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Le Bleuet de France est une œuvre caritative issue de la Première Guerre mondiale et dont l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre (ONACVG) assure aujjourd'hui la gestion.

Aujourd’hui, la vocation du Bleuet de France perdure et l’œuvre agit sur de nouveaux fronts en favorisant, aux côtés des actions sociales traditionnelles, la transmission de la mémoire comme véritable vecteur de solidarité entre les générations. « Héritier d'une tradition de soutien aux victimes des conflits du XXème siècle, le Bleuet est aujourd'hui une manière de préparer un avenir solidaire pour tous Â».

Cette année, la campagne nationale du Bleuet de France aura lieu du 5 au 13 Mai. « Durant cette période, nous vous invitons à porter un Bleuet de France afin de montrer votre soutien aux victimes de guerre, veuves, pupilles de la Nation et victimes d'attentats Â» précise l’organisme, rappelant ainsi les bénéficiaires de cette collecte nationale.

« Les fonds collectés permettent notamment de contribuer au maintien à domicile des anciens combattants et de leurs veuves, de participer au financement des études des pupilles de la Nation, mais encore de soutenir des militaires gravement blessés en opérations extérieures ou d’accompagner les familles endeuillées de nos soldats Â».

Ces dernières semaines, le football a comme trop souvent encore fait la une suite à des incidents que ce soit dans les catégories seniors ou jeunes. Désolant pour les amoureux de ce sport. Epuisant et décourageant pour les arbitres qui sont la plupart du temps les cibles de ces inqualifiables pseudos joueurs ou supporters.

Heureusement, il reste de l’espoir et certains tiennent à mettre en vanat aussi les matchs où tout se passe bien. C’est le cas d’Antoine Bejean, un jeune arbitre qui sur les réseaux sociaux publie une lettre ouverte suite à un match qu’il a arbitré en U15 entre Lure et Bresse Jura Foot. Une bouffée d’oxygène bienvenue :

« Parfois un simple match peut faire un électrochoc. Un retour sur le terrain de mon premier match, un quart de finale disputé par 2 équipes vaillantes, courageuses et respectueuses. Des supporters encourageant leur équipe respective qui n'hésitent pas à applaudir l'adversaire dans toutes les situations. C'est le football que j'aime, celui que le amoureux du ballon rond voudraient voir chaque jour de match.
Merci aux deux équipes de m'avoir offert un si beau match, merci aux supporters aussi bien lurons que jurassiens pour leur attitude avant, pendant et après le match. Un arbitre devrait toujours pouvoir applaudir les supporters à la fin d'un match, devrait toujours pouvoir consoler un joueur déçu du résultat, rigoler discuter et échanger avec tous les acteurs du match du football une fois celui-ci terminé. Merci à toutes ces personnes pour les nombreux compliments, merci pour cette attitude fantastique. 
Être arbitre c'est aussi être un humain, nous aussi nous participons au match pendant 90 minutes et même plus. Et même si aujourd'hui mon âge est un facteur plus important que mes qualités pour progresser encore dans l'arbitrage, je n'oublierai jamais que le plus important est de faire correctement mon travail pour pouvoir encore et encore revivre ce scénario. 
Vive l'arbitrage et vive le football ! Â»

Les jeunes basketteurs du Collège Philippe Grenier à Pontarlier se sont qualifiés pour les championnats de France UNSS. En battant Auxerre, ils ont gagné leur place pour la suite de la compétition.

Le rendez-vous est donné à Nantes du 22 au 25 mai prochain, pour ces jeunes basketteurs qui ont à cœur de représenter au mieux les couleurs de leur établissement et de leur ville.

Depuis septembre dernier, les élèves de 3è du collège André Malraux à Pontarlier planchent sur une question Â« Qui étaient les poilus de Pontarlier ? Â».

Dans le cadre du centenaire de l’armistice, une quarantaine d’élèves se sont intéressés à ces hommes morts pour la France inscrits sur le monument aux morts pontissaliens. Ils retranscrivent la vie et le matricule de plus de 400 soldats présents sur les plaques commémoratives de Pontarlier. Avec l’aide des archives municipales de Pontarlier, les élèves ont planché sur ces vies détruites.

D’ici la fin de l’année, ils publieront un livre sur ces morts de la Grande Guerre à Pontarlier. Ils ont également écrit une correspondance fictive entre un soldat et sa famille qui sera à retrouver dans l’ouvrage. Le livre est d’ores et déjà en disponible en précommande à l’adresse suivante : mi.renaud@orange .fr

Au cours de leur recherche, ils ont découvert qu’une femme, Marie-Louise Labonde était elle aussi morte pour la France pendant la 1^ère Guerre Mondiale. Une enquête est en cours actuellement afin de connaître les circonstances de sa présence au front.

D'autres anecdotes ont été découvertes par les élèves, à propos des villages avoisinant Pontarlier.