Il n’y aura pas de demi-finale de Coupe de France pour l’ESBF cette saison. Hier soir, le groupe de Sébastien Mizoule s’est incliné sur le score de 29 à 33, au Palais des Sports Ghani Yalouz, face à Nantes.
Il y a du handball ce mercredi soir. Dans le cadre des ¼ de finale de la Coupe de France de handball féminin, l’ESBF reçoit Nantes, à 20h, au Palais des Sports Ghani Yalouz à Besançon. Ce match ne sera pas aisé pour les Bisontines, qui sont opposées à une formation qui apparaît sur le podium du championnat de D1 féminine, en 3è position.
Une mauvaise nouvelle pour l’ESBF. Le club annonce que Frida Rosell, blessée lors du match face à Mérignac, souffre d’une rupture du ligament croisé du genou gauche. Ce qui la maintiendra éloignée des parquets et de la compétition.
Dans la course à l’Europe, l’ESBF a réalisé une très mauvaise opération hier soir à Mérignac. Dans le cadre de cette 14è journée de championnat en D1 féminine, le groupe de Sébastien Mizoule a été vaincu sur le score de 26 à 24 sur le parquet de son adversaire.
Les handballeuses bisontines se déplacent ce mercredi soir en Gironde pour y affronter Mérignac dans le cadre de la 14ème journée de Ligue Butagaz Energie. La victoire est impérative si les Engagées souhaitent rester dans la course à l’Europe. L’ESBF est actuellement sur une bonne dynamique alors que Mérignac, avant-dernier, vient d’enchaîner quatre défaites consécutives en championnat. Une victoire permettrait d’autant plus aux bisontines de se mettre en confiance avant leur quart de finale de Coupe de France face à Nantes prévu mercredi prochain.
Leur dernière confrontation remonte au 11 novembre 2023. L’ESBF s’était alors imposée sur le score de 30 à 28 au Palais des Sports. Depuis, les Engagées enchaînent en championnat, ne comptant qu’une seule défaite, face à l’ogre messin. Du côté de Mérignac, c’est un peu plus poussif. Les Girondines viennent de connaître quatre défaites successives en Ligue Butagaz Energie, et ne devancent Stella Saint Maur, la lanterne rouge, que de quatre points. Cette rencontre sera capitale pour les perspectives de chacun. « C’est un match très important pour la suite. Tout le monde a envie d’aller en Europe, et on n’en est pas loin. On a les moyens de faire une très belle fin de saison » confiait Sébastien Mizoule ce mardi, l’entraîneur de l’ESBF, lors de la traditionnelle conférence de presse d’avant-match. « On n’a pas le droit d’aller perdre un point là -bas. J’aimerais bien que l’équipe ne soit pas en réaction, mais incisive dès le début, et prenne les choses en main » ajoutait le coach bisontin.
Un mois de février décisif
Le mois de février sera déterminant pour la course à l’Europe. Si l’ESBF veut y croire, les trois points sont obligatoires ce mercredi. Parce qu’après cette rencontre, du très lourd attend les Bisontines. Dans un premier temps, un choc en quart de finale de Coupe de France face à Nantes prévu mercredi prochain. Avant d’enchaîner en championnat face à Dijon, Chambray Touraine et Paris 92, trois formations directement concurrentes dans la course à l’Europe. Actuellement, les Engagées pointent à la 7ème place du classement avec un total de 26 points. Il faudra que la formation de Sébastien Mizoule soit solide et continue sur sa bonne dynamique pour se donner toutes les chances de croire encore à cette place si convoitée leur permettant d’accéder à la Coupe d’Europe la saison prochaine. Pour la rencontre de ce mercredi soir face à Mérignac, aucune absente n’est à déplorer côté bisontin. Le groupe est composé des quatorze joueuses professionnelles. Le coup d’envoi du match sera donné à 20h.
Preuve de la qualité de la formation bisontine, si tant est qu’il fallait encore le prouver, Mathilde Roy, joueuse du centre de formation de l’ESBF et arrière droite de l’équipe espoirs de l’équipe professionnelle, rejoint le Handball Clermont Auvergne Métropole 63, sous la forme d’un prêt, jusqu’en fin de saison.
Hier soir, au Palais des Sports Ghani Yalouz, les Engagées se sont imposées avec autorité face à Saint-Amand. On disputait la 13è, et dernière journée des matches aller, en D1 féminine. L’ESBF a vaincu son adversaire sur le score de 29 à 24. La formation décrocheainsi trois nouveaux points dans la course à l’Europe.
Tom Garnier, responsable du centre de formation de l’ESBF et entraîneur adjoint de l’équipe professionnelle quittera le club en fin de saison. Et ce, après trois saisons au sein de la structure bisontine. Il arrivait de Cayenne, où il a participé au développement du handball en Guyane. Il sera l’an prochain l’entraîneur principal du club du Havre, qui évolue en deuxième division.
Les handballeuses bisontines de l’ESBF disputent le dernier match de la phase aller de Ligue Butagaz Energie ce mercredi soir face à Saint-Amand. Une victoire est impérative pour se maintenir dans la course à l’Europe. Cette rencontre aura le goût de revanche pour les Nordistes qui se sont inclinées il y dix jours face à l’ESBF, en Coupe de France, après une intense séance de tirs au but. Le coup d’envoi sera donné à 20h au Palais des Sports.
Le 6 janvier dernier, Saint-Amand se déplaçait pour la première fois de l’année au Palais des Sports de Besançon, afin d’y affronter les locales dans le cadre des huitièmes de finale de Coupe de France. Au terme d’un match très serré, s’achevant sur le score de 29-29, une interminable séance de tirs au but départageait les deux formations. C’est l’ESBF qui en est sortie vainqueur, et qui poursuivra son épopée en défiant Nantes le 31 janvier prochain. Mais avant ce choc, deux matchs très importants pour l’Europe se dressent sur la route des Engagées. A commencer par Saint-Amand, qui revient une nouvelle fois au Palais des Sports ce mercredi soir. Si les Nordistes apparaissent dans le bas du classement, cette formation sait donner du fil à retordre aux Bisontines, en témoigne leur récente confrontation. Mais également ce match nul l’année dernière (28-28), le 24 février, privant l’ESBF de ce petit point qui les aurait propulsées en Coupe d’Europe.
Jouer comme contre Metz
Si les deux formations se sont jouées très récemment, « le travail reste le même » pour Sébastien Mizoule, l’entraîneur bisontin. Il faudra mettre beaucoup d’engagement, et savoir être efficace et réaliste devant le but. « Nous avons envie de rendre une copie propre. Et de tout faire pour que l’ESBF soit en Coupe d’Europe l’année prochaine » indiquait le coach bisontin lors de la traditionnelle conférence de presse d’avant-match qui se tenait ce mardi. En tout cas, les performances récentes des Engagées sont convaincantes. Les handballeuses restaient sur 4 victoires toutes compétitons confondues avant de rencontrer Metz la semaine dernière. Face à ce qui semble actuellement être la meilleure équipe actuelle d’Europe, l’ESBF ne s’est pas montrée ridicule, et a ravi les supporters ayant rempli le Palais des Sports. Si elles se sont inclinées de 4 buts seulement, les joueuses de Sébastien Mizoule ont su faire preuve d’abnégation et de caractère face à une équipe messine qui n’a plus perdu depuis deux ans en championnat. Une recette à reproduire ce mercredi face à Saint-Amand pour remporter les 3 points, et rester sur cette bonne dynamique en vue de l’Europe l’année prochaine.
La marche était trop haute pour l’ESBF. Les Engagées se sont inclinées ce mercredi soir face à Metz pour le compte de la 12ème journée de championnat (27-31). Les Dragonnes, invaincues cette saison, enchaînent et confortent plus que jamais leur statut de leader. Les Bisontines pointent à la 7ème place du classement. Le prochain rendez-vous est fixé mercredi prochain face à Saint-Amand.
L’ESBF n’avait rien à perdre, tant l’adversaire était redoutable. « La meilleure équipe d’Europe, voire du monde » déclarait Sébastien Mizoule, l’entraîneur bisontin, lors de la conférence de presse d’avant-match. Mais les Engagées n’ont pas à rougir de leur performance. Elles auront été combatives jusqu’au bout, et ne s’inclinent seulement que de 4 points, face à une formation messine invaincue depuis 2 ans en championnat. Pourtant, la rencontre débutait difficilement pour les locales. Après l’ouverture du score par Jorgensen, les anciennes bisontines Chloé Valentini et Lucie Granier, désormais championnes du monde avec l’équipe de France, creusaient l’écart. 6-2. L’ESBF est déjà menée de 4 points à la 8ème minute. Mais, boostées par un Palais des Sports des grands soirs, les joueuses de Sébastien Mizoule réagissent, à l’image de Clarisse Mairot, Malin Sandberg, Sabrina Zazaï-Özil et Suzanne Wajoka. De chaque côté, les gardiennes sont dans un grand soir. Tonje Lerstad et Camille Depuiset brillent. La défense messine est solide, les offensives bisontines se heurtent à un bloc très compact. Le mur paraît infranchissable. Les transitions vont vites, la championne du monde française Sarah Bouktit ne tient pas en place et marque but sur but. Du côté de l’ESBF, ce sont les sœurs Mairot qui brillent juste avant la mi-temps, en inscrivant les 4 derniers buts des bisontines. 12-18.
A la reprise, Chloé Valentini fait très mal. Intenable dans son couloir, la mortuacienne est virevoltante. Le public bisontin se remet à pousser ses protégées. Frida Rosell ne rate aucun pénalty, Louise Cusset résiste bien et marque, et puis, Emma Jacques est expulsée deux minutes pour un mauvais geste sur le visage d’Alizée Frecon-Demouge. L’ESBF résiste mieux aux offensives des Dragonnes. Tonje Lerstad arrête plusieurs tirs, Louise Cusset marque depuis sa moitié de terrain, et Kiara Tshimanga enchaîne, portant le score à 22-25. Le public est survolté. Tout le monde commence à y croire. Les bisontines reviennent à 3 points de l’ogre messin. Il ne reste plus beaucoup de temps. Malheureusement pour les Engagées, Sarah Bouktit réussit tout. Quatre, trois, puis quatre points à nouveau séparent les deux formations. Coup de sifflet final, l’ESBF s’incline finalement 27 à 31.
A la fin du match, un petit moment de communion a lieu entre les joueuses des deux formations et le public, puisque les 5 championnes du monde évoluant à Metz sont récompensées par Marie-Guite Dufay, la présidente de la région Bourgogne-Franche-Comté. L’occasion pour les spectateurs d’applaudir une nouvelle fois Lucie Granier et Chloé Valentini, les deux anciennes bisontines.