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C’est au Fort des Rousses il y a quelques jours que la capitaine Paul-Marie a transmis le commandement de sa compagnie au capitaine Adrien.

L’officier sortant a mené pendant 2 ans « tambour battant les sapeurs de combat de la 2, qui ont opéré dans le désert malien, protégé les Français dans les rues, et effectués des exercices de grande ampleur avec de " l'audace toujours ! Â».

Rappelons que le 19ème Régiment du Génie, basé à Besançon, assure l’appui génie au combat et l’appui au déploiement, ce qui en fait un régiment complet et polyvalent dans sa spécialité et le rend capable d’intervenir rapidement sur tout type d’engagement opérationnel.

La place Grévy a été ces derniers mois marquée par plusieurs accidents. La mairie a donc réagi en procédant à de nouveaux aménagements. Des barrières ont été installées côté parking avec pour objectif de dissuader les piétons de traverser en dehors des passages cloutés pour se rendre sur la place. Dans le virage, le passage piéton a été déplacé dans la ligne droite pour être davantage visible des automobilistes. Celui auparavant situé devant la banque a quant à lui été supprimé.

La mairie en profite pour faire un rappel lié à la sécurité : « Restez tout de même prudent : rien ne vaut la vigilance de tous, automobilistes comme piétons ! Â». Et un autre lié à la vie de son centre-ville : « A côté de la place Grévy, le parking des Terreaux. La ville de Dole a décidé d'offrir une heure de stationnement gratuit à tous les automobilistes, tous les jours de la semaine. Un bon plan pour aller faire ses courses au centre-ville ! Â».

Dans le cadre du programme "Life tourbières du Jura", le Conservatoire d’espaces naturels de Franche-Comté, en partenariat avec le Parc naturel régional du Haut-Jura, a engagé des travaux de restauration sur deux tourbières situées au lieu-dit « Le Boulu », à Lamoura (39).

Des tourbières malmenées par l’Homme... mais essentielles ! Exploitées au 19 et 20e siècle pour en extraire de la tourbe destinée au chauffage domestique, ces tourbières montrent aujourd’hui encore les traces de cette exploitation, avec notamment des fossés de drainage et des fosses d’extraction de tourbe toujours visibles sur le site. Ces aménagements favorisent toujours l’asséchement du site, en évacuant plus rapidement l’eau des massifs tourbeux. C’est donc le fonctionnement global des tourbières qui s’en trouve dégradé.

Outre le stockage d’eau, qui alimente les ruisseaux lors des sécheresses, elle stocke également du carbone, qui est piégé dans la tourbe. Les tourbières sont également un réservoir de biodiversité, avec des espèces animales et végétales adaptées à ces milieux si particuliers !

« Il est donc primordial de restaurer l’équilibre naturel si fragile, en intervenant sur les anciens aménagements. Sur ces deux tourbières, il est prévu de reboucher une longueur de 45 mètres de fossés et de fermer deux fosses d’exploitation par l’implantation de palissades. Les pelleteuses sur chenilles circulant sur les tourbières peuvent paraitre impactantes mais ces machines sont spécialisées pour intervenir sur des milieux sensibles. Ces travaux seront bénéfiques aux tourbières et la nature reprendra très vite ses droits » explique Magali Crouvezier, chargée de missions au Conservatoire d’espaces naturels de Franche-Comté.

Faut-il le rappeler, la rivière est à sec sur la quasi-totalité du parcours menant du Pont d’Arçon à celui de la Roche à Grand-Combe-Chateleu. Une situation largement commentée quant à ses causes mais aussi ses conséquences notamment sur la population piscicole. Beaucoup de mortalité et quelques poissons qui survivent dans des trous d’eau à préserver…une évidence.

Comme le fait de rappeler comme le fait la Fédération de Pêche du Doubs qu’un arrêté préfectoral a été pris le 3 août pour interdire strictement la pêche sur cette portion de rivière. Et ce dans un premier temps jusqu’au 16 septembre.