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C’est une belle initiative qui s’est tenue ce jeudi après-midi dans les espaces de coworking de la maison de l’étudiant sur le site du campus de la Bouloie à Besançon. 25 jeunes, issus de différentes formations ( STAPS, médecine, BTS, IRTS, génie mécanique, IUT, CLA, … ) ont répondu à l’appel à projets lancé par la fondation Smerra, une mutuelle étudiante, portant sur le bien être et la santé des étudiants.

Ce dispositif, baptisé « les rendez-vous de la vie étudiante Â», se déclinera sur tout le territoire national, mais Besançon est la première ville universitaire française à se lancer dans cette initiative. Durant cette demi-journée, les jeunes ont participé à quatre ateliers d’une trentaine de minutes. Les thèmes sont multiples et ont attrait à tout ce qui tourne autour des conditions de vie et de la santé : le sommeil, la nutrition, l’accueil en première année, … . Si des responsables de la mutuelle étaient présents, ce sont bien les jeunes eux-mêmes qui ont pris les choses en main. « L’objectif étant de proposer des ateliers de réflexion animés par, pour et avec ce public Â» expliquent Maëlle Lartigaud et Mélanie Bloch, respectivement responsables académique de la Smerra pour la Franche-Comté et la Bourgogne.

Défendre son projet

Cette première rencontre a donné naissance à un projet qu’il faudra ensuite aller défendre auprès des institutions et les autres acteurs de la vie locale. Les étudiants ont toute cette année universitaire pour aller prêcher la bonne parole. Certes, la fondation Smerra saura répondre à certains besoins, mais cela ne sera pas suffisant. L’appel aux moyens et aux soutiens est donc lancé. Une prochaine réunion est prévue le 21 mars à l’ISBA, l’Institut Supérieur des Beaux-Arts de Besançon. Du côté des participants, on apprécie de pouvoir réfléchir collectivement à ce sujet et la confiance accordée par l’organisateur. Chacun est soucieux de mener à bien cette mission et a conscience que son résultat doit profiter à tous les étudiants bisontins quelque soit la formation et l’établissement.

« La question lancinante, depuis plusieurs années, de la CSG-CRDS sur les revenus du patrimoine et les produits de placement sera résolue positivement en 2020 pour les Français résidant à l’étranger affiliés à un régime de Sécurité sociale dans l’Union européenne ou en Suisse » explique le groupement transfrontalier européen (GTE).

« Les travailleurs frontaliers sont également concernés, mais, dans le projet de loi, un amendement nous pose problème : « I-ter. – Par dérogation aux dispositions du I et du I bis, ne sont pas redevables de la contribution les personnes qui, par application du règlement (CE) 883/2004 du Parlement européen et du Conseil du 29 avril 2004 portant sur la coordination des systèmes de sécurité sociale, relèvent, en matière d’assurance maladie de la législation d’un autre Etat, et qui au cours de l’année ne sont pas à la charge d’un régime obligatoire de sécurité sociale français. »

Si les frontaliers, relevant du régime suisse de l’assurance maladie (LAMal), ne seraient plus redevables de ces contributions, le GTE s’interroge sur les conséquences de cette rédaction restrictive pour les frontaliers affiliés à la CMU. Le Président du Groupement, Michel Charrat et la Responsable du service Etudes et recherches, Guylaine Riondel Besson ont été reçus par Laurent Habert, Conseiller budgétaire, au cabinet du Ministère des affaires sociales qui n’a pas pu apporter de réponse immédiate sur la position qui sera tenue concernant les frontaliers à la CMU. La question reste donc en supsens.

Particuliers, entreprises et même collectivités territoriales sont les cibles de ces malfaiteurs.

« Afin d’être encore plus réaliste, le logo officiel des notaires de France est apposé sur la pièce justificative accompagnant le message informatique ainsi qu’une adresse mail usurpant l’identité d’un notaire Â» précisent les autorités. « Le format de ces escroqueries peut varier, mais le but est toujours de vous inciter à payer les frais de traitement ou de taxes afin de réclamer votre lot fictif ou de vous conduire à fournir des informations personnelles qui peuvent ensuite être utilisées pour une usurpation d'identité Â».

La préfecture rappelle donc qu’il est impossible de gagner un lot à l'Euro-Millions, à une tombola, une loterie ou un concours…auquel vous n'avez pas participé. La loterie Euro-Millions communique régulièrement sur son site internet au sujet de ces escroqueries. Cette arnaque est également signalée sur internet.

Il est donc conseillé de ne pas répondre à cette sollicitation, de signaler cette arnaque au 0 811 02 02 17 ou sur le site www.internet-signalement.gouv.fr, de consulter le site de l'agence nationale de sécurité des systèmes d'information (ANSSI) www.ssi.gouv.fr. de consulter le site du centre gouvernemental de veille, d’alerte et de réponse aux attaques informatiques CERT-FR www.cert.ssi.gouv.fr et de déposer plainte si vous le souhaitez auprès des services de police ou de gendarmerie ou faite une déclaration directement sur le site de pré-plainte en ligne

Entre 150 et 200 lycéens, scolarisés dans les différents établissements scolaires de la ville, manifestent ce vendredi  à Besançon. Ils sont venus dire tout le mal qu’ils pensent de la politique éducative, sociale et en direction de la jeunesse d’Emmanuel Macron.

Que l’on ne s’y méprenne pas cette jeunesse a des choses à dire et ses inquiétudes sont grandes quant à son avenir. La galère des parents pour boucler les fins de mois, un avenir incertain malgré les études, une instruction revue à la baisse, la fin de certaines options, la réforme du lycée, parcoursup, … . Autant de doléances que les autorités seraient bien inspirées d’écouter.

« Macron, t’est foutu, les lycéens sont dans la rue Â» « On ne veut pas de tes réformes et de ton parcoursup Â», les lycéens ont des revendications et ils entendent bien les faire savoir. Preuve de leur détermination et de leur réflexion, ils ont exprimés leur colère devant le rectorat de Besançon et les fenêtres du recteur.

Certes le mouvement est jeune, diffus et manque d’organisation, mais l’envie de se faire entendre et participer à cette grande contestation populaire est bien réelle. En tout cas, la jeunesse bisontine annonce d’ores et déjà son projet de ne pas en rester là.

« Nous souhaitons retrouver du calme, et que la zone aérienne épargne les zones habitées Â» déplore cette habitante qui a lancé une pétition sur Internet car selon ses propres termes : « Les Francs-comtois (dont 200 000 habitants dans l'agglomération de Besançon ) sont dérangés par les avions de chasse, qui s'entraînent au combat aérien au-dessus de nos têtes Â». Elle proteste notamment sur ce qu’elle appelle « des bruits assourdissants parfois tard le soir (22h30 - 23 h) Â»

Les députés de la Région qui seront destinataires de cette pétition pourront y lire la conclusion suivante : « Il nous semble inapproprié que des zones d'entraînements au combat, particulièrement bruyants et fréquents, puissent se trouver au-dessus d'une zone qui regroupe plusieurs centaines de milliers habitants ! Â»

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