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Le coût de la vie continue d’augmenter pour les étudiants. Selon le dernier rapport publié par l’UNEF, la rentrée coûtera 1,31% plus cher que l’an dernier. Le syndicat étudiant explique que l’augmentation des prix des loyers et celle des transports en commun sont à l’origine de cette situation. A Besançon, le syndicat solidaires étudiants, par la voix d’Hervé, l’un de ses portes paroles, ne cache pas également son exaspération et dresse le même constat. « Les gouvernements successifs ne nous aident pas en tant qu’étudiants Â» explique le jeune homme. L’augmentation des frais d’inscription, qui passeront de 184 à 260 euros cette année pour un jeune non boursier, les loyers, la nourriture, la taxe d’habitation et le transport font exploser les budgets. Aujourd’hui, selon le jeune militant, « 46% des étudiants sont obligés de travailler pendant leurs études pour subvenir à leurs besoins Â». Ce qui conduit à des échecs et des abandons. D’autres sont obligés de s’endetter pour se former.

Le travail du sexe

Pour vivre ou survivre, beaucoup de jeunes doivent trouver de l’argent. Cela passe parfois par la prostitution qui toucherait de plus en plus le milieu étudiant. Le syndicat solidaires étudiants comme d’autres souhaitent que le gouvernement revoit sa copie. Ils lui demandent d’envisager sérieusement de limiter les frais et d’augmenter les aides. Hervé regrette par exemple qu’en octobre prochain les APL ne soient pas augmentés. « Les étudiants travaillent de plus en plus pendant leurs années universitaires. Certains sont obligés de sécher des cours. On doit travailler à côté. Sinon, on ne s’en sort pas Â» conclut le jeune homme, qui promet de nouvelles mobilisations à la rentrée pour exprimer les inquiétudes et la colère des étudiants.

Un feu de friche s’est déclaré cet après-midi dans un talus sur 300 m2 à hauteur de la nationale 57 en face de Micropolis à Besançon. Le feu a été éteint au moyen d’une lance.

Depuis la mi-juillet, les cigognes ont commencé leur migration vers les pays chauds. Certaines cigognes blanches empruntent le détroit de Gibraltar pour rejoindre l’Afrique du Nord ou de l’Ouest.

Ainsi sur cette voie de migration, la Franche-Comté représente un passage presque incontournable explique la Ligue de Protection des Oiseaux. L’axe Montbéliard - Besançon - Lons-le-Saunier est le plus emprunté par cette espèce.

Le pic de passage de ces oiseaux étant prévu fin août, l’observation des cigognes est réalisée quotidiennement. La LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) appelle les francs-comtois à rejoindre le réseau d’observateur de la ligue. L’objectif est de signaler les groupes de cigognes, en indiquant un effectif, un lieu, une heure de passage.

Vous pouvez devenir observateur par téléphone au 03.81.50.43.10 ou encore en rejoignant la page Facebook de la LPO ou l’application Naturalist.

Une femme d’une soixantaine d’années a été retrouvée morte dans son appartement ce mardi à Besançon, rue du Trey. Aucune trace de coups ou d’effraction dans l’appartement, pouvant laisser penser qu’il s’agit d’un acte criminel, n’ont été constatées. La thèse d’une mort naturelle est donc confirmée par les autorités.

L’Union des Commerçants de Besançon par le biais d’un communiqué de presse a tenu à saluer l’initiative prise par Jean-Louis Fousseret, d'interdire « les stations assises prolongées avec des consommations d’alcool accompagnées ou non d’animaux et avec entrave à la circulation, sur un périmètre définit au centre-ville ».

Les commerçants se félicitent et espèrent que cet arrêté municipal « sera bien appliqué et ne restera pas qu’un buzz médiatique Â».

L’Union des Commerçants de Besançon souhaite par le biais de cet arrêté permettre aux familles, qui « feront le déplacement au centre-ville pour le Marché de Noël, de flâner et d’effectuer leurs achats de fin d’année paisiblement Â».

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