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Le 20 février dernier, une femme de 63 ans est venue porter plainte au commissariat de police de Pontarlier pour des faits d'agression sexuelle et de harcèlement commis par un installateur d'internet et de fibre, âgé de 28 ans.

Malgré les refus de la victime, ce dernier se montrait très insistant. Allant jusqu'à lui imposer des gestes déplacés et des embrassades. Les faits se sont passés le 17 février. Le jeune homme est en garde à vue depuis lundi matin. Il sera déféré ce mercredi devant le parquet bisontin.

Lundi, vers 16h30, une femme est venue déposer plainte au commissariat de police de Pontarlier pour dénoncer les violences de son compagnon.

Elle dénonce des violences régulières durant leurs 19 années de vie commune. Lundi, lorsqu'elle a été conduite à l'hôpital de la ville, trois jours d'ITT lui ont été prescrites.

Interpellé, l'homme a reconnu les faits, tout en les minimisant. Ce dernier devra s'expliquer devant une association d'aide aux victimes. En attendant, il lui a été demandé de quitter le domicile conjugal.

42 députés de tous bords politiques se sont mobilisés pour signer la tribune "Rouvrons les restaurants au déjeuner". Les parlementaires demandent au Premier ministre Jean Castex, d'étudier la possibilité de la réouverture des restaurants "au déjeuner, pour ceux qui en font la demande", à partir du 30 mars avec les procédures sanitaires adéquates. Parmi eux, Jean-Marie Sermier, député LR du Jura, pour qui il est primordial que les restaurateurs retrouvent une activité.

Une mesure « incohérente Â»

Dans une tribune publiée par le JDD ce dimanche 28 février 2021, le député LR du Jura, Jean-Marie Sermier, et 41 de ses collègues parlementaires "demandent au Premier ministre d'étudier la réouverture des restaurants au déjeuner, pour ceux qui en font la demande". Parce que si les restaurants sont encore fermés à l’heure actuelle, c’est parce que le gouvernement craint qu’ils soient un haut lieu de contamination. Un argument contesté par les signataires de cette tribune. « C’est complètement inadmissible de laisser les ouvriers et les employés manger dans leurs bureaux à plusieurs, dans les baraques de chantier, dans des conditions sanitaires qui ne sont pas bonnes. En leur interdisant ce qui pourrait être meilleur pour eux, c’est-à-dire un lieu adapté : un restaurant Â» soutient Jean-Marie Sermier.

Les restaurants, des lieux aux conditions sanitaires renforcées

« Les restaurants se mettent aux normes. Je peux vous dire que les restaurateurs ont fait un boulot formidable pour avoir un cahier des charges qui permette la totalité de la sécurité sanitaire Â» souligne le député du Jura. Et pour appuyer ses propos, Jean-Marie Sermier prend pour exemple l’été dernier, saison pendant laquelle la vie avait pu reprendre son cours le temps d’un instant. « On n’a pas d’exemple précis de cluster qui proviendrait d’un restaurant. Quand les restaurants ont ouvert pendant cette période, on s’est bien aperçu qu’ils avaient les moyens de travailler en toute sécurité pour leurs clients Â».

A craindre, une pénurie dans la profession

Autre problème qui va se profiler selon le parlementaire du Jura : la pénurie de main-d'Å“uvre. « Les gens qui sont dans la restauration, ce sont des travailleurs, qui aiment le travail. Ils ne sont donc pas restés inactifs, ils sont partis dans d’autres secteurs d’activité en attendant Â» notifie Jean-Marie Sermier. « En attendant Â» : voici le terme qui pose problème. Aucun de ces travailleurs ne sait quand est-ce qu’il pourra être amené à travailler de nouveau. Et la crainte, c’est qu’ils quittent définitivement la profession. « Ceux qui font des formations en restauration, un sur deux s’en va. Parce que ces métiers sont compliqués, durs, avec des horaires décalés, du travail le samedi, dimanche, pour Noël. Donc s’ils trouvent autre chose de plus agréable dans un autre domaine d’activité, ils ne reviendront plus dans la restauration. Et quand on va rouvrir, on aura un gros problème de personnel » déplore Jean-Marie Sermier.  

Aujourd’hui marque les 30 ans de la mort de Serge Gainsbourg de son vrai nom, Lucien Ginsburg. Cet artiste aura marqué les Français grâce à sa musique mais aussi avec son image souvent désinvolte qui continue de marquer de nos jours.

Si l’on n’oublie pas le personnage, on se rappelle aussi ses Å“uvres qui ont parfois fait l’objet de polémique. On peut citer la reprise version reggae de la Marseillaise qui lui attira les foudres de l’armée ou encore « Les sucettes Â» écrite pour France Gall célèbre chanson aux paroles ambiguës qui lança une immense polémique.

Bien que certaines de ses œuvres ont fait polémique, l’homme à tête de chou comme on le surnommait a été de nombreuses fois récompensé, il compte 12 disques d’or, 6 disques de platine et plus de 6 millions de disques.

Gainsbourg n’était pas seulement musicien, il a été comédien et réalisateur. Il a notamment réalisé un film avec sa fille Charlotte qui traite du rapport entre un père alcoolique et sa jeune fille.

Après sa belle victoire vendredi face à Valence, le GBDH retrouve déjà le palais des sports Ghani Yalouz ce mardi soir. Les hommes de Dragan Zovko affrontent Dijon pour un derby plein de promesses. Les bisontins doivent gagner pour garder leur avance sur les équipes relégables, quand Dijon doit s’imposer pour continuer à rêver de Lidl Starligue. Le coup d’envoi sera donné à 20h15, et sera à suivre en live sur le Facebook du GBDH.

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