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Après deux années de travaux, le CHU de Besançon s’est doté d’un plateau technique de cardiologie de très haute technologie. L’établissement dispose désormais de quatre salles entièrement rénovées et d’équipements parmi les plus performants pour prendre en charge l’ensemble des pathologies cardiaques. Le coût de cet investissement s’élève à près de 6 millions d’euros, dont presque la moitié a été prise en charge par l’Europe.

Le Professeur Nicolas Meneveau, le chef du service cardiologie du CHU de Besançon, explique que ces nouvelles installations apportent une meilleure prise en charge et modifie considérablement les interventions qui, aujourd’hui, peuvent ne pas toujours faire  appel à la chirurgie. « Avec l’avènement des nouvelles techniques, les progrès de l’imagerie, la miniaturisation du matériel, nous sommes en mesure de proposer, aux patients souffrant d’une cardiopathie grave, des approches beaucoup moins agressives, qui évitent d’ouvrir la poitrine et qui permettent d’offrir des soins de qualité, et certainement beaucoup plus sûrs » argumente le Professeur Meneveau. Et d’ajouter que ces interventions provoquent « beaucoup moins de complications post-opératoires et de morbi-mortalités postopératoires ».

 

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L'interview de la rédaction : Le Professeur Nicolas Meneveau

Quatre nouvelles salles entièrement équipées

Concrètement, le CHU Minjoz dispose de deux salles dédiées à la prise en charge de patients souffrant des artères coronaires. Chaque année, l’hôpital bisontin réalise 2.500 coronographies et 1700 angioplasties, entrainant l’implantation d’un stent. Le nouveau plateau technique  comprend également deux salles hybrides qui sont des blocs opératoires. L’un d’eux permet la prise en charge des patients souffrant de troubles du rythme cardiaque. Autrement dit, de tachycardies graves. L’autre est exclusivement dédiée  à la prise en charge de pathologies aortiques lourdes.

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L'interview de la rédaction : Le Professeur Nicolas Meneveau

 

En conclusion. Précisons que le CHU Minjoz apparaît dans le top 10 français, en termes de volumes d’activité dans ce domaine. Il est aujourd’hui doté d’un plateau technique moderne et confirme son positionnement de pointe dans cette spécialité. Actuellement, sept médecins et douze infirmières travaillent au sein de ce nouveau plateau technique de cardiologie.

 

En octobre prochain, le CHRU Minjoz ouvrira, à Besançon, son hôpital de jour de santé des femmes. A terme, l’établissement proposera sept parcours de santé. Dans un premier temps, ce sont trois parcours qui seront proposés aux patientes : le parcours chirurgical pour les patientes atteintes de cancer du sein, de cancer du pelvis, et  d’endométriose. A travers cette démarche, le CHU Minjoz entend accompagner et aider les femmes qui en ont besoin dans les trois dimensions de santé que sont la santé physique, psychique et sexuelle.

L’objectif est d’optimiser la prise en charge globale. L’hôpital de jour de santé des femmes (HDJ) associera le monde associatif. Il sera composé également de différents professionnels hospitaliers ou extra-hospitaliers. Une sage-femme, une psychologue, un kiné et une socio-esthéticienne  seront présents. Une initiation à l’hypnose sera également proposée pour permettre le développement de compétences dans la gestion de son stress et de son anxiété. Ce dispositif entend rendre les patientes actrices de leur santé, identifier leurs besoins et les orienter en fonction de ces derniers. La mission est ambitieuse et vise à améliorer la convalescence des patientes et réduire les séquelles de la maladie et/ou de la chirurgie.  « C’est important de rendre les patientes actrices de leur prise en charge et qu’elles comprennent bien ce qui va leur arriver. Si elles ont des besoins particuliers, il faut que l’on puisse anticiper les choses et qu’elles bénéficient d’un accompagnement spécifique, en rencontrant une assistante sociale par exemple » termine Séverine Bey, cadre de santé et à l’initiative de ce projet. 

L'interview de la rédaction : Séverine Bey, cadre de santé

 

Deux approches

Ce projet est à l’initiative du centre hospitalier bisontin, qui s’appuie sur deux approches qui ont fait leur preuve : l’éducation thérapeutique et la réhabilitation améliorée après chirurgie (RAAC). « C’est vraiment centré sur le patient. C’est lui donné des compétences et qu’il ait les bonnes réactions » explique Mme Bey. La cadre de santé voit en ce projet un complément à la médecine de ville, qui a besoin d’appui et de  relais, face aux fortes sollicitations qu’elle rencontre.

Afin de promouvoir auprès des étudiants en médecine, en pharmacie et en odontologie Besançon, le CHU Jean Minjoz met le cap sur une campagne d’attractivité ciblée en lançant un nouveau site dédié exclusivement aux futurs internes « Mon internat, c’est Besac ! », à l’adresse moninternatcestbesancon.fr. L’objectif est de convaincre ces jeunes futurs praticiens de choisir Besançon pour effectuer leur 3e cycle d’études médicales ou pharmaceutiques et donc à choisir leur internat et leur spécialité.

C’est un bel anniversaire qui a été célébré ce vendredi après-midi au service de cardiologie du CHU Minjoz à Besançon. Le personnel soignant, en présence du chirurgien et Professeur Sidney Chocron, a reçu Mme Evelyne Goyet, âgée de 77 ans, qui a bénéficié d’une opération du cœur, qui lui a permis d’améliorer grandement sa santé et de prolonger une vie qui semblait bien fragile. Il y a dix ans, cette Jurassienne, en grande insuffisance cardiaque, acceptait l’implantation d’un cœur artificiel. Une intervention qu’elle redoutait, mais qu’elle ne regrette pas. En France, elle est la troisième patiente à fêter ses dix ans d’assistance cardiaque.

L'interview de la rédaction / Mme Goyet

Reconnaissante, Mme Goyet explique que cet appareillage, « un peu contraignant », lui a sauvé la vie. « La vie s’était drôlement ralentie. J’allais vraiment vers la fin » explique-t-elle. Et de continuer : « Chapeau à eux. Ce fut difficile à l’accepter, mais mon existence a grandement changé depuis ». Dix années se sont désormais écoulées et la patiente profite du quotidien et de ses proches. Depuis l’intervention, deux petits enfants sont venus agrandir la famille.

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Une grande insuffisance cardiaque

Le Professeur Sidney Chocron explique que cette technologie s’adresse à des personnes « qui n’arrivent plus à respirer correctement ». « Elle était maigre. Elle était dénutrie. Aujourd’hui, elle est en pleine forme. Elle fait même du ski » ajoute le Professeur. Pour faire simple, dans le cas de cette patiente, le ventricule gauche est défaillant. Ainsi la technologie mise en œuvre a pour mission principale de le court-circuiter, via un système, composé d’une turbine, qui assure le transfert du sang, du ventricule gauche à l’aorte. La technologie d’il y a 10 ans a déjà évolué. Une décennie plus tard, elle n’est déjà plus la même. Elle se perfectionne et améliore le confort de vie des patients. Le  CHU de Besançon a réalisé  une cinquantaine d’interventions de ce type depuis 2011.

L'interview de la rédaction / Professeur Chocron

Le CHU de Besançon est désormais doté de trois IRM de pointe. Ces équipements permettent d’accélérer les prises en charge et les diagnostics, notamment au sein de la filière AVC, de la pédiatrie et des urgences pédiatriques et de la cancérologie. Ces acquisitions s’accompagnent d’une rénovation du service existant. Par ailleurs, dans un souci de rendre ces examens les plus confortables possibles, rappelons que le plateau technique d’imagerie médicale propose une solution immersive et la possibilité de visionner une vidéo pendant le temps de la prise en charge.

Depuis 3 mois, les services de pédiatrie du CHU accueillent chaque semaine des visiteurs pour le moins singuliers : des poules, des lapins, des cochons d'Inde et un chien ont investi les locaux de médecine et de chirurgie pédiatriques le temps de séances de médiation animale.

Ce vendredi matin, Maybe, le colley au poil long, Alpine la poule hollandaise huppée, Pouki et Cybèle, les deux lapins béliers ou encore Chouquette le cochon d’Inde, rendaient visite aux enfants du service pédiatrique du CHU Minjoz de Besançon. L’objectif est de rendre les conditions de séjour hospitalier plus agréables pour les enfants, de leur permettre de changer d’univers et de s’évader du contexte de l’hospitalisation. « Tout est parti d'une collègue éducatrice qui avait eu cette idée de faire venir des animaux à l'hôpital. On lui a dit qu’elle était folle, que ça ne se ferait jamais. Et puis finalement, on a cru à ce projet, et on a fait beaucoup de recherches pour savoir si ça se faisait dans d'autres CHU. Avec beaucoup de travail, il a fini par aboutir au mois d'octobre 2023 » indique Caroline, éducatrice de jeunes enfants en chirurgie pédiatrique. Ce projet de médiation animale qui a donc été initié par les éducatrices de jeunes enfants du CHU et adopté par l’ensemble des équipes de pédiatrie, reçoit le soutien financier de l’association CéKeDuBonheur. Chaque vendredi matin, plusieurs sessions sont mises en place pour faire bénéficier le maximum d’enfants de ces ateliers. 157 ont déjà pu y participer. « Les bienfaits, on y croyait énormément. Et depuis que les ateliers sont en place, ça n'a fait que se confirmer. Quand les enfants viennent en atelier de médiation animale, ils sont apaisés, détendus, ça leur fait oublier qu'ils sont à l'hôpital, ainsi que les jours et semaines passées, qui parfois sont très durs » poursuit Caroline.

 

 

« C'était une très bonne séance. Les enfants étaient souriants et on a un petit qui était, je pense, vraiment pas dans son assiette en début de séance, et qui a terminé avec un grand sourire en s'occupant des animaux » Emilie Hienne, zoothérapeute à Anim’O-tive

 

Le rôle de médiateur de l’animal

L’animal joue un rôle de médiateur entre le patient et le zoothérapeute. Chez les enfants, il s’agit avant tout d’une aventure sensorielle empreinte de douceur et rythmée par des jeux pédagogiques avec les animaux. « C’est un moment qui sort de l'ordinaire, qui permet passer du bon temps. Quand on s'occupe l'esprit, on oublie un petit peu la douleur, et ça permet de diminuer les angoisses des soins qui seront à venir » explique Emilie Hienne, la zoothérapeute qui encadre ces ateliers. La zoothérapie requiert une formation précise tant pour le professionnel que pour l’animal. Les animaux présents au CHU sont entraînés et habitués depuis plusieurs années à ces ateliers dans divers établissements sanitaires et sociaux de la région ; ils ont un comportement adapté en présence d’enfants. « Oui les animaux ont été éduqués pour intervenir auprès d'un public fragilisé, donc ce sont des animaux qui ont un tempérament très calme. Concernant les enfants en pédiatrie, qui peuvent souffrir physiquement, on ne pourrait pas emmener des animaux qui sont un petit peu trop vifs, qui pourraient les bousculer. C'est important qu'ils soient vraiment habitués » confie Emilie Hienne.

Emilie Hienne, zoothérapeute à Anim’O-tive : 

 

Le respect des règles strictes d’hygiène

« Les chiennes doivent effectivement être à jour de tous leurs vaccins et tous les animaux ont des traitements antiparasitaires de manière très régulière » indique Emilie. Pour permettre la concrétisation de ce projet à l’hôpital, un protocole sanitaire a été mis en place et toute séance de médiation animale est tracée. Les ateliers sont accessibles à tous les enfants, sauf contre-indication médicale. Avant chaque séance, une vérification du bon état général de chaque animal est effectuée par Emilie, les animaux sont brossés avant chaque séance et lavés si nécessaire. Une attestation de bonne santé et de conformité à la pratique de la médiation animale délivrée par un vétérinaire a été fournie au CHU pour l’ensemble des animaux.

Caroline, éducatrice de jeunes enfants en chirurgie pédiatrique : 

 

Il y a 40 ans, le 11 janvier 1984, l’hôpital Jean-Minjoz de Chateaufarine ouvrait ses portes et accueillait ses premiers patients en gastro-entérologie et en médecine interne. Dans ce contexte, le site bisontin propose une exposition consacrée à la genèse, à la construction, à l’évolution et à l’avenir de l’hôpital. Elle se décline en vingt panneaux, réalisés à partir des archives du CHU. Cette création est visible du 12 janvier au 5 février dans le hall de l’hôpital.

Les joueuses de l’ESBF ont fait équipe avec l’association « P’tits Bouts de Ficelle » ce vendredi 15 décembre pour apporter un moment de bonheur aux enfants hospitalisés en pédiatrie au CHU Minjoz de Besançon. Les sportives et les enfants ont pu participer à différentes activités ludiques installés dans une salle de l’hôpital. Un goûter était prévu en milieu d’après-midi. Les enfants en isolement pour des raisons médicales ont bénéficié de visites individuelles afin de pouvoir aussi profiter de ce moment. L’occasion d’oublier l’hospitalisation pendant quelques instants.

Hana Sevcikova de l’association P'tits Bouts de Ficelle : 

 

Une fresque géante composée de 85.000 briques Lego a été inaugurée au CHU Minjoz ce mardi 12 décembre. Cette œuvre a été fabriquée par les enfants des services de pédiatrie de l’établissement de santé grâce au concours de l’association Lug’Est. Pendant un an des ateliers de construction ont été animés par l’équipe d’éducatrices et les membres de l’association. 33 jeunes patients ont donc participé à la création de cette fresque de 2,66m sur 1,90m représentant Hansel et Gretel.

 

« Au départ, nous avions des petits ateliers mis en place avec la collaboration de l'association Lug’Est. On proposait des petites activités autour du lego, comme la construction d'un sapin de Noël pendant la période des fêtes. Et puis, petit à petit, on nous a proposé un plus gros projet : la réalisation de cette fresque » indique Elodie Musumeci, éducatrice au CHU de Besançon en médecine pédiatrique. C’est donc une œuvre impressionnante, de 2,66 mètres sur 1,90 mètres, qui orne désormais le mur du couloir vert situé juste à droite de l’entrée principale du CHU Minjoz. Avec en son centre, les célèbres Hansel et Gretel, devant leur maison en pain d’épice, entourés de nombreux animaux. Une œuvre qui comprend 85.000 briques Lego, composée de plus de 40 couleurs différentes, et choisie par les enfants parmi plus d’une dizaine d’autres images. « On a cherché une image qui pourrait plaire aux enfants, aux plus petits et aux plus grands. Il fallait que ça soit adapté à tous les âges. Tous les mois, on se retrouvait avec les enfants présents dans les services. On leur expliquait le projet, et chacun pouvait mettre sa petite pièce à l'édifice, en participant le temps de son hospitalisation » explique Elodie Musumeci.

 

« Il y a quelques années, nous réalisions déjà des ateliers en pédiatrie. Mais cette fois, l'idée était de laisser une trace, de faire quelque chose d'envergure. Et cette fresque en deux dimensions paraissait particulièrement adaptée » Ludovic Chouet, de l’association Lug’Est.

 

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Les membres de l'association Lug'Est, aux côtés des éducatrices en médecine pédiatrique du CHU Minjoz

 

Aider les enfants à sortir du quotidien de l’hospitalisation

Le but de ce projet était de divertir les enfants hospitalisés, les sortir de leur quotidien, et de leur permettre de s’évader le temps d’un instant. « On s'était bien préparé pour que chaque enfant ait une plaque, un détail des couleurs de tout ce qu’il devait réaliser. On était on était évidemment sous l'émotion aussi de jouer avec eux, de les occuper, et d’observer leurs réactions à la fin de la journée, en se disant qu'ils avaient pensé complètement à autre chose pendant quelques heures. Que ça leur avait fait un bien fou. On n’en sort pas indemne, ni de la même manière » confie Ludovic Chouet, de l’association Lug’Est. Un avis partagé par Elodie Musumeci, éducatrice en pédiatrie au CHU de Besançon, qui a passé beaucoup de temps au côté de ces jeunes. « C'est un temps en dehors de l'hospitalisation. On est dans une autre pièce, où il n’y a pas de soins. C'est vraiment un temps de jeu, et on a vu que ça plaisait autant aux enfants qu’aux parents et aux familles ! Les Lego c'est intergénérationnel que ça plaît à tout le monde ».

 

Une autre fresque en briques Lego sera inaugurée à l'hôpital Louis Pasteur de Dole ce mercredi après-midi, aux côtés de l’association et des personnels de l’établissement.

 

Chaque année depuis 2009, le ministère de la santé organise "La semaine de la sécurité des patients". Cette opération de sensibilisation est une occasion privilégiée de renforcer la collaboration entre les professionnels de santé, les patients, leurs proches et la société dans son ensemble. Cette année, la semaine de la sécurité des patients se tenait du 20 au 24 novembre, avec comme thème : « Faire des patients les acteurs de leur propre sécurité ».

Dans le cadre de cette Semaine de la sécurité des patients, et comme chaque année, les professionnels du CHU Minjoz de Besançon se mobilisent autour de cette campagne nationale afin d’informer et d’impliquer l’ensemble des publics de l’hôpital. De nombreuses animations sous différentes formes se sont tenues au sein de l’établissement pendant 5 jours, comme des stands d’information, des ateliers thématiques, des jeux de sensibilisation ou encore des expositions.

Peut-on mélanger de la verveine, de la menthe, du millepertuis ou encore du thé vert avec un traitement médical ? Sans que celui-ci ne voit ses effets diminuer, ou au contraire décupler ? C’est en tout cas à travers un jeu « phytothérapie » qu’Anne-Laure Clairet, pharmacienne au CHU de Besançon, et ses équipes ont souhaité sensibiliser le public à ces questions.

 

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« Un jeu sur l'éducation des patients au risque de prendre de la phytothérapie en même temps que leurs médicaments »

Le principe est très simple. Plusieurs cartes sont proposées, avec une mise en situation rédigée sur le recto de la carte. Par exemple, « Le pamplemousse est-il compatible avec le Tarceva ? ». Après avoir répondu, la personne retourne alors la carte, et au verso se trouve une explication sur les risques avec des systèmes de feu vert, orange ou rouge. « Ces cartes ne sont là finalement que pour faciliter la discussion avec les patients et inciter à discuter avec nous, tout en prenant conscience des risques que peuvent représenter la prise de phytothérapie en même temps que plusieurs autres médicaments » indique Anne-Laure Clairet. « Certaines plantes peuvent augmenter l’activité, notamment du foie, et donc l'élimination des médicaments au prix d'une baisse de l'efficacité de ceux-ci. Et à l'inverse, certaines plantes peuvent bloquer l'activité du foie, et donc empêcher l'élimination et augmenter la toxicité de certains médicaments » poursuit la pharmacienne du CHU. Un atelier qui a bien fonctionné, avec des très nombreuses personnes venues se renseigner. « Les gens sont plutôt curieux, et ça suscite vraiment la curiosité. Et puis c'est un jeu qui est animé par des étudiants en pharmacie et en soins infirmiers. Donc l'échange entre les étudiants et les patients est très enrichissant pour les deux parties, il permet également de vraiment améliorer la formation nos étudiants » souligne Anne-Laure Clairet.

 

Anne-Laure Clairet, pharmacienne au CHU de Besançon : 

 

 

« En effet, dès lors que les patients sont associés aux soins qu’ils reçoivent en tant que partenaires, les données montrent que leur sécurité, leur satisfaction et leurs résultats sanitaires s’en trouvent nettement améliorés. En devenant des membres actifs de l’équipe soignante, les patients peuvent contribuer à la sécurité des soins qui leur sont prodigués et à celle du système de santé dans son ensemble. Que l’on soit soigné ou soignant, la mobilisation de tous est décisive pour, d’année en année, inciter les acteurs à s’engager davantage encore dans des démarches de sécurité maximale, de qualité et de coordination des soins » Ministère de la Santé

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