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Le GBDH a longtemps cru obtenir une deuxième victoire de rang, mais les bisontins s’inclinent cruellement d’un petit but face au voisin dijonnais, 33-32, malgré une avance de 2 buts à la mi-temps.

Tout avait si bien commencé pour les bisontins. En confiance après leur belle victoire face à Valence vendredi, les hommes de Dragan Zovko entrent tambour battant dans leur match face à Dijon, pourtant candidat à la montée en Lidl Starligue. Les bourguignons déjouent totalement, multipliant les tirs loupés ou arrêtés, et les pertes de balle. Défensivement appliqués, les bisontins ne se font pas prier pour prendre un écart très rapidement dans le match. Adrien Claire, Xabier Labigang, et Thibaud Arteaga mènent offensivement les oranges. Au quart d’heure de jeu, le GBDH mène 9-3. Malheureusement, Besançon retombe dans ses travers et se montre de moins en moins solide en défense. Dijon ne se fait pas prier pour revenir dans le match et profite également de quelques coups de sifflets discutables pour terminer la mi-temps à -2. Un moindre mal pour les bourguignons, qui étaient tout de même menés de 6 buts dans ce match.

Des détails qui coûtent cher

La deuxième mi-temps débute comme s’est terminé la première. Besançon concède 3 buts d’entrée de jeu et voit Dijon prendre les commandes de ce derby. Cependant, Besançon ne laisse pas Dijon s’envoler. Milos Mocevic, déjà très bon face à Valence, récidive avec plusieurs parades importantes, et remet les siens devant. L’arbitrage n’aide pas les doubistes. Plusieurs coups de sifflet hasardeux permettent à Dijon de rester dans le match. Le moment choisi par Dragan Zovko de lancer Loïc Gschwind à la cage pour les jets de 7m. Le gardien remplaçant répond parfaitement aux attentes en arrêtant 3 penaltys sur 4, dont un à une minute du terme. Christopher Corneil, peu utilisé cette saison, est également lancé et réalise une belle deuxième période. Les dijonnais sont poussés dans leurs retranchements et s’agacent. Kevin Preciado est exclu pour un mauvais geste sur Xabier Labigang, qui sur l’action se blesse à la cheville (51e). La fin de match est un véritable mano à mano, mais les bisontins vont s’incliner sur des détails. Alors que le score est de 32-32, Christopher Corneil, pourtant auteur d’une belle deuxième mi-temps, perd un ballon primordial, envoyant sa passe en touche à 40 secondes de la fin. Dijon prendra ensuite un avantage définitif à 15 secondes de la fin. Luka Brkljacic a la balle d’égalisation mais est sanctionné pour un marcher très discutable.

Dijon s’impose d’un petit but 33-32 face au GBDH. Les bisontins peuvent avoir des regrets tant le match semblait à leur portée. Il faudra relever la tête lors de la prochaine rencontre de Proligue face à un concurrent direct au maintien, Sarrebourg.

Les stats :

                                            GBDH 32-33 Dijon

GBDH                                                                            Dijon

Milos MOCEVIC 12/44 (27% d’arrêts)              Wassim HELAL 10/42 (24% d’arrêts)

Loïc GSCHWIND 3/4 (75% d’arrêts)

 

Brice AILLAUD 7/9 (78% au tir)                       Steeven BOIS 6/9 (67% au tir)

Thibaud ARTEAGA 7/8 (88% au tir)                 Kevin PRECIADO 6/9 (67% au tir)

Xavier LABIGANG 4/5 (80% au tir)                  Bastien KHERMOUCHE 4/4 (100% au tir)

Tous les deux ans, les Bourguignons-Francs-Comtois de 50 à 74 ans sont invités à réaliser leur test de dépistage du cancer colorectal. À l’occasion de Mars bleu, la campagne nationale de sensibilisation au dépistage de ce cancer, le Centre régional de coordination des dépistages des cancers rappelle l’importance de réaliser ce test malgré l’épidémie de Covid-19. Toutes les mesures sont prises afin que les tests de dépistage puissent être réalisés dans les meilleurs délais et conditions.

 

Détecté tôt, le cancer colorectal se soigne plus facilement

Le cancer colorectal touche les hommes et les femmes : en France, on estime à environ 43 000 le nombre de nouveaux cas en 2018. C’est le 3e cancer le plus fréquent chez l’homme et le 2e chez la femme. Il est surtout la 2e cause de décès par cancer en France. Détecté tôt, un cancer colorectal se guérit 9 fois sur 10. « Ce cancer peut complètement être évité Â» souligne Raouchan Rymzhanova, médecin au centre de dépistage. Pourtant, seulement 30,4 % des Bourguignons-Francs-Comtois réalisent leur test de dépistage, la moyenne nationale étant à 30,5 %.

Un dépistage entièrement pris en charge

Mis en place en 2009, « ce dépistage s’adresse à la population à risque moyen Â» précise le docteur Rymzhanova. C’est-à-dire qu’il est destiné, tous les 2 ans, aux femmes et aux hommes de 50 à 74 ans sans antécédents personnels ou familiaux de cancers ou d’adénomes et ne présentant ni maladie inflammatoire chronique de l’intestin ni symptômes évocateurs. Dans ce cadre, les tests réalisés sont intégralement pris en charge financièrement par les caisses d’assurance maladie : les tests sont ainsi gratuits pour les personnes concernées.

Comment ça se passe ?

Tous les deux ans, les personnes reçoivent une invitation à réaliser leur test de dépistage. Cette invitation, transmise par le Centre régional de coordination des dépistages des cancers, est à remettre au médecin traitant lors d’une consultation. C’est ce dernier qui fournira le kit de test et expliquera le mode d’emploi. Il doit s’assurer auparavant que vous êtes éligible au dépistage du cancer colorectal et que vous avez toutes les informations nécessaires en main.

Selon le Syndicat National des Enseignements de Second degré (SNES) les établissements naviguent à vue face au Covid-19. Le syndicat déplore qu'il n'y ait pas de directive nationale et que chaque établissement propose des règles différentes.

Ainsi le conseil d'administration du Lycée Pergaud a pris la décision, malgré un avis négatif du conseil pédagogique, d'un retour des élèves en classe entière. C'est en moyenne 33 élèves par classe qui auront cours à partir du 8 mars en alternant les niveaux sur 3 semaines.

Certains parents et enseignants se demandent si cette mesure est la bienvenue face à la progression du variant Anglais dans le département, ils demandent un audit auprès de l'Agence régionale de Santé.

En France, une personne sur cinq  est confrontée à une problématique de santé mentale au cours de sa vie. La crise sanitaire fait ressurgir ces problématiques et nous interroge sur la prise en charge de ces personnes. Pour répondre à la détresse psychologique de certain(e)s bisontin(e)s, le CCAS et la Ville de Besançon ont mis en place une plateforme en ligne de soutien psychologique.

Le but est d’orienter l’internaute vers un lieu de soins, un numéro d’écoute, un lieu d’accueil ou encore un groupe de paroles. Cette initiative est inscrite dans le Plan du Conseil Local en Santé Mentale, porté depuis plusieurs années par le CCAS, la Ville de Besançon, mais aussi le centre hospitalier spécialisé de Novillars qui cherche à faire connaître son action auprès des personnes en détresse psychologique.

Le 17 février la sénatrice Annick Jacquemet a été nommée à la commission départementale de coopération intercommunale ainsi qu'à la commission chargée de la réparation des crédits de la dotation d'équipement des territoires ruraux. C'est le président du Sénat Gérard Larcher qui a décidé de cette nomination à la demande du Premier Ministre Jean Castex.

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