Choix du secteur :
Se connecter :
 

Jusqu’au 1er juin, la médiathèque Pierre Bayle, implantée rue de la République à Besançon,  présente l’exposition militante et musicale « We want to break free ». Son objectif est de défendre et promouvoir les droits des personnes LBGTI +. A travers cette exposition, le groupe 57 d’Amnesty France  entend « dénoncer les violations des droits humains de ces personnes, déconstruire les stéréotypes persistants et les idées reçues et proposer différentes manières d’agir pour lutter collectivement pour un monde plus égalitaire ».

Lutter contre l’égalité des droits

Il est rappelé, qu’en 2024, « les rapports sexuels entre personnes de même sexe sont criminalisés dans plus de 60 pays. Les personnes LGBTI+ peuvent être condamnées à mort dans 12 pays. Les personnes transgenres sont criminalisées dans 20 pays ». En déambulant dans cette exposition, les visiteurs pourront entendre de nombreuses chansons  porteuses en elles de messages de courage, de résilience et d’espoir. Par ailleurs en scannant, avec un smartphone, les QR codes situés sur des panneaux musicaux, il sera possible à tout un chacun de retrouver les chansons sélectionnées.

L’exposition « We want to break free” est à découvrir, jusqu’au 1er juin, à la médiathèque Pierre Bayle. Rendez-vous de 13h à 19h les mardi et jeudi, de 10h à 19h les mercredi et vendredi et de 10h à 12h et de 14h à 18h le samedi.

L'inteview de la rédaction : Alexandra Duvergne, chargée de communication pour le groupe 57

 

Une action va se tenir ce matin à l’école de Miserey-Salines à partir de 8 heures. Les parents d’élèves vont se sont mobiliser devant la structure pour dénoncer la fermeture de deux classes, en maternelle et élémentaire, en septembre prochain.

Une opération escargot est également au programme. Les familles s’inquiètent pour la qualité de l’enseignement avec des classes surchargées en petite section et une fermeture, alors que le nombre d’enfant progresse en élémentaire. Une colère d’autant plus grande que la commune a investi 40.000 euros, il y a deux ans, pour améliorer l’accueils de ces petits élèves.

Le CLA de Besançon, le Centre de Linguistique Appliquée propose aux Bisontins qui le souhaitent de partager, durant un été, du 7 juillet au 3 août, leur quotidien, avec un étudiant ou un professeur international. Chaque été, l’établissement accueille plusieurs centaines de stagiaires venus des quatre coins du monde pour leur permettre d’étudier notre langue. Certains choisissent une formule d’hébergement en famille pour encore mieux maîtriser le français. Les personnes qui sont intéressées ont, jusqu’au 10 juin, pour se faire connaître, on a mis les infos pratiques sur pleinair.net.

L’union régionale UFAP-UNSa Justice de Dijon appelle  au blocage de l'ensemble des structures pénitentiaires sur les régions Centre, Bourgogne et Franche-Comté ce mercredi 15 mai. Cette action fait suite à l’attaque d’un fourgon pénitentiaire, ce mardi, dans l’Eure.

Deux agents ont été tués et trois autres ont été blessés par quatre hommes armés. Selon l’union syndicale, « ce drame est la conséquence d’une politique pénale et pénitentiaire désastreuse et irresponsable menée depuis des décennies, sur le dos des personnels de l’administration pénitentiaire ».

A compter du 14 mai, et jusqu’au 18 mai, la Ville de Morteau propose le « Printemps du Handicap ». Il s’agit d’une semaine entièrement dédiée à la sensibilisation au handicap. Parmi les évènements à venir : ce mardi, le cinéma l’Atalante proposera, à 20h, le film « chacun pour tous ».

Cette projection sera suivie d’un débat. Vendredi, la sensibilisation se fera dans la rue. Samedi, le 1er forum du handicap se tiendra à la salle culturelle de l’Escale, de 10h à 16h. Le monde associatif sera présent et proposera de nombreux ateliers. Enfin, durant toute cette semaine, les établissements scolaires et centres sociaux de la ville organiseront des temps d’animation, notamment autour du sport, de la rencontre et du partage.

Le militant anti-pub, qui comparaissait ce vendredi devant la justice, a été relaxé par le tribunal de Besançon. Il était appelé à la barre après une plainte déposée par l’entreprise JC Decaux, qui lui reprochait des dégradations commises sur ses panneaux publicitaires. Hier, des militants, représentant les collectifs ANV Cop 21 et Extinction Rébellion Besançon, sont venus le soutenir et rappeler, lors d’une conférence de presse, le besoin de respecter les  règles en matière de diffusion de la publicité dans  l’espace public.

Des militants des collectifs ANV Cop21, Extinction Rébellion Besançon et Résistance à l’Agression Publicitaire se sont mobilisés ce vendredi matin, à Besançon,  pour soutenir un militant anti-pub qui comparaît devant la justice suite à une action contre la publicité. Il est poursuivi par la justice suite à une plainte de l’entreprise JC Decaux. Ses soutiens s’opposent « fermement » à toute condamnation, « compte tenu de la légitimité de la lutte contre la publicité dans l’espace public et l’absence de dégâts matériels liés à son action ».

Selon ces collectifs, ceux qui ne respectent pas les règles en vigueur ne sont pas ceux que l’on croit. Les militants pointent des manquements en matière d’application de la loi.  Tout en rappelant, qu’à compter de ce lundi,   l’entreprise Decaux devra appliquer le règlement local de la publicité de Besançon. Ce que les associations ne croient pas.

 

Désobéissance civile

Pour ces deux collectifs, l’inertie des autorités et les conséquences, non prises en compte, de la publicité sur la voie publique dans les domaines de la santé,  du social, de l’éducation et de l’environnement, obligent leurs militants à défier l’autorité. Selon eux, « la désobéissance civile est une nécessité ». C’est tout le contenu du message qu’ils veulent faire entendre. « La surconsommation, le surendettement, la détérioration du climat » font partie des causes pointées. Ces associations y voient « une forme d’agression permanente » et une communication inutile, sélective et dangereuse, en direction de tous les publics, et plus particulièrement chez les enfants et les adultes non avertis.

L'interview de la rédaction : Téo Gallego, militant bisontin

Dans le cadre de la journée du 1er mai, un rassemblement est prévu demain matin, à 10h, à Besançon, sur l’Esplanade des Droits de l’Homme. Au menu des revendications : l’austérité, l’emploi, les salaires, les services publics , la protection sociale, les libertés et la paix durable dans le monde. Dans la cité comtoise, plusieurs syndicats appellent à ce rassemblement : la CGT, FSU, Solidaires, UNSA , la Confédération Paysanne du Doubs et du Territoire-de-Belfort et Solidaires étudiants.

Ce dimanche 28 avril, à l’occasion de la journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation, le Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon a inauguré son jardin baptisé « Résurrection », en hommage à tous les déportés de la Seconde Guerre Mondiale. L’endroit bisontin, qui forme un triangle symbolique, avec le Musée et la place des Déportés, porte le nom d’une variété de rose qui le compose. 600 lieux en Europe accueillent cette fleur, dont les premières plantations ont vu le jour lors de la libération du  camp de Ravensbrück pour honorer les victimes.

L'interview de la rédaction : Alexandre Arnodo, directeur de la Citadelle

Cette rose incarne l’espoir, la liberté et la paix. Cet endroit est le deuxième jardin créé par la Ville à la Citadelle, qui souhaite le développement de ces initiatives,  « qui incarnent l’identité culturelle et paysagère du site ». Dernièrement, c’est le jardin Vauban qui est sorti de terre. D’autres seront progressivement intégrés au paysage de la Citadelle. Cette initiative contribue également à la végétalisation des lieux. Par cette démarche, la Ville de Besançon veut favoriser la biodiversité, développer des projets éducatifs et de sensibilisation à l’environnement et créer de lieux de contemplation et de repos pour les visiteurs.

L'interview de la Citadelle : Gaëlle Cavalli, responsable valorisation monument à la Citadelle de Besançon

L’examen du projet de loi sur la fin de vie devrait s’achever le 7 juin. « Le vote solennel s’il y en un interviendra le mardi 11 juin » a annoncé Yaël Braun-Pivet ; la présidente de l’Assemblée Nationale. Rappelons que la commission spéciale constituée par l'Assemblée nationale a commencé, le 22 avril dernier, un cycle d'auditions destinées à préparer l'examen du projet de loi sur la fin de vie. Le texte arrivera dans l’hémicycle de l’Assemblé Nationale le 27 mai