La projection du film Da Vinci Code, prévue ce jeudi 28 août au parc Saint-Étienne de la Citadelle de Besançon, est annulée en raison de conditions météorologiques défavorables. Les spectateurs ayant réservé seront informés par mail des modalités à suivre.
Pour plus d’informations, consultez le programme officiel de la Citadelle.
Le samedi 6 septembre, à Pontarlier, le Parc des Ouillons se transformera en véritable village associatif à l’occasion du Forum des associations. De 10h à 17h, plus de 100 structures locales accueilleront le public pour une journée rythmée par des démonstrations, des animations, des rencontres et de la convivialité. Envie de découvrir une nouvelle activité ou de vous engager comme bénévole ? Ce rendez-vous biennal est l’occasion idéale pour échanger avec les membres des associations pontissaliennes, qu’elles soient sportives, culturelles, solidaires ou environnementales.
En 2025, Morteau soufflera les 140 bougies d’une tradition unique en France : le bonhomme des Conscrits. Né en 1885, ce rite est devenu au fil des générations un véritable patrimoine vivant, fédérant les Mortuaciens autour de l’amitié, de la transmission et d’une mémoire collective toujours vibrante. Pour marquer cet anniversaire, la ville invite habitants et visiteurs à un week-end exceptionnel les 26, 27 et 28 septembre prochains. Trois jours placés sous le signe de la découverte, du partage et de la convivialité.
Un musée éphémère au cœur de la fête
La Salle des Fêtes – espace Christian Genevard se transformera en un véritable musée éphémère retraçant plus de trois siècles d’histoire. Objets collectors, drapeaux, pulls de classes, cagnottes, documents rares – dont l’affiche originale des Conscrits de 1924 et des ordonnances napoléoniennes – témoigneront de la richesse de ce patrimoine. Les visiteurs pourront aussi plonger dans les archives filmées de Jean Sémonin dans les années 1950, et découvrir en parallèle les clichés contemporains de Sylvain Dubois, qui a suivi les Conscrits entre 2005 et 2015. Une exposition pensée comme un lieu de transmission et de rencontre entre générations.
Un documentaire inédit au Théâtre de Morteau
Moment fort du week-end, le documentaire « Dans les Pas des Conscrits, Héritiers d’une Tradition », produit par l’Interclasse Générale, sera projeté en avant-première au Théâtre de Morteau. Ce film retrace une année de vie conscrite, de la constitution de la classe à l’incinération du bonhomme, en passant par les banquets et les cortèges. Il mêle archives, témoignages et images actuelles pour dresser une fresque vivante d’une tradition candidate à l’inscription au Patrimoine Culturel Immatériel en France.
Diffusions uniques – Tarif 5 €
Un bar déconscrit pour clore la fête
Parce qu’aucune célébration conscrite ne saurait se passer de convivialité, le bar du Théâtre se métamorphosera en bar déconscrit tout au long du week-end. Un espace festif où anciens, actuels et futurs conscrits pourront se retrouver autour de souvenirs partagés.
Trois jours pour écrire l’histoire ensemble
À travers cette célébration, Morteau ne se contente pas de revisiter le passé : elle réaffirme sa fierté et son identité collective. Les 140 ans du bonhomme des Conscrits s’annoncent comme un rendez-vous marquant, où mémoire et fête s’entremêlent pour faire vivre une tradition unique au monde.
Ce week-end, les 23 et 24 août, le ciel de Besançon s’anime avec la 2ᵉ édition de Tout Besançon Vole, organisée par l’association Besançon Vol Libre sur le site emblématique de Port Douvot. L’événement, gratuit et ouvert à tous, invite petits et grands à découvrir les disciplines du vol libre dans une ambiance festive et conviviale.
Au programme :
Baptêmes biplace en parapente ou deltaplane
Simulation de vol en réalité virtuelle
Atelier boomerang
Massages bien-être
Nuit des Icares – projection gratuite samedi soir à la salle de la Malcombe
Buvette et glaces artisanales de la ferme d’Aissey
Les pilotes licenciés FFVL peuvent s’inscrire (places limitées à 40), avec réductions pour les bénévoles et biplaceurs associatifs. Un week-end aérien à ne pas manquer pour s’élever… et partager !
Le verdict est tombé ce vendredi 22 août lors de la 34e édition du Concours Interprofessionnel du Morbier, organisé dans la ville éponyme. Parmi les 32 fromageries en compétition, c’est la fromagerie de Grande-Rivière qui décroche la Médaille d’Or 2025, récompensée par un jury de 24 experts pour l’excellence de son fromage : aspect, croûtage, raie noire, texture et goût ont fait la différence.
Le palmarès complet :
• Or : Grande-Rivière
• Argent : Saint-Gorgon-Main
• Bronze : Lavigny
La remise des prix s’est tenue dans une ambiance festive, au cœur de la Fête du Morbier, qui a attiré plus de 3 000 visiteurs. Entre marché artisanal, démonstrations, dégustations et animations, le public a célébré avec enthousiasme ce fleuron du patrimoine fromager jurassien. La journée s’est conclue par une Morbiflette géante, partagée dans la convivialité.
Ce vendredi 22 août, Morbier ( 39) accueille son 34e concours interprofessionnel. Trente-quatre fromageries présentent leur fromage à un jury de 24 experts. Aspect, texture et goût sont évalués à l’aveugle pour désigner le meilleur morbier.
La Fête du morbier propose aussi dégustations, démonstrations et marché artisanal. Plus de 3 000 visiteurs sont attendus pour cette journée conviviale. L’affiche 2025 a été illustrée par Ines, élève de l’école primaire de Morbier. Un événement festif organisé par la mairie et le Syndicat du morbier.
Ce mercredi 20 août, une vache destinée à l’abattoir de Pontarlier s’est échappée et a déambulé plusieurs heures dans les rues de la ville. L’éleveur, originaire de Nods, a été blessé au bras en tentant de maîtriser l’animal, tandis que pompiers et policiers ont sécurisé le parcours pour éviter les incidents.
Le bovin, apeuré, a parcouru le centre-ville, provoquant quelques dégâts matériels et blessant légèrement deux personnes. Deux tentatives de sédation par un vétérinaire sont restées sans effet.
Après près de quatre heures de cavale, l’animal a finalement été abattu par les louvetiers à Houtaud, près de Pontarlier. Des images de cette improbable course-poursuite circulent largement sur les réseaux sociaux.
En raison des conditions météorologiques défavorables annoncées sur le Grand Besançon, le concert du groupe Atouboudchan prévu ce mardi soir à Montferrand-le-Château, dans le cadre des Mardi des Rives, est annulé. La navette bus au départ de Besançon ne sera donc pas assurée. Les organisateurs donnent rendez-vous au public pour la soirée de clôture du festival, mardi 26 août au Parc de la Rhodiacéta à Besançon, dès 18h30.
Malgré une édition 2025 saluée par le public et marquée par une affluence de 20.000 festivaliers, le Festival de la Paille se prépare à un virage stratégique. Eugénie Burnier, directrice de l’événement, explique pourquoi la réinvention est désormais au cœur de son projet.
« Bouger les lignes » pour survivre
« Oui, c’est ça : il faut réinventer ce qu’est un festival de musique aujourd’hui », résume la responsable. Le constat est clair : si l’édition 2025 fut un succès populaire et artistique, l’équilibre financier reste fragile. Quatre mille billets payants manquaient cette année pour assurer la pérennité économique. Or, les coûts de production explosent : cachets artistiques en forte hausse, contraintes techniques et de sécurité incompressibles, et dépenses globales dopées par l’effet post-COVID. « Notre économie repose presque exclusivement sur la billetterie, les bars, la restauration et le merchandising », détaille la directrice. « Face à des recettes incertaines et à des charges exponentielles, l’équation devient impossible. »
L'interview de la rédaction : Eugénie Burnier
Entre têtes d’affiche et culture émergente
Pour un festival indépendant et généraliste, la programmation est un exercice d’équilibriste. D’un côté, il faut proposer des têtes d’affiche capables d’attirer un large public. De l’autre, il faut honorer l’engagement de soutenir les artistes émergents. « C’est notre responsabilité, et c’est au cœur de notre ADN », insiste Eugénie Burnier. Certains artistes sont conscients de cette tension économique et agissent : Les Ogres de Barback ou encore La Rue Kétanou ont porté des messages de soutien à la scène indépendante. Mais la concurrence entre festivals reste rude, notamment face aux événements portés par de grands groupes privés, mieux armés financièrement.
Garder l’indépendance comme ligne rouge
Le Festival de la Paille, né il y a 25 ans d’une bande de copains, montant une scène dans un champ, revendique toujours son esprit bénévole et territorial. « C’est une aventure humaine avant tout. Cette indépendance fait partie de notre ADN », affirme la directrice. Elle observe, sans jugement, la concentration croissante du secteur : « Une cartographie récente du Syndicat des musiques actuelles montre bien le ruissellement vers des entreprises privées. » Mais pas question de « vendre son âme ».
L'interview de la rédaction : Eugénie Burnier
2026 : une page blanche à écrire
La décision est prise : l’édition 2026 sera différente. « Ce ne sera pas ce que les festivaliers connaissent, mais ce sera toujours ensemble », annonce Eugénie Burnier. Les équipes réfléchissent à un nouveau format, dans un mélange d’excitation et de vertige. « Dire que le modèle actuel ne fonctionne plus est effrayant, mais la peur fige. Nous, nous voulons avancer », conclut-elle.
L'interview de la rédaction : Eugénie Burnier
Comme chaque année, la Fiesta des Fines Gueules s’installe à Sainte Colombe, près de Pontarlier, dans le Haut-Doubs, pour un grand week-end musical et festif. La 51ème édition se déroulera vendredi 11, samedi 12 et dimanche 13 juillet.
Trois jours de fête entre musique, gastronomie et spectacles
Tout au long de ces trois jours, tous les publics pourront y trouver leur compte. Les festivités débuteront vendredi, à partir de 19h, avec un repas sous chapiteau. Au menu : moules frites + café ou thé gourmand. Bien entendu, une restauration rapide reste possible si toutefois vous n’aimez pas les moules. Réservation fortement recommandée sur www.urlz.fr/uxqA . Entrée gratuite avant 22h et 10€ après 22h.
Pour accompagner ce repas, des groupes locaux se produirons dès 20h sur la scène : les Sapins Bleus, Kash, les Snails et Martin Cottez. Samedi, c’est l’événement habituel avec "Anonymes" dès 22h30 suivi par Let Dzur et DJ Tanguy pour enflammer le dancefloor. Entrée à 10€. Enfin, dimanche, on ressert les couverts le midi et le soir, avec des repas toujours sous chapiteau. La fête reprendra de plus belle l’après-midi. Au programme, un spectacle visuel à 15h avec Georges Christen, « l’homme le plus fort du monde ». Suivi à 17h de "Jérémy l’Artiste", qui émerveillera petits et grands avec son spectacle de magie et jonglerie. Dès 20h, place à la musique avec Les Splits, Spiders V2 et Martin Cottez. Entrée gratuite toute la journée.

La randonnée des Fines Gueules
Dimanche 13 juillet en matinée, les organisateurs invitent les marcheurs à participer à leur randonnée. En fonction de ses envies et capacités, le public pourra s’inscrire à l’un des deux parcours proposés. Un itinéraire de 14 kilomètres, avec un départ prévu à 8h30, et un autre de 9 kilomètres, avec un coup d’envoi à 9h30.

Toutes les infos sont en ligne sur les réseaux sociaux de l’évènement (Facebook et Instagram). Pour réserver votre place à la soirée moules-frites et/ ou à la rando, pensez à vous rendre sur www.urlz.fr/uxqA