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Ce mercredi soir, France 3, la chaîne des régions, diffusera, à 21h05, l’émission la carte aux trésors pour un épisode inédit à la découverte du Doubs. Ce jeu grandeur nature vous conduira notamment à Besançon, dans les Vallées de la Loue et du Lison, et le Haut-Doubs. On nous promet de superbes images.

Au menu, le Château de joux, la Citadelle, le Château d’Ornans, les Salines Royales d’Arc-et-Senans, … . Une belle émission en perspective, qui devrait permettre aux téléspectateurs de s’évader un peu.

L’hôpital de Morteau indique qu’il a réactivé son Plan blanc depuis hier. « Une décision prise à titre de précaution compte tenu de l’accélération préoccupante de l’épidémie de Covid-19 et de la saturation progressive des hôpitaux de Pontarlier et de Besançon Â».

L’établissement mortuacien ajoute qu’une personne hospitalisée a été identifiée cas positif en secteur de médecine. D’où le renforcement des mesures de précaution. Pour l’heure, les visites sont autorisées, mais dans le respect des nouvelles règles établies, au niveau des ehpad , de l’unité de soins de longue durée et du secteur de médecine-soins de suite et réadaptation. Bien évidemment, ces mesures évolueront sans doute à l’issue de la prise de parole d’Emmanuel Macron ce soir.

Du lundi 2 au jeudi 5 novembre, la direction interdépartementale des Routes de l’Est (DIR Est), pour le compte de l’État, va procéder aux travaux de réfection de la couche d’étanchéité de l’ouvrage d’art de l’échangeur n°54, dit « du Sablier Â», sur la RN57, au niveau d’Ecole-Valentin (25).

Ces travaux seront réalisés durant 3 nuits, dans la plage horaire 20h00 – 6h00.Pour ce faire, tous les accès à l’échangeur n°54 seront totalement fermés durant ces nuits.Des déviations seront mises en place pour pallier ces fermetures d’accès.

Grand Besançon Métropole appelle la population à la prudence et invite ses habitants à protéger ses compteurs d’eau contre le gel. Le département Eau et Assainissement de Grand Besançon Métropole rappelle que le froid peut entraîner d’importants dégâts sur les réseaux d’eau potable.

Cette isolation, mise en place durant la période hivernale, pourra être retirée à compter du 1er mars 2021 afin d’éviter la condensation sur les écrans des compteurs. Il est rappelé que les détériorations provoquées par le gel sur les compteurs d’eau sont à la charge des abonnés. Pour en savoir plus / www.grandbesancon.fr/eau

Hier, mardi 27 octobre, l’association « les Jardins des Vaîtes Â» a rencontré des responsables de la mairie de Besançon pour faire le point sur la situation et formuler des demandes précises. Des représentants du collectif, dont Claire Arnoux, ont notamment été reçus par le directeur de cabinet d’Anne Vignot et le vice-président de la communauté d’agglomération du Grand Besançon en charge de l’urbanisme et membre également du conseil d’administration de Territoire 25, l’aménageur du projet.

Pour l’heure, aucune avancée notoire n’est enregistrée. Néanmoins, Claire Arnoux reconnaît que, contrairement à la précédente majorité municipale, les échanges avec l’équipe actuelle sont plus cordiaux et aisés. Hier, lors des discussions plusieurs points ont été abordés. Ils portaient sur la remise de certains documents, notamment portant sur les engagements financiers pris par la mairie de Besançon dans le cadre de ce chantier et sur les pertes estimées en cas d’annulation du projet. L’arrêt des procédures judiciaires en cours au tribunal administratif de la ville pour l’occupation des lieux et l’abandon du projet de construction de l’école des Vaîtes furent également notifiés.

Un projet de 11 millions d’euros

Pour « Les Jardins des Vaîtes Â», la construction de la nouvelle école « sur des terres appartenant à la dernière exploitation maraîchère, en agriculture biologique, à Besançon Â» est purement et simplement impensable. C’est ce qu’ont rappelé les militants à leurs interlocuteurs. Selon eux, « les 11 millions d’euros prévus pour la construction de l’école, avec des effectifs plus importants, sont irresponsables ». Ils jugent que cet investissement « surdimensionné Â» pourrait être utilisé plus judicieusement, en partageant par exemple cette somme entre les différentes écoles de la cité comtoise afin de mener un véritable travail d’entretien et de rénovation au sein de ces structures. Pour l’heure, aucun nouveau rendez-vous n’a été pris.

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