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Dans un communiqué de presse, Anne vignot, la maire bisontine fait savoir qu’elle apporte son soutien au mouvement de grève des enseignants de ce jeudi 13 janvier. L’édile bisontine indique qu’elle sera au rassemblement prévu, en début d’après-midi, sur la place de la Révolution.  A Besançon, 19 écoles sur 63 seront fermées. 47 sont impactées et 13 accueils périscolaires seront fermés.

Une grande journée de mobilisation et d’action est prévue ce jeudi 13 janvier à l’éducation nationale. La contestation porte sur le protocole sanitaire mis en place dans les établissements scolaires en pleine épidémie de Covid-19. Dans la région des rassemblements sont programmés à 14h sur la place de la révolution à Besançon, à Montbéliard, 3 rue Brossolette, devant les locaux des circonscriptions et à Lons-le-Saunier, à 15h. Concernant cette dernière mobilisation, le départ sera donné à 15h de la préfecture.

Le BesAC devait affronter Lyon SO ce soir dans le cadre de la 17ème journée du championnat de nationale 1. Malheureusement, suite à 4 cas de Covid dans l’effectif bisontin, le club a demandé le report de la rencontre à la Fédération Française de Basket-Ball. Une demande qui a été acceptée en début d’après-midi. La rencontre est donc annulée, et sera reportée à une date ultérieure. 

La société Kéolis indique qu’en raison de la crise sanitaire et l’absence de personnel sur les lignes périurbaines, des horaires ont été modifiés. Pour tout savoir sur la nouvelle organisation mise en place : www.ginko.voyage. Rappelons qu’elle prend effet à compter de ce mardi 11 janvier.

 

Alors qu’un appel à la grève est lancé par les syndicats enseignants, pour ce jeudi, pour dénoncer le protocole sanitaire, imposé par le gouvernement dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid-19, on a appris que la FCPE appelle les parents d’élèves à ne pas envoyer leurs enfants à l’école le 13 janvier. Il semble que les derniers ajustements annoncés lundi soir par Jean Castex n’aient pas calmé la colère des différents acteurs de l’éducation.

Dès le 12 janvier prochain, un second centre de vaccination prendra place dans la salle Espace Rives du Doubs, au 12 rue du Puits à Doubs jusqu’au 30 mars 2022. Il abritera 3 nouvelles lignes de vaccination, en complément des 3 lignes déjà existantes au centre de vaccination de Pontarlier. Il sera ouvert aux mêmes horaires que son homologue pontissalien : du lundi au samedi, de 8h à 17h. 

L’épidémie de Covid-19 continue de battre des records. La Bourgogne-Franche-Comté n’est pas épargnée. Actuellement, tous les départements sont concernés par des taux d’incidence à 4 chiffres. Sous l’effet de la double vague delta et omicron, la pression hospitalière s’accroît elle-aussi : plus de 900 personnes sont désormais prises en charge, dont 160 en soins critiques et l’ARS a demandé aux établissements de prolonger le plan blanc de 4 semaines.

Concernant l’épidémie de Covid-19. Selon des chiffres du rectorat de Besançon, arrêtés à la date de ce jeudi 6 janvier, aucune structure scolaire et aucune classe ne sont fermées à ce jour. En cumul sur les quatre jours, 770 cas confirmés d’élèves et 72 cas de personnels ont été déclarés. Le communiqué de presse précise que l’éducation nationale a commandé 55 millions de masques chirurgicaux afin d’équiper les personnels des écoles et des établissements scolaires, avec des premières livraisons dès la mi-janvier

 

Après des séances très mouvementées en début de semaine, les députés ont finalement adopté le projet de loi transformant le passe sanitaire en passe vaccinal. Le texte a finalement été validé tôt ce jeudi matin par 214 voix, 93 contre et 27 abstentions. Il doit désormais être examiné par le Sénat en début de semaine prochaine, pour une entrée en vigueur au 15 janvier, tel que le gouvernement le souhaite.

Dans un communiqué de presse, l’Agence Régionale de Santé indique que la circulation du virus liée à la Covid-19 a atteint ces derniers jours dans la région « un niveau inédit », s’élevant à 1300 cas pour 100.000 habitants. Ce chiffre s’explique par l’hyper-contagiosité du virus Omicron, qui est désormais majoritaire.