Un homme de 23 ans devra s’expliquer en 2023 devant la justice. Mardi, vers 22h45, il a été interpellé sur un parking de la rue de Picardie, dans le quartier Planoise, à Besançon, alors que, depuis une voiture, il semblait s’adonner à un trafic de stupéfiants. Les policiers ont découvert près de 10 grammes de cocaïne, 500 grammes de résine de cannabis, 80 grammes d’herbe de cannabis et 1.430 euros en numéraire. Au cours de son audition, il a nié être revendeur de stupéfiants. Il a expliqué être seulement le gardien d’une sacoche pour la somme de 130 euros et être consommateur de cannabis à raison de 5 à 6 joints par semaine.
Ce jeudi, les policiers pontissaliens sont partis à la recherche d’une personne qui avait disparu des radars des services de soin de la ville. L’individu se trouvait entre l’hôpital et son domicile lorsqu’il a été identifié. C’est lors de transfert à l’hôpital par le SMUR que la situation a dégénéré. Ce grand gaillard a voulu s’échapper du véhicule. Il a fait usage de sa force. Les policiers ont utilisé leur taser pour le maîtriser. Il a été conduit à l’hôpital psychiatrique du Grandvallier.
Un exercice de simulation grandeur nature s’est déroulée ce mercredi sur l’aéroport de Dole Tavaux. Il a mobilisé d’importants moyens. Il s’agissait d’un accident aérien, avec beaucoup de victimes. L’objectif d’une telle opération est d’anticiper les crises majeures et améliorer la coopération entre les différents acteurs engagés dans de ce type d’interventions.
Un Bisontin de 32 ans devra s’expliquer en 2023 devant la justice. Lundi soir, vers 18h, lors d’un contrôle, mené rue du Piémont, il est apparu que cet homme circulait sans son permis de conduire, qui était annulé depuis 2018. Lors de la palpation de sécurité, 2.165 euros ont été découverts sur lui.
L’individu a été interpellé et placé en garde à vue. Lors de son audition, le mis en cause a expliqué qu’il ne savait pas que son permis était annulé « car il était incarcéré entre 2019 et 2022 ». Il a nié être un vendeur de produits stupéfiants. Concernant l’argent, « c’est son patron qui lui aurait remis car il ne possède pas encore de compte bancaire ». Cet argent lui a d’ailleurs été restitué sur instruction d’un magistrat.
Une jeune femme a refusé de se soumettre à un contrôle routier hier soir à Pontarlier. Après son interpellation, elle a été placée en garde à vue à 23h30. Le dépistage d'alcoolémie présentait ce matin à 6h un taux de 0,50g par litre de sang. Par ailleurs, il s’est avéré que la jeune femme de 23 ans était recherchée par la gendarmerie. Elle a reconnu les faits et a fait l’objet d’une ordonnance pénale.
Un feu de grange d’une superficie de 100 m2, mitoyenne à un bâtiment à usage d’habitation, s’est déclaré ce lundi après-midi à Val Sonnette (39). L’action des sapeurs-pompiers a permis de préserver cette dernière. Neuf engins et 22 sapeurs-pompiers se sont rendus sur place.
Une rencontre se tient ce lundi soir à Arinthod (39). La présidente de l’Association des Maires et des Présidents d’intercommunalité du Jura (AMJ), qui regroupe 97% des maires jurassiens, et les communes du Jura sinistrées par les incendies de cet été échangent sur l’usage de la subvention de 5.400 euros versée par la commune d’Annemasse à l’AMJ pour ces dernières.
Un individu a été présenté ce lundi à un magistrat bisontin. Samedi, à Pontarlier, lors d’un contrôle, il est apparu que cet homme conduisait sur l’effet de stupéfiants. Il a également été constaté qu’il était recherché par le groupe d’enquête local pour des violences aggravées et dégradations commises sur Besançon et Pontarlier. Il a été placé en garde à vue. Il a reconnu la conduite sous stupéfiants, mais a tenté de se dérober pour les faits de violences aggravées et les dégradations.
C’est une mère en colère et désespérée que la rédaction de Plein Air a rencontré. Elle dénonce la décision de justice qui est dernièrement tombée et la manière dont celle-ci s’est prononcée sur l’affaire de harcèlement, dont son fils, Bryan, a été victime en 2019.
Trois années après les faits, celle-ci a condamné à un préjudice symbolique de 1 euro et 45 heures de travail d’intérêt général les trois élèves agresseurs. « La vie de mon fils ne veut pas mieux que cela ? » s’insurge Vanesse Petite. Rappelons qu’en 2019, à l’internat, au lycée Professionnel Toussaint Louverture, trois pensionnaires avaient fait comme souffre-douleur un des leurs. Ce harcèlement aurait duré deux ans. C’est un ami de la victime qui a dénoncé les faits lors d’un repas de famille. Il est évoqué des brûlures aux mains, des coups de couteau dans le dos, du viagra dans un verre d’alcool, des bousculades et des vidéos de ces scènes de maltraitance, diffusées sur les réseaux sociaux.
2500 euros de frais d’avocat
Trois ans après les faits, la maman de Bryan dénonce « une justice mal faite ». Elle pointe « une non-reconnaissance de la victime » et « une réparation qui n’est pas à la hauteur du préjudice subi ». Pour cette mère de famille, la coupe est pleine lorsqu’elle apprend qu’on « lui reproche de ne pas avoir vu » la violence que subissait son fils de 17 ans à l’époque des faits. Elle se sent seule et démunie. « Mon fils n’a jamais été entendu par la justice. Mon avocate, mon fils et moi n’avons jamais été convoqués à la première audience. Tout s’est fait sans nous » explique-t-elle. Et de poursuivre : « je me battrai jusqu’au bout. Je lui ai promis ».
Epuisement
Cette femme évoque « un véritable épuisement mental et physique ». « Impossible de tourner la page ». Le déplacement aux urgences de l’hôpital de Pontarlier, les brûlures sur le corps de son enfant, … elle n’a pas oublié. Elle déplore également le manque d’empathie de la direction de l’établissement scolaire dans lequel Bryan était scolarisé. « Ils n’ont jamais pris de nouvelles. Par contre, ils n’ont pas oublié de m’envoyer un huissier de justice pour la facture de l’internat que je n’avais pas payée » conclut-elle.
L'interview de la rédaction
Un grave accident de la route s’est produit ce matin sur la départementale 486 à hauteur de Corcelle Mieslot. Deux voitures se sont percutées. On déplore deux blessés dont un grave. Une personne a dû être désincarcérée.