Choix du secteur :
Se connecter :

Un feu d’habitation s’est déclaré ce midi à Dampierre-les-Bois. De la fumée s'est échappée de la bâtisse. A l’arrivée des secours, le sinistre avait été éteint par les résidents.

Les secours ont procédé à la ventilation des locaux et à la prise en charge d'une femme et d'un homme qui avaient respiré des fumées. Les victimes ont été transportées au Centre Hospitalier Nord Franche-Comté. Les causes et circonstances restent à déterminer.

Marie-Guite Dufay, présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté et Anne Vignot, présidente du Grand Besançon Métropole ont signé le jeudi 22 octobre à Besançon un pacte régional pour venir en aide à l’économie de proximité et aux TPE. La signature a eu lieu à Basilic Instant, un restaurant situé 93 rue des Granges, qui est l’un des premiers bénéficiaires. La Région, en collaboration avec la Banque des Territoires, et l’appui des 113 EPCI (établissements publics de coopération intercommunale) a mis en œuvre la création de deux fonds de soutien à l’économie de proximité pour un montant total de 27 millions d’euros. Au niveau de Grand Besançon Métropole, c’est plus d’1,5 million d’euros qui est consacré à l’accompagnement des TPE bisontines.

La Région s’engage par une contribution de 6€ par habitant, et Grand Besançon Métropole à hauteur de 2€ par habitant (sur la base du recensement de 2017 selon l’INSEE).

Le financement ?

Ce pacte régional repose sur deux fonds :

-   Un fonds régional d’avances remboursables, mutualisé et solidaire, auquel les EPCI contribuent par un versement à la Région à hauteur de 1€ par habitant.

-   Un fonds régional des territoires en subventions opéré par les EPCI, auquel la Région contribue par un versement à chaque EPCI à hauteur de 5€ par habitant.

« Nous devons aider ces entreprises à résister Â», a insisté Anne Vignot. Pour l’heure, c’est une dizaine d’entre elles qui ont été bénéficiaires de ces aides, pour plus de 83 000€. « Chacune peut recevoir jusqu’à 10 000 â‚¬ maximum, quel que soit le nombre de salariés. Nous apportons ce financement pour que les entreprises puissent résister à ces étapes difficiles Â» conclut la maire de Besançon.

Depuis juin 2019, les chaines télévisées de la Radio Télévision Suisse (RTS) ne sont plus accessibles pour les téléspectateurs français. Les autorités suisses ont éteint les émetteurs Télévision Numérique Terrestre (TNT) pour des raisons économiques. Celui situé sur le mont Chasseral, dans le Canton de Berne, en fait partie. La reprise de la réception via la TNT est possible sous réserve qu’une autorité française accepte de participer au coût d’exploitation annuel de cet émetteur.

Le département du Doubs participe aux instances d’échanges et de coopération de l’Arc jurassien. Dans ce cadre, les enjeux et les priorités partagées de part et d’autre de la frontière constituent le « vivre ensemble Â» et le resserrement des liens entre les territoires du Doubs et de la Suisse. Pour cette raison, le Conseil départemental a approuvé hier à l’unanimité, la participation financière de la collectivité pour la remise en service de cet émetteur. Cela représentera 2500€ par mois, soit 30.000€ par an, et s’étendra sur  3 ans. Le coût mensuel global de l'exploitation de l'émetteur est de 6290 Francs Suisses, dont une partie  prise  en charge par des télévisions régionales.

Ce matin, une cinquantaine de personnes se sont rassemblées devant les locaux de la Police aux Frontières à Pontarlier. Parmi eux, des militants des associations Solmiré de Besançon et Vesoul et d’autres associations de défense des réfugiés, venues du Jura et de Dijon. Ils sont venus dénoncer la situation de jeunes majeurs étrangers qui se voient dans l’obligation de quitter le territoire, alors que leur situation ne représente aucune irrégularité.

Il est ainsi pointé les documents qui leur sont délivrés, reconnaissant la qualité et la véracité de leur intégration, mais qui ne sont pas reconnues par la Police aux Frontières et la Préfecture du Doubs. La situation des jeunes ressortissants guinéens préoccupent plus particulièrement le monde associatif. Ce mardi après-midi, une délégation devait être reçue en Préfecture à Besançon.

Au troisième trimestre 2020, en Bourgogne-Franche-Comté, le nombre de demandeurs d’emploi tenus de rechercher un emploi et sans activité, ceux de la catégorie A, s'établit en moyenne sur le trimestre à 130 430. Ce nombre baisse de 14,0 % sur le trimestre (soit –21 180 personnes) et progresse de 5,7 % sur un an.

Dans le Doubs, la progression est de 0,5% par rapport au trimestre dernier et de +7,8% sur un an. Dans le Jura , par rapport au trimestre précédent, la baisse est de 0,8%, +4,9% sur un an.

Sous-catégories