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A Pontarlier aujourd'hui les gilets jaunes se mobilisaient toujours. 

Ils ont réalisé comme depuis le début de la semaine un barrage filtrant au rond-point de Doubs. 

Pour demain, les gilets jaunes pontissaliens ont décidé de se mobiliser devant les instances de l'Etat et notamment devant le centre des impôts. 

Plus d'informations sur : Les gilets jaunes de Pontarlier

Dans le cadre du contrat de développement métropolitain entre la Région Bourogne Franche-Comté et le Grand Besançon, ce mercredi matin, au campus de la Bouloie, les différents partenaires ont signé le protocole Synergie Campus. Au total, ce sont plus de 90 millions d’euros qui seront investis sur 5 ans sur les universités bisontines pour moderniser les campus, dont celui de la Bouloie, et les équipements pour répondre aux besoins des étudiants et des acteurs du monde socio-économique. Le Grand Besançon, la Ville de Besançon, l’Etat, la Région Bourgogne Franche-Comté, l’université et le Crous ont décidé de mobiliser des moyens pour mener à bien ces projets.

Les initiatives sont ambitieuses. Cela concerne le développement de la filière biomédicale avec un nouveau bâtiment pour le développement de l’Institut supérieur d’ingénieurs de Franche-Comté, l’aménagement de l’AREA Campus Sport, avec de nouveaux équipements sportifs, la création d’un learning-center, l’aménagement du jardin de la découverte et des savoirs et l’installation du futur siège régional du CROUS. Sans oublier la grande mutation du site Saint-Jacques en cité du savoir et de l’éducation, avec notamment les créations d’une grande bibliothèque universitaire et grand public et d’une maison universitaire de l’éducation.

La ville de Besançon accueille chaque année 60.000 étudiants. Prochainement, tous les partenaires qui gravitent autour de ces projets universitaires, porteront une réflexion pour l’octroi d’un label pour accueillir davantage d’étudiants étrangers à Besançon. Ces derniers représentent 14% de la population étudiante bisontine. Dans la cité comtoise, un habitant sur cinq est étudiant.

L’association Féministes au présent se mobilise ce samedi 24 novembre dans le cadre de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes dans le monde.

Sous la bannière #NOUSTOUTES les femmes sont appelées à descendre dans la rue pour manifester et défendre leurs droits, tels que s’habiller comme elles l’entendent, travailler sans être harcelées, ou encore pouvoir courir seules en forêt sans avoir à subir des injonctions, et sans peur d’être agressées.

L’association précise que sur Pontarlier ce sont entre 70 et 80 femmes qui sont victimes de violences conjugales. Le coût économique des violences au sein du couple s’élève à 3,6 milliards d’euros en France.

Le rendez-vous est donné à 15h ce samedi 24 novembre Place de la Révolution à Besançon pour défendre les droits des femmes.

L’usine PSA de Sochaux a été obligée de freiner sa production de voitures cet après-midi suite au blocage des gilets jaunes.

L’approvisionnement de certaines pièces venues du Sud-Ouest a été bloqué par des barrages de gilets jaunes.

1600 salariés ont donc été mis en arrêt forcé et ce sont 900 véhicules qui n’ont pas pu être produits cet après-midi.

Si le manque de pièce persiste, la reprise du travail ne pourra pas se faire dans l’usine sochalienne qui elle, n’est pas bloquée par des gilets jaunes.

Dans le cadre d’un appel à manifestation d’intérêt, autrement dit un appel à projets, le Crous et l’Université de Franche-Comté, en partenariat avec la Ville de Besançon, le Grand Besançon, la Région Bourgogne Franche-Comté, le Rectorat et les établissements d’enseignement supérieur, ont créé des espaces partagés de travail sur les campus du centre-ville et de la Bouloie à Besançon.

Au total, c’est une quinzaine de lieux, situés dans le restaurant universitaire, dans les résidences étudiantes et à la maison des étudiants, qui ont été rénovés et aménagés. L’objectif étant de mettre à la disposition des étudiants bisontins des lieux pour développer des initiatives et des projets collectifs et individuels. C’est ainsi qu’ont vu le jour des espaces de travail, de créativité, de résidence artistique, de répétition, de convivialité… . Le coût de cet investissement s’élève à 1,5 million d’euros.

Pour ces différents acteurs, la vie étudiante est un facteur de réussite et de socialisation. D’où l’importance de proposer des lieux de vie confortables et adaptés à tous ceux qui fréquentent l’université bisontine. Lancée en 2015, cette réflexion a été menée en impliquant les étudiants. Ainsi, le Crous de Besançon et l’Université de Franche-Comté ont organisé des rendez-vous participatifs pour recueillir les attentes et les besoins des étudiants. C’est donc bien avec et pour les jeunes que ces projets ont été étudiés et vu le jour. Désormais, l’ensemble de ces lieux portent le label « Workorama Â» pour expérimenter, partager et créer.

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