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Une bonne nouvelle dans ce contexte sanitaire incertain. La Ville de Valdahon vient d'obtenir le label « terre des jeux 2024 ». A l'initiative de ce projet, soutenu par la commune et ses élus, Mathieu Julliard, déjà très engagé dans la vie sportive locale. Mathieu a mis à profit son temps libre, imposé par le 1er confinement, pour réfléchir à cette initiative. Aujourd'hui, la Ville de Valdahon fait partie des cinq premières communes labellisées. Nationalement, ce sont 1500 communes qui font déjà partie de ce dynamique collectif.


Malgré les incertitudes qui planent sur la pandémie et ses conséquences dans nos vies, Mathieu et ses soutiens veulent y croire et réfléchissent d'ores et déjà aux actions qui pourraient voire le jour. L'objectif est d'inscrire de façon pérenne le sport, formidable vecteur de valeurs et de lien social, au cœur de la ville. Les idées ne manquent pas. Elle se déclineront sous formes de pratiques sportives, d'animations, de conférences et de projets plus structurants, comme le développement d'un réseau de pistes cyclables ou la création d'une application pour la promotion du sport à Valdahon.

Tous les publics concernés

Mathieu veut associer le plus grand nombre de participants à ce projet. Après avoir obtenu le soutien de la ville de Valdahon, qui vient de fièrement afficher ce label, le responsable entend développer un programme sportif s'adressant à toutes les catégories de personnes, sans oublier les personnes âgées et les personnes en situation de handicap. Mathieu Julliard invite également tous ceux qui ont envie de s'investir dans ce projet à se faire connaître. Vous pouvez lui laisser un message via Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..

Jeudi après-midi, vers 15h, un homme de 17 ans, défavorablement connu de la justice, a été interpellé dans le quartier Planoise, rue Picasso, à Besançon. Sur lui, les policiers ont découvert : 2510 euros dans une sacoche, 5 grammes d'herbe de cannabis et 4 grammes de cocaïne.

Trop concentré à regarder son portable, l'adolescent bisontin n'a pas vu arriver les policiers. Pour la petite histoire, pensant s'adresser à des proches, il leur a même demandé de revenir « 10 minutes plus tard ». Les fonctionnaires n'ont bien évidemment pas répondu favorablement à la demande.

À l’occasion de sa venue à Besançon, la maire de Mulhouse Michèle Lutz, et son alter-égo bisontine Anne Vignot présentaient une conférence de presse. Accompagnées de Lionel Delbos, directeur économie territorial à France Urbaine, les deux édiles ont affirmé leur volonté de travailler sur un échange économique, touristique, ou encore culturel entre Besançon et Mulhouse.

Une décision motivée par la proximité géographique, mais aussi structurelle entre les deux territoires. Ces derniers partagent en effet une histoire industrielle automobile, et horlogère commune.

Un mineur de 16 ans a été placé en garde à vue ce jeudi après-midi. Il a été remis à ses parents à l'issue de cette dernière et s'est vu remettre une convocation pour une prochaine comparution, avec mise en examen, devant un juge des enfants à Besançon.

Le 2 février dernier, il était au volant d'un véhicule malgré son jeune âge. Il devra répondre notamment des faits de conduite sans permis, refus d'obtempérer, défaut d'assurance et contrôle technique non valide.

Ce jeudi matin, un peu plus d’une dizaine d’employés de Stanley Black & Decker Manufacturing se sont rassemblés devant le portail de l’entreprise à Besançon. Selon la CGT, plus de 60 employés seraient menacés, suite à la perte envisagée du marché « Fatmax Â». Il représenterait 30% du chiffre d'affaires de l’entreprise spécialisée dans la fabrication de pinces. Après l’appel à la mobilisation à l’entrée du site ce jeudi à 9h30, une journée nationale d'action interprofessionnelle s’est tenue place de la Révolution à Besançon.

Plus de la moitié des employés menacés

Selon la CGT, l’entreprise produisant exclusivement des pinces, a mis fin à de nombreux CDD fin 2020. La cause serait la perte du marché des pinces « Fatmax Â». Selon le syndicat, ce marché représente « 30 % du chiffre d’affaires Â» et « près de 60 emplois Â» qui pourraient être menacés si le marché disparaissait et qu’aucun autre ne venait le compenser. Soit plus de la moitié des salariés de l’entreprise bisontine. Cyril Haulet, coordinateur projet-production à Stanley Manufacturing, et représentant de la section syndicale CGT de l’entreprise, explique que l’actionnaire américain souhaiterait délocaliser ce marché en Asie, pour être produit à moindre coût.

Une mobilisation s’élargissant à d’autres secteurs

La CGT a poursuivi son action à 10h30 place de la Révolution à Besançon, aux côtés de plusieurs autres syndicats, partis politiques de gauche, administrations, et étudiants. Les syndicats appelaient à manifester pour l'emploi, les services publics, et contre la précarité. Ce sont près de 400 personnes qui ont donc entamé une marche, drapeaux en mains, et pancartes brandies contre la politique du gouvernement. Dans le cortège, des salariés, retraités, fonctionnaires et des apprentis sans papiers menacés d'expulsion. Une cinquantaine de forestiers faisaient aussi partie de la foule se dirigeant en direction de la préfecture, dénonçant les suppressions de poste au sein de l'ONF et la destruction du service public forestier. 

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