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Le CFA Hilaire de Chardonnet de Besançon est fier d’annoncer que son apprentie Agathe Grosjean participera au concours national des meilleurs apprentis de France charcutiers traiteurs, qui se déroulera du 22 au 24 mars à Paris. 18 finalistes régionaux, âgés entre 16 et 21 ans, participeront à cet évènement. Ils auront 20 heures pour confectionner les trois pièces charcutières qui les départageront. A la clé la médaille d’or et une récompense de 700 euros.

Parce que d’ici 5 ans, 40% de la profession devra être renouvelée, une nouvelle formation, un bac professionnel « technicien de scierie », verra le jour à la rentrée prochaine au centre de formation de Chateaufarine à Besançon. Fermée en 2006, faute de postulants, cette dernière est de nouveau proposée. Pour lui donner toutes ses chances et l’asseoir définitivement dans l’offre de formation en Bourgogne Franche-Comté, les syndicats des scieurs feuillu et résineux, ainsi que l'UEBB se sont mobilisés aux côtés de l’établissement bisontin. Entre 12 et 15 jeunes sont attendus en septembre  prochain. Ils décrocheront un diplôme de niveau 4, mais la poursuite d’études est également possible en licence et master dans ce secteur d’activité.

L'interview de la rédaction : Pierre Bassez, responsable de la formation "technique de scierie"

Un métier qui a évolué

L'interview de la rédaction : Pierre Bassez, responsable de la formation "technique de scierie"

Les formateurs auront l’occasion de le préciser, lors des prochaines portes ouvertes de l’établissement, qui se tiendront le 15 mars, la pratique de ces métiers, longtemps considérés comme difficiles et de force, a changé. Le développement de l’informatique et de l'automatisation a fait évoluer les compétences. « L’évolution est bien réelle. Le travail physique en scierie n’est quasiment plus présent. Le secteur a plus besoin d’opérateurs, que des manutentionnaires » explique Pierre Bassez, le responsable de la formation.

Les jeunes qui souhaiteraient obtenir de plus amples informations et connaître les formations dispensées à Besançon peuvent se rendre sur le site : forme-toi-au-bois.fr

Une formation en orthoptie ouvrira prochainement dans les UFR de médecine à Besançon et Dijon. Il s’agit d’une spécialité médicale qui vise à corriger les défauts de la vision binoculaire. 24 places de formation seront proposées sur les deux sites à la rentrée universitaire 2025.

Le certificat de capacité d’orthoptiste se prépare en trois ans. Ces formations universitaires gratuites seront ouvertes sur la plateforme Parcoursup dès janvier 2025. La région Bourgogne Franche-Comté participe à son financement, en prenant en charge la rémunération des personnels enseignants et administratifs.

L’institut d’histoire de l’Université de Neuchâtel et le musée international d’horlogerie de la Chaux-de-Fonds ont dévoilé une nouvelle offre de formation continue à l’intention des professionnels de l’horlogerie. Soutenu par l’Office fédéral de la culture, ce cursus sera dispensé pour la première fois durant l’année académique. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 21 octobre. Le CAS Patrimoine horloger permet à des cadres, gestionnaires, collaborateurs du secteur privé ou public, d’acquérir une formation approfondie en préservation, gestion et valorisation du patrimoine horloger. Pour de plus amples informations : https://go.unine.ch/cas-patrimoine-horloger

Ce jeudi et ce vendredi, la Communauté de Communes du Val de Morteau,  en collaboration avec la Mission Locale Haut-Doubs et France Travail, organise les Journées de l’Industrie, de 8h30 à 17h, pour promouvoir les savoir-faire locaux et développer l’attractivité des métiers de l’Industrie auprès principalement des collégiens et lycéens mais aussi des demandeurs d’emploi. Le rendez-vous est fixé à l’Escale à Morteau.

Dans le cadre de la journée internationale des forêts, les étudiants en licence professionnelle (bac +3) conseiller forestier du centre de formation de Châteaufarine à Besançon organisent  ce jeudi 14 mars, à Frasne et ses alentours,  une grande journée de sensibilisation et de formation. Il s’agit de la plus importante manifestation organisée dans ce cadre là en France. 350 adolescents, venus du Doubs et du Jura, sont attendus.  A travers cette initiative, les organisateurs bisontins veulent « promouvoir, sensibiliser et célébrer l’arbre et le bois et la multifonctionnalité des milieux forestiers. « Ces derniers rendent de nombreux services, tant pour l’environnement, l’économie ou à la société. Ce qui en fait une ressource essentielle en faveur du développement durable » expliquent les étudiants.  Michaël Perrot, formateur au sein de l’établissement bisontin, rappelle que « ces métiers ont beaucoup évolué ».  La mécanique a progressé et la technologie s’y développe. L’Intelligence Artificielle a pris une place importante dans la pratique. Ces professionnels, à travers les différentes missions qu’ils mènent et face aux enjeux d’aujourd’hui et de demain,  sont devenus des experts incontournables.

L'interview de la rédaction / Michaël Perrot

L'interview de la rédaction / Robin Couvet

 

Une énorme logistique

Cette journée exceptionnelle va permettre aux collégiens doubistes et jurassiens de s’intéresser à cet univers, mais les organisateurs ont également prévu un temps de réflexion et de formation à destination  de différents interlocuteurs, dont des représentants de France Travail (ex pôle-emploi). Une table ronde s’interrogera sur « l’avenir de la forêt et l’évolution des métiers et les formations qui animent le secteur. Durant la journée, des temps plus ludiques seront proposés aux jeunes visiteurs. Visites de scieries, chantiers de plantations, découverte des métiers, activités sur simulateur, … se dérouleront à l’extérieur et à la salle de fêtes de la commune hôte du Haut-Doubs.

L'interview de la rédaction / Camille Jeanet

 

DFCI

Grâce à la présence d’un jeune sapeur-pompier volontaire au sein de l’organisation, il a été fait appel au SDIS du Doubs. Cette présence s’inscrit totalement dans les enjeux liés à la protection de la forêt. Avec le réchauffement climatique, la Franche-Comté n’est plus épargnée par les feux de forêt. C’est la raison pour laquelle chaque territoire se dote d’un plan de Défense de la Forêt contre les Incendies (DFCI). A Frasne, les pompiers doubistes, venus avec du matériel et des engins spécifiques, développeront ce sujet et cette problématique avec leurs jeunes interlocuteurs. Grâce au savoir-faire des étudiants et de leurs formateurs, cette cinquième édition s’est donnée les moyens de ses ambitions.

L'interview de la rédaction / Lysandre Caputo

Le ministre du Travail était en visite toute la journée dans le Doubs pour un déplacement consacré à France Travail. Il a été accueilli par le GRETA de Besançon et a rencontré des entrepreneurs et responsables politiques autour d’une table ronde. Son début de visite a été légèrement perturbé par des manifestants. 

Olivier Dussopt, habitué de la région avec des déplacements réguliers qu’il juge “agréables”, s’est rendu en matinée dans l’entreprise ASF Métal. Cet après-midi, il visitait l’établissement de formation GRETA avant de signer un protocole régional France Travail aux côtés de la présidente de région Marie-Guite Dufay. Une dizaine de manifestants étaient sur les lieux. Le ministre a fait son apparition par une “entrée secrète” pour les éviter. Ceux-ci ont pu tout de même se déplacer au plus proche de l’endroit de la visite pour faire entendre leurs voix. 

 



Rencontre avec les jeunes formés au GRETA

Le ministre a pu écouter les témoignages de responsables du centre de formation et de jeunes formés. Pas de faits notables si ce n’est l’intervention d’Olivier Grimaitre, Vice-Président du Comité Régional pour l’Emploi, qui a regretté “une politique de formation adéquationniste”. C'est-à-dire qui lie un rapport direct entre la formation et l’emploi. Le syndiqué CGT requiert notamment “un conditionnement des versements des aides de formation à des promesses des entreprises en termes de conditions de travail et de salaire”. Enfin, Olivier Grimaitre a adressé au ministre sa crainte “d’une libéralisation du service public de l’emploi” avec le passage à France Travail, qui doit remplacer Pôle Emploi à l’horizon 2025. 

La table ronde

Le ministre a ensuite accédé à l’étage supérieur où l’attendait de multiples intervenants venus témoigner sur les enjeux d’insertion professionnelle. La présidente de région Marie-Guite Dufay et la maire de Besançon Anne Vignot ont pu rejoindre Olivier Grimaitre sur la nécessité de conserver un service public de l’emploi fort. Un représentant du BTP a, lui, orienté le ministre vers “plus de fermeté”. Il affirme que la réforme de l’assurance chômage, entrée en vigueur en février dernier, a “déjà porté ses fruits avec des candidatures de personnes loin de l’emploi et qui y sont revenus”. 

 

Signature du protocole France Travail et allocution du ministre

La journée s’est terminée par la signature du protocole, entre Marie-Guite Dufay et Olivier Dussopt, qui promet trois objectifs et 14 engagements sur l’emploi. La présidente de région a tenu à rappeler que “de nombreuses initiatives prises en Bourgogne-Franche-Comté ont été reprises par les deux derniers gouvernements comme la hausse du barème de rémunération des stagiaires”. Puis, le ministre a défendu le projet France Travail qu’il présentera aux sénateurs dès lundi. Il promet que cette initiative “ne sera pas une fusion ni un big bang institutionnel” comme a pu l’être la fusion de l’ANPE et des Assédic en 2008. Il assure que ce projet découle de la volonté de “mieux coordonner les choses”. La loi prévoit aussi une inscription systématique au nouvel organisme France Travail pour tout bénéficiaire du RSA. Dans la lignée de la réforme de l’assurance chômage, Olivier Dussopt a rejeté l’idée que les 15 à 20h de contrat d’engagement pour les bénéficiaires seraient “du bénévolat obligatoire ou du travail gratuit”. Il a indiqué par exemple que ces heures d'engagement pouvaient prendre la forme de temps passé à obtenir l’examen du permis de conduire ou du temps pour se soigner pour revenir à l’emploi. 

Le ministre du Travail a conclu la signature du protocole, qui est le 5ème en régions, en arguant que ceux-ci étaient “une manière de regarder ce qui marche bien”. 

 

La rédaction regrette que le point presse prévu initialement à la fin de la visite ait été annulé au dernier moment empêchant la presse régionale de pouvoir effectuer correctement son travail. Notre rédaction n'est pas une agence de communication. Nous faisons de l'information.

Ce mardi, Elisabeth Borne, la Première ministre, dans le cadre de sa « feuille de route jeunesse »,  a annoncé qu’à compter de janvier 2024, les jeunes gens, âgés de 17 ans,  pourront passer leur permis de conduire et conduire un véhicule, au lieu de 18 ans actuellement. Suite à cette décision, plusieurs associations ont exprimé leur désaccord. Plein Air a rencontré le Bisontin Georges Warnier,  président de l’association franc-comtoise d’éducation routière. Ce dernier ne tire pas à boulets rouges sur cette initiative gouvernementale.

Régulièrement en contact avec la jeunesse bisontine, la position de M. Warnier est très intéressante. Le formateur et pédagogue franc-comtois ne porte pas  un regard totalement négatif sur cette décision gouvernementale. Il attend de juger sur pièces. Il compte sur la maturité des conducteurs pour assumer la responsabilité qui leur sera accordée. « Il y a des garçons et des filles qui sont en capacité, par leur maturité, de pouvoir assumer une conduite seule » argumente-t-il.  Néanmoins, selon lui, cette mesure doit être plus  encadrée et intransigeante avec les jeunes conducteurs irresponsables.

Faciliter l’insertion professionnelle

S’il comprend la nécessité de faciliter l’insertion professionnelle de la jeunesse française, il en appelle à d’autres décisions pour la sensibiliser, la responsabiliser et la protéger. «  On aurait pu autoriser cette conduite seulement à différents moments de la journée. On aurait pu interdire l’usage  de certains types de véhicule ». Pour M. Warnier, deux notions sont à faire valoir. « Celles pour l’emploi et la formation, qui revêt d’une importance toute particulière, notamment dans le milieu rural,  et la seconde, liée aux loisirs. Est-on obligé de tout mettre dans le dispositif ? Cela mérite réflexion ».

La sécurité

Georges Warnier, fervent défenseur de la sécurité au volant, appelle également le gouvernement à l’intransigeance. Hier,  Elisabeth Borne s’était empressée d’ajouter qu’elle serait « très attentive sur le niveau demandé ». Une exigence que souhaite également notre interlocuteur bisontin. « C’est le volet qui me manque.  Il faut qu’il existe des mesures fortes en direction de ces jeunes qui vont prendre le volant » conclut M. Warnier.

L'interview de la rédaction  / Georges Warnier

 

Ce jeudi, les étudiants en 2è année de BTS agricole technico-commercial de la filière bois du centre de formation de Chateaufarine à Besançon participait à la 1ère édition de l’opération « NégoBois ». A travers cette initiative, l’établissement bisontin souhaite confronter ses jeunes à la réalité professionnelle.

Cinq jurys

Cinq jurys, composés d’un formateur, d’un jeune en 1ère année et d’un professionnel, soumettaient les candidats à une véritable négociation. Pour les participants, l’objectif est double : maîtriser des connaissances techniques, liées à leur secteur d’activité, et savoir appliquer les  techniques de vente dispensées en cours. Autrement, savoir de quoi on parle, connaître le vocabulaire technique et professionnel, argumenter, définir les besoins, reconnaître les freins, trouver les bons arguments, … . Certains jeux de rôle se sont conclus par une vente. Pour d’autres situations, faute d’accord, il a fallu agender un nouveau rendez-vous.

Une expérience très formatrice

Les étudiants reconnaissent les bienfaits de cette innovation pédagogique. Elle leur a permis de rencontrer des professionnels et comprendre les principaux enjeux, pour ceux qui ont préparé la journée, et se confronter à la rudesse et la rigueur des négociations et du monde professionnel, pour ceux qui passaient le concours. Prospection de nouveaux clients, ventes de bois et de parcelles, gestion de la forêt,…, les situations professionnelles sont diverses et variées et en lien avec le secteur d’activité dans lequel le jeune évolue ( exploitant forestier, scierie, négoce,…).

Rencontres et recrutement

Au cours de cette journée, les entreprises présentes ont pu échanger avec cette jeunesse passionnée et motivée. Ces dirigeants ont sans doute pu repérer d’éventuelles futurs collaborateurs. Une chose est certaine à la fin de leur cursus, ces jeunes gens n’auront aucune difficulté à s’insérer dans le monde du travail. Grâce à ce genre d’initiatives, et à des outils et une démarche pédagogique adaptés, les étudiants se voient délivrer les connaissances théoriques et pratiques nécessaires pour appréhender le monde de l’entreprise et y faire leur place.

Le reportage de la rédaction : Jérôme Donzelot (coresponsable de la filière). Pierre et Arthur ( deux étudiants)

Depuis jeudi, et jusqu’à 17h ce vendredi, la Communauté de Commune du Val de Morteau, en collaboration avec la Mission Locale Haut-Doubs et Pôle emploi, organise les journées de l’industrie. Le rendez-vous est fixé à la salle de l’Escale.

L’objectif est de promouvoir les savoir-faire locaux,  développer l’attractivité des métiers de l’industrie auprès des collégiens et lycéens et des demandeurs d’emploi. Plusieurs actions sont prévues : organisation d’un salon des entreprises et formations, visites d’entreprises à Morteau, les Fins et Villers-le-Lac et des ateliers de formation du Greta et du lycée Edgar Faure.

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