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Sur sa page Facebook, à la date du 14 février dernier, le centre Athenas, spécialiste de la sauvegarde de la faune sauvage, a enregistré la mort d’un lynx, retrouvé sur la voie ferrée, entre Poligny et Saint Lothain (39). Et ce, alors que la structure vient de soigner un nouvel individu blessé. Il y a quelques jours, Athenas dénonçait le nombre inquiétant de lynx, victimes de collisions. En 36 jours, à la date du 5 février, elle avait déjà enregistré 7 lynx percutés.

Dans le Haut-Jura, les élus des Hauts de Bienne mettent à disposition des habitants une enveloppe budgétaire pour qu’ils puissent développer un projet. La somme allouée s’élève à 20.000 euros. Les habitants et personnes scolarisées de plus de 10 ans, ainsi que les associations domiciliées sur la commune, ont, jusqu’au 31 mars, pour soumettre leurs idées de projets en se procurant un dossier à la mairie de Morez. Des permanences ont lieu tous les mercredis de 14h à 17h, dans l’Arcade Box,  située Place Jean Jaurès à Morez. Après le vote des habitants les projets les plus plébiscités seront connus à la fin du mois de juin prochain.

Si les inquiétudes montent autour de la tenue de l'édition 2024 de la Transjurassienne les 10 et 11 février prochain à cause du manque de neige, la Transju'jeunes, déplacée à Prémanon, se tient bien ce mercredi 24 janvier. Des adaptations nécessaires ont dû être réalisées au vu des conditions climatiques. Plus de 1700 skieurs de 7 à 19 ans se s’élanceront au fil de la journée au stade nordique des Tuffes, à Prémanon, pour 24 épreuves de ski de fond, sur des parcours allant de 1 à 6 kilomètres, pour célébrer la fête de la jeunesse et du ski de fond en France. Il s’agit du seul site capable d'accueillir autant de sportifs avec une quantité et une qualité de neige suffisante. Cette année, les jeunes fondeurs peuvent bénéficier de l’expérience de trois championnes présentes à l’évènement : Anouk Faivre-Picon, Sandrine Bailly et Caroline Colombo.

Une étude statistique a été publié par l’Urssaf concernant les travailleurs frontaliers en Suisse affiliés à la sécurité sociale française. Âge, sexe, revenus, lieux de résidence, principaux secteurs d’activité : l’objectif pour l’URSAFF était de connaitre davantage ces profils, afin de les accueillir au mieux et d’adapter ses services, à partir des données récoltées.

 

73% des travailleurs frontaliers en Suisse sont gérés par l’Urssaf, hors retraités. Sur les 215.000 travailleurs frontaliers en Suisse, 166.000 ayant choisi d’adhérer à la sécurité sociale française sont comptabilisés dans les bases de données des URSSAF fin décembre 2022. Cette population est composée à la fois d’actifs en Suisse (salariés, en majorité, ou indépendants) qui sont au nombre de 157.7000, ainsi que des retraités.

 

Les zones frontalières privilégiées

Logiquement, les frontaliers en Suisse gérés par les URSSAF habitent principalement dans les départements limitrophes de la frontière avec la Suisse. Trois départements concentrent plus des trois quarts de la population. 44% d’entre eux sont localisés en Haute-Savoie, 19 % dans le Doubs et 15 % dans le Haut Rhin. Les autres sont répartis dans les départements de Franche-Comté et de Rhône-Alpes, mais aussi des départements moins proches des frontières, notamment quand ils sont retraités. Dans les départements les plus peuplés, Annemasse, Annecy, Thonon-les-Bains, Gex, Mulhouse, Saint-Louis, Morteau, Villers-le-Lac et Pontarlier sont des communes particulièrement attractives pour ces populations.

 

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Une population majoritairement masculine

La population des frontaliers suisses affilés à la sécurité sociale française est majoritairement masculine (59,1 % d’hommes fin 2022). Cette part dépasse 60 % dans le Doubs et le Haut-Rhin. De manière globale, l’âge moyen des hommes (43,6 ans) est très proche de celui des femmes (43,9 ans). La part des plus de 65 ans augmente avec l’éloignement de la frontière, les retraités n’ayant plus besoin de rejoindre leur lieu de travail en Suisse. La part des 30-39 ans domine dans les départements proches de la frontière. La comparaison de cette population avec les salariés du régime général exerçant dans le secteur privé ou public renforce le constat d’une population plus masculine et plus âgée. De manière générale, dans chacun des départements, la part des moins de 25 ans est moins importante dans la population des frontaliers affiliés à la sécurité sociale française.

 

Les hommes mieux payés. Les niveaux les plus importants près de la frontière

En ce qui concerne les salaires, l'Urssaf indique que le revenu moyen annuel des hommes frontaliers en Suisse s'élève à 56.815€, contre 47.098€ pour les femmes. Pour calculer les cotisations, l’Urssaf s’appuie sur un revenu fiscal de référence individualisé (RFRI) composé de deux éléments : les salaires et pensions, d’une part, et les autres revenus d’autre part. En 2023, 155.000 frontaliers suisses affiliés à la sécurité sociale française ont déclaré un RFRI au titre de l’année 2021. Les niveaux les plus importants se situent près de la frontière, et notamment dans les départements les plus proches des lieux de travail suisses, comme la Haute-Savoie, avec des facilités d’accès à Genève. Selon l’INSEE, la ville de Genève concentre une forte part de frontaliers en Suisse, dans des secteurs à forte rémunération, notamment dans les banques et le médical. Les résidents du Doubs, dont les RFRI moyens sont aussi plus élevés, exercent aussi des métiers autour de la santé, générant de fortes rémunérations. Le RFRI moyen des hommes de moins de 65 ans s’élève à 56.815 euros en 2021, supérieur de 20 % à celui des femmes. Cet écart est légèrement inférieur à celui constaté pour la population des salariés du secteur privé en 2022, qui est de 23,2 % avant correction des écarts liés au temps de travail.

 

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Anne Barralis, directrice de l’URSSAF Franche-Comté :

 

La gendarmerie du Jura lance un appel à témoins après une disparition inquiétante. Jérôme Panisset, un homme de 59 ans, demeurant à Coteaux-du-Lizon / Saint-Lupicin, a quitté son domicile ce dimanche 7 janvier aux alentours de 9h pour une sortie pédestre. Il n’a plus donné signe de vie depuis. Le quinquagénaire mesure 1,75m avec une corpulence mince. Cet homme très sportif a les cheveux bruns foncés très courts, porte un vêtement de sport, un bonnet noir avec un pompon vert, des baskets bleu foncé et jaune fluo, ainsi qu’un pantalon de randonnée de couleur foncée. Si vous disposez d’informations ou d’éléments permettant de le localiser, veuillez contacter le 17 ou la Communauté de brigade de Saint-Claude au 03.84.45.08.50.

Après 48 heures de garde à vue, un agriculteur de Saône-et-Loire a reconnu avoir tué Loan Bernede, un jeune homme de 31 ans, originaire de Cuisia dans le Jura. Il avait disparu depuis le 21 novembre dernier. Le mis en cause évoque une rivalité amoureuse. Il raconte avoir abattu l’homme d’une balle dans la tête avant d’enterrer son corps dans ses terres. Pris de panique après sa première audition, il aurait alors déterré le cadavre, avant de le brûler pendant plusieurs heures, puis de disperser les restes dans un ruisseau. Il a été mis en examen pour assassinat et placé en détention provisoire.

Il a fini par tout avouer. C’est après de longues semaines de recherche et d'investigations, que l'enquête a connu un tournant ce lundi 18 décembre. Un ami du mis en cause a révélé aux gendarmes qu’il lui avait emprunté son Renault Kangoo pour une raison macabre : transporter le corps d'un homme qu'il venait de tuer. Dès le lendemain, cet éleveur de 31 ans a été arrêté, puis entendu par les enquêteurs. Dans un premier temps, il explique aux enquêteurs qu'il a rejoint Loan Bernede à son domicile, à Cuisia, le matin du 22 novembre. Une dispute aurait alors éclaté entre les deux hommes suite à un différend amoureux. Il explique qu’en poussant Loan, sa tête aurait heurté une pierre. Une version qui change totalement après 48h de garde à vue.

 

Il brûle le corps pendant sept heures

Il reconnaît finalement avoir tué le Jurassien d'une balle dans la tête, à l’aide de sa carabine 22 Long Rifle. Ensuite, il aurait transporté le corps dans sa ferme, à Saint-Eugène, en Saône-et-Loire. Après avoir creusé un trou à l'aide d'un engin agricole, il l’enterre dans un champ. Seulement, l’agriculteur est entendu comme témoin lors d’une audition le 13 décembre par les gendarmes, à la suite de laquelle il panique. Aussitôt rentré chez lui, il déterre le corps pour le brûler. Il charge alors une auge à vache sur un engin agricole, rassemble un stère de bois, et pendant 7h, il fera brûler le cadavre. Après ce bûcher macabre, il disperse les restes dans un ruisseau, pour ne laisser aucune trace. L’arme du crime n’a pas non plus été retrouvée, et ne le sera sans doute jamais, puisque l’éleveur indique l’avoir découpé, et jeté les morceaux dans ce ruisseau.

 

Comment a-t-il pu en arriver là ?

L’éleveur de 31 ans a expliqué avoir vécu en couple pendant trois ans, de 2019 à 2022. Suite à une rupture douloureuse, il indique avoir terriblement souffert de solitude. Au mois de mai, il rencontre finalement une femme de 32 ans sur une application de rencontre, originaire du Jura, et qui travaille dans une ferme dans l'Ain. L’homme s’investit alors énormément, et mise beaucoup sur cette relation. Une situation qui deviendra de plus en plus délicate, car cette femme lui explique être adapte du « polyamour », une orientation relationnelle qui désigne la capacité à aimer et/ou affectionner plusieurs personnes en même temps. Ils rompent quelques mois plus tard, en octobre 2023. Une rupture qu’il encaisse très mal, puisqu’il en vient à surveiller cette femme, parfois même jusqu’à chez elle, et lui envoie des courriers anonymes lui reprochant ses pratiques sexuelles. La jeune femme avait d’ailleurs porté plainte dans l'Ain.

À l’issue de sa garde à vue, l’agriculteur de 31 ans a été mis en examen pour assassinat et incarcéré à la maison d’arrêt de Besançon. Les enquêteurs espèrent encore retrouver des éléments, qui permettraient de confirmer tous les dires du mis en cause.

 

Il y a plus d’un mois, les forces de l’ordre alertaient sur la disparition inquiétante de Loan Bernede, un homme de 31 ans domicilié à Cuisia, dans le Jura. Désormais, les enquêteurs se dirigent vers une hypothèse plus tragique, celle de la piste criminelle, qui n’a cependant pas été confirmée par la découverte d’un corps. On a appris récemment qu’une personne originaire de Saône-et-Loire a été interpellée ce mercredi et placée en garde à vue. Une conférence de presse est prévue demain matin au parquet de Besançon. Elle pourrait porter sur cette disparition. Affaire à suivre.

Un vaste coup de filet avait été mené début décembre dans toute la France par les enquêteurs de l’Ofmin, l’Office des mineurs. Leur but : interpeller des personnes soupçonnées d’avoir téléchargé ou partagé des images et vidéos pédopornographiques. Plus de 80 suspects sont tombés entre les mains des enquêteurs. Parmi eux, un septuagénaire jurassien domicilié en Petite Montagne indique le Progrès ce mercredi. L’homme a reconnu les faits, avant d’être présenté au parquet de Lons-le-Saunier et placé sous contrôle judiciaire, et répondra de ses actes devant la justice en mai prochain.

La seconde décision budgétaire modificative du budget 2023 a été adoptée ce lundi, en séance plénière, par les élus du Conseil Départemental du Jura. Elle s’élève à 3,9 millions d’euros supplémentaires. Rappelons que le budget global annuel du département est d’environ 388 millions d’euros, soit plus de 20 millions d’euros par rapport à 2022. Ces nouveaux moyens viennent renforcer six thématiques que sont l’agriculture, les affaires sociales, le numérique et les finances du SDIS du Jura notamment.

Un bus scolaire s’est retrouvé coincé et immobilisé dans un fossé ce jeudi matin aux alentours de 7h sur la commune d’Orchamps, à proximité de Dole. Le véhicule, en provenance d’Etrepigney et La Bretenière, se rendait à la gare d’Orchamps. Il transportait deux adultes et quatre adolescents qui devaient prendre le train pour se rendre au collège de Dole. Les passagers ont pu être évacués par les secours. Par ailleurs, sur le site Inforoute39 était indiquée l'interdiction de circuler sur la RD224 à partir de 7h30 ce jeudi 16 novembre, ainsi que sur la D76 entre Fraisans et La Bretenière depuis 5h hier. Le conducteur du bus scolaire aurait donc pu commettre une infraction. Une enquête a été ouverte.

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