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Dans le cadre du lien qui existe entre Maiche et le 13ème Régiment du Génie, la ville est en effet marraine de la 4ème compagnie, une délégation sera présente ce jeudi avec au programme une visite à l’école publique Louis Pasteur. Ils pourront ainsi échanger directement avec les enfants avec qui ils étaient en lien par courrier lors de leur récente mission en Guyane.

La journée se terminera par une séquence sportive dès 18h30 au stade du Gey puisque les militaires affronteront lors d’un match amical les footballeurs de l’Entente Sportive du Pays Maichois.

Jusqu’au 3 juin se déroule en Bourgogne Franche-Comté la 1ère édition de la quinzaine du service civique. Les 40 partenaires qui gravitent autour de cette initiative souhaitent promouvoir ce dispositif auprès des 16/25 ans. Une tournée est ainsi organisée. Le groupe d’ambassadeurs et de volontaires franc-comtois et bourguignons étaient à Besançon hier. Ils sont aujourd’hui à Vesoul, avant de se rendre à Belfort, Auxerre, Mâcon, Nevers et Dijon. Le service civique permet de s'engager sans condition de diplôme dans une mission d'intérêt général au sein d'une association, d'un établissement public ou d'une collectivité. Il peut s’exercer en France ou à l’étranger et dans neuf domaines d’action : solidarité, environnement, sport, culture, éducation, santé, intervention d'urgence, mémoire et citoyenneté, aide humanitaire. Une indemnisation mensuelle de 577 euros est octroyée par l’Etat ;

Les cinq jeunes rencontrés au centre-ville de Besançon n’y voient que du positif. Pour certains, cet engagement leur a permis de reprendre confiance en eux après des échecs successifs dans leur parcours scolaire. D’autres sont sortis de leur isolement et se sont vus confier des responsabilités. Tous conseillent aux jeunes « de vivre ce type d’expérience Â». Après la fin de leur contrat, les projets divergent, mais de nouvelles ambitions sont nées. Certains envisagent de suivre une formation ou tout simplement d’entamer un nouveau virage professionnel ou personnel. Une chose est certaine, l’envie et la motivation ont été retrouvées.

Pour tout savoir sur le service civique : service-civique.gouv.fr

Une très bonne nouvelle pour le sport bisontin. Les moins de 18 ans de l’ESBF ont décroché leur billet ce week-end pour les demi-finales du championnat de France. Les filles réalisent un meilleur parcours que l’an dernier puisqu’elles avaient été éliminées dès les 8ès de finale. Pour avoir le droit de poursuivre la compétition, elles ont vaincu Brie 77, une équipe parisienne, et les Alsaciennes de Kingersheim. Ces dernières n’avaient pas laissé un très bon souvenir aux Francs-Comtoises, qui sont néanmoins parvenus à s’imposer, malgré les trois défaites antérieures.

Le groupe de la capitaine Léa Pobelle disputera sa demi-finale le 2 juin prochain à 20h30 au Blanc-Mesnil contre l’entente Nîmes/Bouillargues. La finale se jouera le lendemain à 16h. En cas de défaite, le groupe bisontin jouera le même jour le match pour la 3è place. Les Bisontines se méfient car elles ne connaissent pas la qualité de leurs adversaires nîmoises. C’est la raison pour laquelle elles entendent bien préparer cette confrontation. Le retour à l’entraînement est programmé ce vendredi.

Dans le cadre de ses actions de prévention à la sécurité routière, la Ville de Besançon a organisé ce mercredi une sensibilisation aux dangers de la route sur l’Esplanade des droits de l’Homme. Des simulateurs de chocs, de voitures tonneaux et de conduite de deux roues étaient proposés. L’objectif étant de sensibiliser le public, et notamment les jeunes, sur les risques spécifiques de la conduite de deux roues motorisés ou non, du port de la ceinture de sécurité et d’informer sur les nouvelles réglementations. Cette opération était menée en partenariat avec la Lutte contre les violences routières, la Prévention routière du Doubs, la DDT et la police municipale.

Ces démonstrations grandeur nature font réfléchir. Nordine et Ilyes se sont prêtés au jeu et ont constaté la violence d’un accident. Les garçons sont surpris de l’effet perçu à 10 km/h. Alors, ils n’osent imaginer ce qu’il pourrait se produire à une vitesse plus grande. « C’est un truc de malade. Ca fait vraiment réfléchir. On est bloqué dans la voiture. On ne peut plus rien faire Â» déclarent-ils. Ces deux futurs conducteurs l’assurent, cette expérience leur a servi de leçon. Ils estiment qu’ils garderont en mémoire pendant très longtemps ces sensations et leur passage dans les voitures. « Il faut vraiment faire attention et respecter les règles de sécurité et du code de la route Â» concluent-ils.

Trois mois après la découverte du corps de Maëlys, sa famille va enfin pouvoir organiser ses obsèques, qui auront lieu le 2 juin à la Tour-du-Pin en Isère. Le permis d’inhumer a été délivré le 14 mai dernier après les analyses médico-légales.

Rappelons que les restes du corps de la petite jurassienne ont été découverts en février dernier. Nordhal Lelandais le meurtrier présumé, avait conduit les enquêteurs à l’endroit où il avait caché le corps.

L’ancien militaire a été mis en examen et placé en détention provisoire. Il évoque la thèse d’un accident. Maëlys avait disparu dans la nuit du 26 au 27 août 2017 alors qu’elle participait à un mariage à Pont-de-Beauvoisin.

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