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Besançon : la brigade de sécurisation des transports en commun en action

Publié le 15 Mar. 2024 à 09:03
Tags: Faits divers | police nationale |
Lecture: 2 min
Besançon : la brigade de sécurisation des transports en commun en action

Ce jeudi après-midi, dans le cadre d’un séminaire sur la sécurité, associant Keolis et la police nationale, la nouvelle brigade de sécurisation des transports en commun s’est déployée sur le territoire bisontin. L’objectif de cette opération était de sécuriser les transports en commun. Il en va de la lutte contre la fraude, mais également contre les agressions, agressions sexuelles et les trafics de stupéfiants, dont l’organisation est modifiée par le phénomène « ubershit ». Des équipes ont été déployées sur les lignes de tram, mais aussi les gares routières et ferroviaires. « Oui. Il y a une présence plus affirmée, plus fréquente, quotidienne, des policiers dans les transports en commun et dans les emprises de transport » explique Yves Cellier, le directeur interdépartemental de la police nationale du Doubs.

« On est sur une thématique absolument prioritaire pour l’ensemble des habitants. C’est un vecteur de communication et de transport indispensable, qui fait partie de la vie courante des Français, avec des problématiques de délinquance, qui nécessitent d’être prises en compte pour réduire le sentiment d’insécurité  et avoir des actions de dissuasion, de prévention et d’interpellation » explique la Commissaire Marine Morin, cheffe de la division nationale de la sécurité dans les transports en commun.

L'interview de la rédaction : Yves Cellier, directeur interdépartemental de la police nationale du Doubs

Protéger et interpeller

Pour les policiers mobilisés, plusieurs compétences sont appliquées. Ils doivent être en capacité de mettre un terme aux difficultés qui se présentent à eux, à interpeller le ou les auteurs de méfaits, tout en protégeant la population dans cet espace confiné. « Il y a un vrai risque » explique la Commissaire Morin, qui reconnaît qu’il n’y a pas de recettes miracles, et que tout l’enjeu de ce dispositif réside dans la capacité de ses acteurs à tenir compte des spécificités de chaque territoire. « Il est important d’évaluer la délinquance dans chaque territoire » pour adapter le mieux possible le déploiement des forces à mobiliser sur le terrain.

L'interview de la rédaction : Commissaire Marine Morin, cheffe de la division nationale de la sécurité dans les transports en commun.

Dernière modification le vendredi, 15 mars 2024 09:18
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