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C’est confirmé par la Rodia. Le chantier de la grande salle commencera dès octobre prochain, à la fin du festival Détonation. Il devrait durer environ six mois. A l’issue de ces travaux, le public découvrira une salle rénovée avec plus de places pour les spectateurs, grâce à un balcon. La sonorisation sera également travaillée.

Tout comme la circulation du public et l’accès au personnes à mobilité réduite. Les responsables du site assurent que pendant la période des travaux, « des surprises seront proposés en dehors des murs de la Rodia Â». Le montant de l’investissement s’élève à 900.000 euros.

Le Dessoubre est une rivière au potentiel écologique remarquable, s’écoulant au cœur d’une étroite vallée calcaire. Cependant, les études menées au cours des dernières décennies ont confirmé une altération de la qualité chimique et biologique de ses eaux. Elles ont aussi révélé une dégradation physique globale concernant notamment sa morphologie et la continuité écologique du cours d’eau..

« Un syndicat mixte a donc été créé regroupant plusieurs communautés de communes afin de s’occuper de l’aménagement, la valorisation et l’entretien du Dessoubre et de ses affluents, de la mise en Å“uvre et de l’animation des documents d'objectifs des sites NATURA 2000 et de l’opération LIMITOX visant à réduire la pollution dispersée toxique Â»

Pour apporter des solutions aux dysfonctionnements physiques relevés, un programme de travaux issu d'un travail collectif entre élus du territoire, acteurs locaux et partenaires techniques est mis en œuvre par le syndicat mixte.

Ses objectifs sont principalement de restaurer la continuité écologique c’est-à-dire le transit des poissons et des sédiments, sur tout le linéaire du bassin versant du Dessoubre, de restaurer les habitats des zones altérées (retenue artificielle, zone d'élargissement ou d'incision) par des travaux de restauration hydromorphologique, de soutenir les débits d'étage en prévenant l'évaporation dans les plans d'eau artificiels (étangs et retenue en amont des seuils) et de promouvoir les bonnes pratiques agricoles et sylvicoles en encourageant les solutions techniques favorables à la protection du milieu aquatique

La médiathèque de Jura Nord prend soin de ses usagers ! En effet, la particularité de ce service repose en son accessibilité à toute personne éprouvant des difficultés à se déplacer, même temporairement, et non seulement aux aînés. Ce service gratuit (hors coût de l’abonnement) est assuré par une dizaine de bénévoles de l’association ABC, les Amis de la Bibliothèque de la Comcom. Tous les ouvrages de la médiathèque sont accessibles au portage à domicile, pour une durée d’un mois renouvelable. Une vingtaine d’usagers bénéficient aujourd’hui du service.

« L’objectif n’est pas que culturel, précise Cédric Nouet, responsable des médiathèques, de la culture et du patrimoine à Jura Nord. Il s’agit aussi de rompre l’isolement dans les villages, pour les personnes qui n’ont pas de voiture ou qui ne peuvent se déplacer. Nous souhaitons désormais étendre le service aux nouvelles communes du territoire. Â» Grâce à un partenariat avec l’association des Donneurs de Voix à Besançon, la médiathèque peut également mettre à disposition des enregistrements sonores d’ouvrages à des « audiolecteurs Â» empêchés de lire.

Dès le début du dispositif, un protocole a été mis en place entre l’ABC et la médiathèque. Tout débute par une évaluation des goûts et des centres d’intérêt du bénéficiaire. « Nous établissons une fiche avec les lectures appréciées par l’usager. Nous disposons d’ouvrages en gros caractères et nous nous adaptons à ses besoins. Puis la médiathèque prépare une caisse avec des propositions de livres correspondant aux goûts définis au préalable. Le portage s’effectue généralement en binôme Â», explique Emmanuelle Barbe, bénévole et présidente de l’ABC.

A chaque intervention, Emmanuelle prend le temps de discuter, manger un petit chocolat. A Louvatange, Suzanne Vuillemenot, fringante nonagénaire, bénéficie du service depuis cinq ans. Une manière de s’évader pour cette passionnée de lecture depuis son plus jeune âge, et qui ne peut plus se déplacer aujourd’hui. « J’aime apprendre des choses, voyager sans bouger. J’apprécie particulièrement les policiers ou les romans dans lesquels je peux m’identifier Â», explique Suzanne. Après une vie de labeur aux champs, cette ancienne agricultrice prend désormais le temps de lire. Elle peut dévorer jusqu’à deux ouvrages par semaine. Lors de la visite d’Emmanuelle Barbe, elle livre ses impressions sur ses lectures, commente les livres retournés.

Un moment d’échange important pour Suzanne qui ne reçoit plus de visite en dehors de la famille. Au final, les bénévoles de l’ABC à l’instar d’Emmanuelle, lors de leurs visites régulières, apportent bien plus que des livres : un moment de partage et de convivialité, et le maintien du lien social.

Hier soir, les footballeurs du CAP Foot ont été accueillis à la mairie de Pontarlier. 

Le maire, Patrick Genre, l'avait dit, il l'a fait. Les joueurs ont eu droit aux honneurs hier soir, une photo face à la porte St Pierre, et la tradition oblige... La photo sur le balcon de l'hôtel de ville pour fêter la montée. 

Les pontissaliens ont décroché leur montée en National 2 suite à leur victoire sur le Besançon Foot le 19 mai dernier. Score final 1-2. 

A l’initiative d’un groupe d’étudiants en première année de DUT Gestion de entreprises et des administrations (GEA), trois essaims ont été installés dans le patio bisontin de l’IUT Besançon-Vesoul, pour un projet qui mêle pédagogie et préservation de la biodiversité.

Au total, l’établissement accueille 30.000 abeilles. Ce projet est riche et intéresse un nombre important d’étudiants. Ceux du département GEA vont analyser ces déplacements grâce à des capteurs placés à l’entrée des ruches qui permettront de rendre compte de leurs entrées et leurs sorties.

Les étudiants en Génie mécanique s’intéresseront à la structure et à la construction des ruches. Les chimistes feront l’analyse du miel au moment de la récolte. « Il n’a plus qu’à espérer que ces petites bêtes inoffensives (si on les attaque pas) se plaisent sur le campus Â» concluent les responsables de ce projet dans leur communiqué de presse.

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