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Lundi soir à Pontarlier, une jeune femme de 31 ans a reçu des coups de la part de son compagnon. Réfugiée chez l'un de ses collègues de travail la brigade police secours a été prévenue. 

Entre temps le compagnon a suivi la jeune femme chez son collègue. Il a été interpellé par les forces de l'ordre. 

Il a reconnu les faits et a été laissé libre. Il devra répondre de ses actes devant la justice en décembre prochain. 

L’association Générations Grenier Solidaires, animée par d’anciens élèves du collège éponyme, organise actuellement une collecte de fournitures scolaires pour le village marocain Tizi N’Ouched.

Les jeunes bénévoles sont ce mercredi à Hyper U à Doubs. Elles y retourneront ce samedi. Pour toujours et encore récolter des fonds, elles tiendront la buvette des Estivales au centre-ville pontissalien samedi soir.

A quelques jours de la rentrée universitaire, plus de 115.000 jeunes n’ont toujours pas d’affectation dans le supérieur. Ils ont plus de 15.000 à n’avoir reçu aucune proposition d’admission pour la rentrée prochaine. Ce mercredi, la ministre de l'enseignement supérieur recevait les recteurs et les présidents d'université. Dans l’académie de Besançon aussi, tous les anciens élèves de terminale sont loin d’être fixés sur leur sort. Si pour certains, l’orientation n’a posé aucun problème, pour d’autres, elle s’écrit encore en pointillés ou elle est plutôt subie que choisie. Rencontre avec quelques jeunes.

Claire : « On connaît quelqu’un qui était en bac professionnel menuiserie et qui a été pris en médecine. En parallèle, une jeune fille, qui avait une moyenne de 18/20 en bac S n’a pas été prise dans cette filière. Ca n’a pas de sens par rapport au dossier Â».

Théo : « Je n’ai pas été retenu dans ce que je voulais. J’ai quand même été pris en fac, mais c’est un choix par défaut. Je suis déçu car ce n’est absolument pas ce que je veux faire. Je réessaierai l’année prochaine Â».

Hugo : « Tout s’est bien déroulé. Je n’ai eu aucun problème. J’avais mis seulement deux vÅ“ux et je les ai eus les deux. J’ai dû choisir entre Besançon et Dijon. Par contre, je connais pas mal d’élèves qui ont eu des réponses tardives, fin juillet, voire même début août Â».

Emeline : « J’ai été accepté partout dans Parcoursup. Certains amis qui travaillaient moins bien n’ont pas obtenu les vÅ“ux qu’ils avaient formulés. C’était plus dur pour eux. Ils ont dû faire des choix par défaut».

Lucas : « Ce fut très compliqué pour moi. Après avoir attendu très longtemps pour décrocher une place en STAPS, j’ai dû abandonner car je n’ai pas eu mon bac. Finalement j’ai trouvé une autre école dans le sport Â».

Le groupe des élus Europe Ecologie Les Verts de Besançon demande le retrait de l’arrêté antimendicité pris par le maire de Besançon le 2 juillet dernier. Les écologistes expliquent que « l’arrêté du Maire qui a été produit, non étudié dans son intégralité lors de la réunion de municipalité, dépasse de très loin les éléments qui ont été échangés Â».

Le parti dénonce « le recul d’une politique sociale de longue haleine. Alors même que l’analyse des besoins sociaux souligne l’augmentation de la précarité, la diminution des moyens décidée par le gouvernement, soutenue par les élus La République En Marche, ne fait qu’aggraver le problème Â».

A Besançon, l’arrêté anti-mendicité voté par le conseil municipal ne cesse de faire réagir. Aujourd’hui c’est au tour du groupe socialiste et société civile républicaine de prendre la parole par le biais d’un communiqué de presse.

Les élus socialistes précisent que cet arrêté a été « validé unanimement lors d’une réunion interne de la municipalité, le 2 juillet Â».

Abdel Ghezali président du groupe socialiste bisontin justifie cette décision en expliquant que de nombreux problèmes d’incivilités et de troubles ont été constatés par les commerçants ou les riverains.

Le groupe précise que l’objectif est « de lutter contre les seuls comportements gênants Â», et non pas « d’interdire la mendicité sur le domaine public Â». Le communiqué de presse précise que les élus « soutiennent au quotidien les actions qui apportent des alternatives à la mendicité et à l’exclusion Â».

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