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La présidente est accompagnée de Patrick Ayache, vice-président de la Région en charge de l’action internationale, du tourisme et de l’export, de Rémy Laurent, président de la Chambre régionale de commerce et d’industrie, d’acteurs de Bourgogne-Franche-Comté Tourisme, ainsi que d’une cinquantaine de représentants de domaines et négoces de la Grande Région présents sur le pavillon régional du salon Vinexpo, rendez-vous mondial de la viticulture.

A cette occasion, la Région a souhaité marquer son soutien à la politique export des maisons de vin et à l’attractivité touristique du territoire en organisant, avec l’appui du Comité régional du Tourisme et de la Chambre de commerce internationale régionale, un séminaire de formation à l’attention des principaux agents de voyage et tour-operators.

« Cette semaine de la Bourgogne-Franche-Comté à Hong Kong permettra aussi de présenter la Grande Région aux médias locaux lors d’une conférence de presse réunissant une trentaine de journalistes de Hong Kong et de Chine continentale Â» précise la Rgion. Lors de son séjour, Marie-Guite Dufay rencontrera par ailleurs Paul Chan Mo-Po, ministre des finances du Gouvernement de Hong Kong afin de renforcer les liens qui existent avec Hong Kong depuis 2010, le consul de France et la présidente de la Chambre de commerce française, et échangera avec une quinzaine de représentants de la communauté d’affaires françaises, relais et appuis précieux pour le développement à l’international des PME de Bourgogne-Franche-Comté.

Depuis les années 50 dans les pays occidentaux dont la France, le hérisson est passé de 30 millions d’individus à moins d’un million son espèce risque de disparaître d’ici 2050.

Depuis les années 1950, selon certaines études, le nombre de hérissons est passé de 30 millions à moins d’un million dans chaque grand pays européen. Et d’après les prévisions, d’ici 2050, ils pourraient avoir totalement disparu si rien n’est fait.

Le hérisson est pourtant considéré par les scientifiques comme une espèce « sentinelle écologique Â», dont la sensibilité sert d’indicateur précoce des changements de l’environnement d’un Ã©cosystème. Un indicateur de la dégradation de la biodiversité

Espèce protégée, il peut être protégé de diverses façons à commencer par avoir les bons gestes au quotidien comme ne pas utiliser de granulés contre les limaces, car les hérissons risquent d’être contaminés. Vous pouvez également placer une petite gamelle d’eau pour aider le hérisson dans sa recherche d’un point d’eau, veiller à ne pas avoir de trous dans votre jardin où il resterait bloqué ou encore éviter de déposer des déchets dans la nature et de les nourrir avec du lait, du pain ou du fromage.

Le Grand Besançon, avec le soutien de l’ADEME, organise un atelier gratuit d’accompagnement à l’auto-rénovation thermique, pour aider les particuliers qui souhaitent réaliser eux-mêmes leurs travaux d’isolation.

Le rendez-vous leur est donné, après inscription préalable, le samedi 9 juin, de 9h à 12h, au lycée Pierre-Adrien Pâris, 8 rue Nicolas Mercator à Besançon. L’intervention durera environ 3 heures. Elle vous donnera notamment les moyens de maîtriser les principes de l’isolation et de l’étanchéité à l’air d’un bâtiment, de connaître les points clés de la mise en œuvre, d’organiser son chantier et de maîtriser les premiers gestes techniques.

Plus d’informations sur www.grandbesancon.fr/renovation. Inscriptions obligatoires avant le mercredi 6 juin auprès du Grand Besançon : 03.81.87.88.60 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Ce volontariat de sapeurs-pompiers est aujourd’hui au cÅ“ur des mutations et des tensions qui traversent les services d’incendie et de secours, confrontés à une stagnation de leurs effectifs alors que leur sollicitation opérationnelle s’accroit. Du maintien de ce volontariat dépend la proximité et l’équité des secours dans les territoires, où les sapeurs-pompiers sont souvent devenus le dernier service public.

Le rapport souligne l’attention constante qui doit être accordée aux impacts de l’environnement institutionnel sur le volontariat notamment la menace majeure pour la pérennité même du volontariat et du système républicain de secours qui ressortirait de la qualification des SPV français comme travailleurs au sens du droit européen. Il est là question de s’opposer fermement à une Â« professionnalisation des volontaires Â» par cette évolution statutaire jugée dangereuse pour le modèle français d’organisation des secours.

Il est également question dans ce document de faciliter l’intégration des SPV, d’accroitre l’attractivité de cet engagement en diversifiant le recrutement sans oublier d’évoquer « le tabou de l’indemnisation Â», les SPV étant non pas bénévoles mais volontaires et donc indemnisés, sujet que le rapport souhaite voir débattu pour une meilleure reconnaissance.