenalotte, à l'initiative de la mairie et de celles voisines de Noel-Cerneux et du Barboux.

La question est d’autant plus importante que la France compte quelques 17 millions de jardiniers en herbe qui entretiennent soigneusement leurs pelouses et cultures avec très souvent l’aide de pesticides. 5000 tonnes d’herbicides sont ainsi utilisées chaque année dans les jardins de nos villes et villages alors que des techniques plus naturelles existent.

C’est tout l’enjeu de tels rendez-vous de proximité pour sensibiliser et prouver qu’une autre voie est possible et que chacun à son niveau peut faire un petit geste pour la planète.

Ne croyez pas que le nombre croissant de sangliers dans les campagnes ne soit qu’un problème franco-français. La Suisse aussi connait la même situation et les mêmes effets avec des dégâts causés aux cultures et donc la grogne des agriculteurs.

Pourtant les autorités avaient comme chez nous prolongé d’un mois la période de chasse jusqu’à fin février et procédé à 350 prélèvements de sangliers contre 150 en moyenne habituellement. Pas suffisant visiblement puisque le Conseil d’Etat étudie la possibilité de rouvrir cette chasse dès le mois de mai selon notre confrère Arcinfo, soit une période portée de 3 à 9 mois par an, non pas pour éradiquer mais pour réguler a rassuré un conseiller face à une députée verte qui s’interrogeait.

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