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Du 14 au 18 novembre prochain, la Ville de Maîche organise la 1ère édition de son évènement sur la parentalité. Chaque année, les services de l’enfance et de la jeunesse de la ville et le Relais Petite Enfance du territoire proposent des journées dédiées aux sujets de l’enfance en soutien à la parentalité. Mais, cette année, la cité a souhaité accentuer l’initiative, en organisant un véritable rendez-vous de cinq jours.

Comme le rappelle Véronique Salvi, adjointe à la commission jeunesse, vie scolaire, familiale et sociale, le métier de parent est sans doute le plus compliqué. Il demande une multitude de compétences, que  l’expérience et les rencontres  permettent d’acquérir. C’est donc dans ce contexte-là que la ville de Maîche se mobilise pour offrir aux parents les relais et contacts nécessaires pour mieux vivre en famille, éduquer et faire grandir le mieux possible.

Des rencontres

Pour répondre aux nombreuses interrogations et trouver des solutions, plusieurs rendez-vous sont prévus. Tout d’abord, « la maison géante » proposera une immersion dans un décor surdimensionné pour prendre conscience des risques domestiques. Des rencontres seront également possibles avec des professionnels de la parentalité et des acteurs de la vie familiale. Des temps très intéressants pour permettre aux parents et futurs parents de se repérer dans le dédale des dispositifs existants, et parfois non négligeables, dans son parcours d’éducateur.

Des ateliers et des sujets d’actualité

Les visiteurs pourront également vivre différents instants tels que Mon Moment Magique, les cafés et ateliers des parents et de nombreux autres stands sur les émotions, les relations avec son ado, les dépistages auditifs, … . Il sera aussi abordé des sujets d’actualité tels que la cyberdépendance, les dérives sur le net, les écrans et les réseaux sociaux, … .  Les enfants ne sont également pas oubliés. Il leur sera ouvert  des temps d’animation : sensations alimentaires, nouveaux jeux de société, bricolage, … .

Infos pratiques

La Ville de Maîche organise deux journées grand public les mercredi 15, de 14h à 18h,  et samedi 18 novembre, de 10h à 16h. Renseignements et inscriptions : secrétariat de mairie : 03.81.64.03.01 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. . Programme détaillé sur www.mairie-maiche.fr

L'interview de la rédaction : Véronique Salvi

La ministre des Solidarités et des Familles Aurore Bergé a annoncé hier qu’elle réfléchissait, avec les organisations syndicales et patronales, à une réforme du congé parental. Ce nouveau droit pour les parents leur permettra de mieux les indemniser. Le congé parental actuel s’élève à 425 euros par mois Il devrait entrer en vigueur en 2025.

Hier, en déplacement en Dordogne, Emmanuel Macron a dévoilé, à l’imprimerie de La Poste de Boulazac, le visage de la nouvelle Marianne, symbolisant la transition écologique, qui apparaîtra sur les timbres à partir du 13 novembre. Il s’agit d’une création du graphiste Olivier Balez qui a souhaité évoquer « l’urgence climatique sans tomber dans quelque chose d’anxiogène ».


Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale, et Gérard Larcher ont appelé ce mardi à une grande marche pour dimanche après-midi, à Paris, contre l’antisémitisme. « Une marche pour la France des droits de l’homme et la nation réunie. Une marche des citoyens pour dénoncer les porteurs de haine » écrivent les présidents des deux chambres du Parlement.

Concilier vie professionnelle et vie familiale n’est pas chose simple. Une enquête réalisée en début d’année par le réseau des UDAF (Union Départementale des Associations Familiales) laisse apparaître de vraies difficultés. Soucieux du bien être des familles, l’organisme liste plusieurs mesures pour faciliter l’accès des parents à l’emploi, et notamment celui des mères, tout en leur permettant de pouvoir assumer pleinement leur rôle éducatif.  Plein Air a rencontré Karima Rochdi, la présidente de l’UDAF du Doubs.

Le constat

A la suite de l’observatoire régionale que le réseau des UDAF  a réalisé en début d’année, 74% des parents interrogés disent « rencontrer des difficultés à remplir leurs responsabilités familiales ». Et ce, « pour avoir passé trop de temps au travail ». Pour un tiers d’entre eux, ces difficultés sont fréquentes. Ils les éprouvent au moins une à plusieurs fois par mois. Cette difficile conciliation concerne toutes les catégories de parents ayant des enfants à charge.

Les causes sont multiples. Mais l’étendue des horaires de travail arrive en tête. Près de quatre  parents sur dix l’évoquent. Par ailleurs, trois  parents sur dis  ont déjà interrompu ou réduit leur activité professionnelle plus d’un mois (en dehors des congés parentaux) pour s’occuper de leur enfant. Logiquement, cette réduction d’activité a des conséquences financières négatives pour 84 % des parents qui y ont eu recours.  Enfin,  25% des parents qui ont réduit leur temps de travail l’ont fait pour éviter des frais de garde trop lourds. 

Quelles mesures ?

« La conciliation est la clef d’ accès des parents à l’emploi. L’améliorer, c’est réduire la pauvreté des enfants, faciliter la réalisation du désir d’enfant, et promouvoir l’égalité professionnelle entre mères et pères » explique Karima Rochdi. C’est la raison pour laquelle, le réseau des Udaf propose plusieurs initiatives telles que : la création d’un congé parental, indemnisé  à hauteur de 75% du salaire,  jusqu’au 1 an de l’enfant, la prolongation  du congé maternité de deux  semaines post-natales et un meilleur encadrement  des  prix des crèches, notamment le reste à charge des crèches privées.

L'interview de la rédaction : Karima Rochdi

 

Le bonus à la réparation des biens textiles est lancé ce mardi en France. Il avait été annoncé cet été par le gouvernement. L’objectif est d’inciter les personnes à réutiliser leurs affaires dans un but écologique. La tarification des aides doit être comprise entre 6 et 25 euros.  Bérangère Couillard, secrétaire d'État chargée de l'Ecologie, a dernièrement expliqué que l’aide pourra être de sept euros pour refaire un talon ou atteindre 8 à 25 euros pour la doublure d’un vêtement par exemple

Dans un contexte des plus difficiles et des plus délicats, un collectif, composé de citoyens, d’associations, de syndicats et d’organisations politiques, relance un comité de vigilance antifasciste. Les faits sont nombreux : manifestation en ville, agressions de militants, croix gammées, tags racistes, … . « Un racisme totalement décomplexé » s’est instauré au sein de la société française. C’est dans ce contexte-là que le collectif veut agir.

Pour lutter contre ces violences et ce fléau, des réunions mensuelles seront organisées. En parallèle, des temps de formation est prévu. Le prochain aura lieu le 24 novembre prochain. Des projections de film  sont  également envisagées. Les Ecologistes, la FSU, Solidaires, AEB, Solidarité Etudiants, le Parti de Gauche, la Ligue des Droits de l’Homme, … y adhèrent déjà. Mais les particuliers, souhaitant s’engager dans cette lutte, sont  les bienvenus.

« On doit occuper le terrain »

Norbert Nussbaum du Nouveau Parti Anticapitaliste appelle à la mobilisation. « Il y a urgence. On doit occuper le terrain » explique-t-il. « On assiste à une crise du système capitaliste, qui paupérise des centaines de millions de personnes. Cela plonge des hommes et des femmes dans la misère et dans une déshérence idéologique, qui font que les démagogues peuvent capter ces forces perdues ».

La crise est passée par là

La crise s’est renforcée davantage, impactant profondément la société et accentuant les inégalités, provoquant une exacerbation des haines. Un déséquilibre notoire, qui divise le pays. « Dix millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté. Un tiers de la population est mal-logée. L’inflation et les coûts de l’énergie sont venus aggraver encore une situation déjà bien difficile ». « Si on ne propose pas des solutions idéologiques pour changer de monde, c’est l’extrême droite qui en profitera. Ce qui signifie la mise en place d’une dictature » termine M. Nussbaum.

L'interview de la rédaction / Norbert Nussbaum


Un décret vient d’être publié au journal officiel. Il prévoit de renforcer les sanctions en direction de ceux qui ne respecteraient pas les règles concernant l’extinction des publicités lumineuses notamment lors des périodes de pic de consommation d’électricité . La forfaitisation des contraventions est désormais rendue possible. Elles pourront être dressées par des agents municipaux.

Ce dimanche, au 20 heures de France 2, Gérald Darmanin, le ministre de l’intérieur a annoncé que « le nombre d’actes antisémites a explosé », en France, depuis le 7 octobre dernier, jour de l’attaque du Hamas contre Israël. Selon Gérald Darmanin, « 1.040 actes  et 486 interpellations » ont été enregistrés à ce jour.

Vendredi, sur France Info, Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique, a assuré que la hausse du prix de l’électricité serait limitée à 10% maximum en 2024. En septembre Emmanuelle Wargon, présidente de la Commission de régulation de l’énergie, avait évoqué une hausse des tarifs réglementés de l’électricité de l’ordre de « 10 à 20% ». Une hypothèse qui avait été rejetée par Bruno Le Maire, ministre de l’Economie.