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« Un siècle après, c’est un beau retour de l’histoire. Nous avons la volonté de lui donner un aspect éducatif fort, de mettre en avant cette solidarité entre les deux communes pour faire réfléchir les générations futures Â» explique Dominique Rondot, maire du Barboux heureux de pouvoir mettre à l’honneur cet acte civique et patriotique de ses prédécesseurs en y ajoutant un message pour les générations futures. « En juin 2017, nous avons signé aux Eparges le document liant nos deux villages Â».

Un rendez-vous émouvant qui sera prolongé le 9 juin prochain tut au long de l’après-midi par une rencontre cette fois au Barboux. « L’association Laissez-les servir et le Souvenir Français sont associés à ce rendez-vous ouvert à tous » poursuit le premier magistrat.

Ensemble, ils rappelleront ainsi l’histoire singulière des habitants de cette terre dévastée par la folie de la grande guerre. Plutôt que l’exil et l’abandon de leur village à leur retour chez eux après la guerre, des familles vont choisir la reconstruction. Un acte courageux et couteux soutenu notamment par la commune forestière du Barboux qui à l’époque a versé 10000 francs. Un geste solidaire sans rien attendre en retour et qui prend toute sa mesure en cette année du centenaire de l’armistice de 1918.

La mobilisation se poursuit à la SNCF demain. La grève perlée mise en place depuis le 2 avril impactera le trafic ferroviaire demain en Bourgogne-France-Comté.

Prévoyez 1 TER sur 2 et 2 TGV sur 3. Concernant les Intercités il y aura 2 trains sur 5.
En complément des autocars seront déployés dans la région.

Du 06 au 29 juin, à la demande du Conseil régional, SNCF TER Bourgogne Franche-Comté met en place un dispositif d’alerte « SNCF SPECIAL Exams Â» en coopération avec les rectorats des académies de Dijon et Besançon : vigilance accrue des trains acheminant les élèves aux sessions d’examens et information auprès des autorités académiques en cas de retard, suppression et incident.

Le dispositif prévoit une mobilisation exceptionnelle les jours d’examens : une attention particulière est portée aux trains acheminant les candidats vers leur lieu d’examen avec une signalisation ad hoc ; les Gilets Rouges sont renforcés pour informer et rassurer les candidats

« TER Bourgogne-Franche-Comté surveillera tout particulièrement les trains à destination des centres d’examen. C'est-à-dire que les TER desservant les centres d’examen le matin seront particulièrement suivis par l’ensemble de la chaîne en charge des circulations ferroviaires Â» précise la SNCF qui précise qu’en cas de perturbation, « des mesures exceptionnelles de substitution pourront être prises par SNCF et communiquées aux candidats concernés, afin de permettre l'acheminement le plus rapide possible vers les centres d'examen Â».

Ce vendredi s’est tenue, à Besançon, sur le campus universitaire de la Bouloie et au stade Léo Lagrange une nouvelle édition de cybertech. Cette sympathique manifestation a rassemblé 1200 élèves de troisième de toute l’académie. Pour cette nouvelle édition, 17 établissements scolaires étaient présents. On notera également la précieuse collaboration de l’université de Franche-Comté qui propose en marge du concours, sur le campus, de multiples rencontres avec des chercheurs , des roboticiens, des visites d’ateliers, des conférences, …. . Au-delà de la dispense des connaissances et du plaisir de faire travailler une classe sur un projet collectif, l’objectif est aussi d’intéresser la nouvelle génération aux domaines technique et industriel. Comme l’ont rappelé les organisateurs, la France manque d’ingénieurs. D’où l’importance de s’y intéresser.

Tout au long de l’année scolaire, dans le cadre des cours de technologie, les collégiens sont amenés à concevoir des robots devant relever des défis multiples tout en respectant un cahier des charges strict. Ce matin, les jeunes et leurs enseignants ont fait fonctionner leur création devant un jury. Dix critères ont été évalués. Les robots les plus performants, répondant à ces exigences ont été récompensés La vitesse, le design, le dossier technique, la programmation, … . Pas toujours facile de répondre à tous ces critères, mais le plaisir réside surtout dans le plaisir de faire et de se mobiliser ensemble pour surmonter les obstacles et les difficultés.

C’est une nouvelle association qui intervient depuis septembre dernier dans le domaine de l’action sociale. Composée d’une équipe de 56 étudiants bénévoles et de jeunes en service civique, l’Afeve (l’Association de la Fondation Etudiante pour la Ville) intervient au sein de deux des cinq quartiers prioritaires de la cité pour accompagner les enfants dans leur scolarité et mener des actions collectives au sein des établissements scolaires. Contrairement à d’autres structures, le soutien scolaire s’effectue au domicile des jeunes.

Pour cette première saison en terre bisontine, les interventions s’effectuent sur Planoise et Montrapon, mais d’autres secteurs dits « politique de la ville Â» sont prévus en septembre prochain (Clairs-Soleils et Palente). Eymeric Minuel, le responsable de l’antenne bisontine, est satisfait de cette première année au service des enfants et des familles. Il a été surpris par l’accueil que les institutions et les familles leur ont réservé. La mobilisation avec laquelle des étudiants sont également capables de venir donner le coup de main l’ont rassuré pour l’avenir.

Le responsable et ses équipes espèrent connaître la même dynamique à la rentrée prochaine, tout en continuant leur développement. L’objectif étant bien sûr de poursuivre les actions auprès des enfants de CM1, CM2 et 6è, mais aussi d’expérimenter des initiatives, notamment dans le domaine de l’orientation en direction des plus grands, jusqu’en 3è. Les différents acteurs ( associations, écoles, ville et université) souhaitent tous poursuivre ce partenariat. A l’université, on ne cache pas que cette intégration des étudiants dans la vie de la cité, au service des jeunes en difficulté, est une très bonne chose.

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