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C’est apparemment un drame familial qui s’est joué à Dampierre (39), près de Dole ce lundi matin. Une fillette de 11 ans a été retrouvée morte à son domicile. Selon nos confrères de France 3 et du Progrès, une mère de famille aurait tenté de tuer ses deux filles, âgées de 11 et 20 ans.

L’aînée a réussi à prendre la fuite, mais aurait été blessée par sa mère. Sa petite sÅ“ur n’a pas survécu. « Elle a été retrouvée morte dans sa chambre Â» explique France 3 Franche-Comté.

La mère aurait tenté de mettre fin à ses jours. Elle a  Ã©té transportée à l’hôpital de Besançon. Son pronostic vital ne serait pas engagé. Quant à la jeune femme blessée, elle a été prise en charge par les secours.

La Ville de Besançon recrute. La campagne de recrutement des animateurs périscolaires de la Ville a démarrée il y a quelques semaines maintenant et certains postes restent encore à pourvoir.

La Ville emploie près de 400 animateurs chaque année pour encadrer des groupes d’enfants avant et après l’école.

L’offre de recrutement et les modalités sont à retrouver sur le site internet de la Ville de Besançon.

Les sapeurs-pompiers du Doubs ont été appelés peu après 11h ce matin pour un incendie. Le feu s’est déclaré dans un hangar agricole sur la commune de Rougemont.

Le hangar abritait du matériel agricole et du fourrage. Une moissonneuse batteuse et 80 tonnes de fourrage ont été détruits par les flammes.

L’incendie a été maîtrisé par les secours au moyen de deux lances.

C’est un élément naturel de toute beauté, qui fait le charme de Besançon, mais c’est aussi une rivière redoutable et très dangereuse, qui a coûté la vie à deux jeunes personnes cet été. Un étudiant mexicain et un adolescent de 17 ans ont perdu la vie en se baignant en ce mois d’août à Besançon.

Tout au long de cette période estivale, nombreux sont les Bisontins à venir se prélasser entre amis ou entre copains au bord du Doubs. Le parc de la gare d’eau fait partie de ces endroits plébiscités. Avec la rivière, le site bisontin présente de nombreux avantages. Un endroit sympathique et bucolique, qui donne souvent envie, les jours de fortes chaleurs, d’aller piquer une petite tête. Mais la réglementation est telle qu’il est interdit de s’adonner à ce plaisir.

Malheureusement, nombreux sont les Bisontins à ignorer cet arrêté ou ne pas appliquer cette règle. Qu’ils se laissent aller à quelques brasses ou pas, les visiteurs n’ont pas toujours conscience du danger que représente cette rivière. « Elle a l’air plutôt paisible et tranquille Â» explique ce groupe de jeunes venu passer un moment sympathique dans le célèbre parc du centre-ville bisontin. Il est vrai que la rivière est traitre. Pas toujours évident d’estimer, notamment en cette période de sécheresse, que le Doubs peut être profond par endroit et que l’on peut très vite se trouver en difficulté. Certains jeunes estiment être en capacité d’apprécier le danger, mais est-ce réellement possible ?

Un manque d’information ?

Si certains ne s’y aventurent pas. Ce n’est pas par crainte de ses pièges, mais par dégoût pour la qualité de son eau et sa couleur verdâtre. Beaucoup font également remarquer l’absence de panneaux indiquant l’interdiction de se baigner dans le Doubs. Peut être les autorités devraient elles davantage informer sur cette interdiction et sur les dangers bien réels d’une baignade illicite dans ces petits coins de paradis bisontins.

C’est parti. A Besançon, la saison des sports de glisse est presque lancée. A la patinoire Lafayette, les équipes s’affairent pour « mettre en glace Â» Â» les deux patinoires. A compter de mercredi, elles seront accessibles aux clubs bisontins concernés (hockey, patinage artistique, danse sur glace et curling). Le grand public devra attendre la mi-septembre.

Cette remise en route des installations est très importante et capitale pour la réussite et le bon déroulement de la saison. Néanmoins, pour que les visiteurs puissent profiter pleinement de ces espaces de jeu, il faut, comme pour les pistes de ski en hiver, prendre de nombreuses précautions. Cela passe notamment par la température de la dalle en béton qui accueille la glace et la fabrication de cette dernière. C’est par petite touche et progressivement, l’objectif étant d’éviter à tout prix le choc thermique, qu’une épaisseur de 4 centimètres de glace prendra possession des lieux. Yohann André, agent de maîtrise à la patinoire, reconnaît que les fortes chaleurs et les restrictions d’eau qui les accompagnent ont ralenti un petit peu la mise en service des deux patinoires.

Même si le savoir faire en la matière n’est plus à prouver, les agents de la ville, qui connaissent parfaitement leur travail, restent prudents et vigilants. Ils savent bien que cette année encore, les surfaces seront fortement sollicitées. Entre septembre et mai, les entraînements, temps de loisirs et compétitions vont s’enchaîner à un rythme effréné. Les amoureux de la glisse peuvent être rassurés, le site répondra, cette saison encore, à leurs attentes. Yohan André et ses équipes s’y attèlent.

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