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Partis en OPEX (OPérations EXtérieures) ou en MCD (Mission de Courte Durée) à l’étranger ou dans les territoires et départements d’outre-mer, les militaires basés à Valdahon vivent loin de leurs familles et amis pendant 4 à 6 mois.

Déjà, afin de leur apporter un peu de réconfort  pendant les fêtes de fin d’année, des colis leur ont été offerts par la Communauté de Communes des Portes du Haut-Doubs et la ville de Valdahon sur différents sites d’opérations.

A cela se sont ajoutés plus de 1000 messages de soutien, d’amitié, d’encouragement de nombreuses écoles du secteur, à l’initiative de Colette Lombard, maire-adjointe, correspondante défense-ville de Valdahon en partenariat avec le 13e Régiment du Génie. 

Le froid s’est installé en Franche-Comté. A Besançon, comme partout ailleurs, la municipalité se mobilise aux côtés de l’état pour venir en aide aux sans-abris. C’est la deuxième fois cet hiver qu’une aussi grande attention est accordée aux plus démunis. Rappelons que dans le département du Doubs, le Préfet a demandé l’ouverture de places d’hébergement d’urgence supplémentaires. Elles viennent compléter le dispositif mis en place en cette période hivernale.

A Besançon, la ville et son service social assurent également des maraudes pour venir en aide aux sans-abris. Cette veille mobile va à la rencontre des sans-abris et s’essaie à trouver des solutions pour que personne ne passe la nuit dehors. Pour celles et ceux qui refusent la main tendue, les travailleurs sociaux appellent le 115 et distribuent des couvertures. Jeudi dernier, le directeur de cabinet du Préfet du Doubs a participé à l’une de ces opérations.

Difficile de connaître précisément le nombre de personnes dans cette situation dans la capitale comtoise. Selon Danielle Dard, adjointe au maire de Besançon, en charge de l’action sociale, une soixantaine de personnes vivraient dans des conditions précaires à Besançon, sans compter également les Bisontines et les Bisontins en situation de précarité énergétique, pour qui il est difficile et coûteux de vivre dans un logement chauffé. Si l’on en croit les prévisions de Météo France, la situation devrait s’améliorer à compter de jeudi. En attendant, les valeurs resteront bien négatives, tout au long de la journée, ce lundi et ce mardi.

Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus ce matin à 8h45 pour un incedie.

Le feu a pris dans les comples d'une maison, rue Louis Pergaud à La Vèze. 

Dans le département du Doubs, le Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDIS) recherche des sapeurs-pompiers volontaires. Une campagne de recrutement a été lancée sur l’ensemble du département et plus particulièrement sur la zone frontalière, où les besoins sont les plus importants. Le département du Doubs compte 2500 soldats du feu volontaires, dont 20% sont des femmes. Ce territoire compte 71 casernes, dont 66 ne sont constituées que de volontaires.

Pour devenir sapeur-pompier volontaire, le Commandant Patrice Albert du SDIS du Doubs le certifie, « il n’y a pas besoin de compétences particulières Â». « Nous ne recherchons pas des super-héros Â» explique-t-il. Néanmoins, avant de suivre les formations nécessaires, une visite médicale permet de repérer les éventuelles contre-indications.

Le Commandant Patrice Albert invite les personnes intéressées à joindre les responsables du centre de secours le plus proche de leur domicile ou de contacter le SDIS du Doubs au 03.81.85.36.00. Il est indispensable que le futur pompier volontaire vive à proximité du secteur qu’il convoite. Autrement qu’il réside à moins de 10 minutes de son centre de secours. Actuellement, 30% des recrutements effectués dans le département du Doubs sont des femmes.

Aux 18ème et 19ème  siècles, la contrebande est une façon courante de gagner un peu d’argent dans ce Haut-Doubs frontalier.  Un moyen presque traditionnel à l’époque pour arrondir les fins de mois voire même comme on dit ici de joindre les deux bouts ! On prend donc tous les risques.

Malheureusement pour les adeptes de ces circuits parallèles, les douaniers, surnommés les gabelous, veillent sur ces échanges commerciaux illégaux. Seule solution pour les fraudeurs, emprunter des chemins escarpés, dangereux, là où les autorités n’iront pas, eux, risquer leur vie.

Dans ces gorges qui surplombent la vallée du Doubs, les contrebandiers vont donc installer à flanc de falaise de simples troncs avec des traverses, le tout en bois, fragile et instable. Un moyen de passage d’un pays à l’autre d’autant plus périlleux que le trafic s’effectue de nuit par une météo souvent peu clémente.

Tellement de risques pris d’ailleurs que des hommes y perdront la vie en chutant pour avoir essayé de passer en fraude quelques denrées, alimentaires le plus souvent.

Rassurez-vous, les lieux sont aujourd’hui aménagés pour une fréquentation sécurisée du grand public et l’accompagnateur moyenne montagne Patrick Bruot sera là pour vous guider et vous en dire plus sur ce pan d’histoire locale.

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