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Que faire en cas de brulure, d’étouffement ou d’arrêt cardiaque…des gestes précis peuvent sauver la vie de la victime, avant même l’arrivée des sapeurs-pompiers ou du samu, d’où la nécessité d’avoir un maximum de citoyens formés aux premiers secours. Ce rappel est l’objectif de la journée mondiale qui a lieu ce dimanche 9 septembre, d’autant plus important que la France n’est pas bonne élève en la matière !

Certes depuis la vague d’attentats qu’a connu le pays depuis 2015, les inscriptions pour suivre de telles formations ont été plus nombreuses mais toutefois encore insuffisantes bien qu’ayant été une grande cause nationale souhaitée par les pouvoirs publics.

Aujourd’hui encore, plus de la moitié des français n’a aucune notion de secourisme alors que les allemands, hollandais et habitants des pays scandinaves sont formés à 90 %.

Rappelons que tout le monde peut suivre en quelques heures une telle formation ou éventuellement bénéficier de modules de recyclage. Il suffit de contacter la protection civile, la croix rouge ou encore les sapeurs-pompiers près de chez vous, des acteurs de la chaine des secours qui sauront vous renseigner et vous orienter.

Un chiffre permet de mieux comprendre encore la nécessité de connaitre ces gestes : en France, 20000 personnes décèdent des suites des accidents de la vie courante chaque année.

La bonne nouvelle est tombée hier pour les parents d’élèves de l’école primaire de La Rivière Drugeon.

Une huitième classe va ouvrir dans les jours à venir dans cette école qui comptabilise aujourd’hui 190 élèves.

Les parents d’élèves auront connu différents sentiments en cette semaine de rentrée scolaire. Lundi matin, seulement 188 élèves étaient inscrits et présents dans l’école. Il fallait 189 élèves à l’établissement pour peut-être obtenir une huitième classe. Mardi matin la décision académique tombe, l’école restera avec 7 classes. Seulement entre temps deux élèves ont été inscrits passant ainsi les effectifs à 190, avec 28 élèves par classe.

Les parents d’élèves ont demandé à l’inspection Académique l’ouverture d’une huitième classe. Ce jeudi matin ils avaient prévus de bloquer l’école pour faire entendre leur voix. Soutenus par les élus, ils ont finalement obtenus gains de causes hier soir, et ont appris l’ouverture d’une classe supplémentaire.

Soulagement donc pour l'établissement, les parents et les élèves. Il y aura désormais huit classes avec 23 élèves par classe et seulement deux double niveau. 

« Au-delà du thème choisi par le ministère de la culture, les journées du patrimoine sont l’occasion donnée à chacune et chacun de parcourir autrement notre cité pour en appréhender l’âme. Vous ne pourrez ni tout faire ni tout voir. Qu’importe après tout, faites de chaque jour, de chaque week-end de l’année votre propre journée du patrimoine Â» rappelle le maire Jean-Baptiste Gagnoux pour présenter ces journées organisées les 15 et 16 septembre.

Outre les nombreuses visites possibles, une animation originale est proposée sous forme de Grande Enquête. Un parcours-jeu sous forme d’énigmes à résoudre en famille ou entre amis, dans les rues et lieux patrimoniaux du centre-ville de Dole. Aussitôt après avoir pris connaissance de l’affaire, les enquêteurs iront à la rencontre des protagonistes afin de leur poser des questions. Perspicacité, bon sens, observation et déduction seront nécessaires pour ce jeu où les participants peuvent même venir costumés et tenter de remporter le prix de l’équipe la plus originale

Depuis plusieurs semaines des stations de gonflage pour vélo ont fait leur apparition à Besançon. Dans un premier temps, trois appareils ont été installés dans la cité comtoise. L’un est situé à proximité de l’office de tourisme, vers le parc Micaud. Les deux autres se trouvent vers la gare Viotte et le parking de la mairie. Un quatrième devrait être installé d’ici l’automne sur la véloroute. Comme leur nom l’indique, ces stations permettent aux utilisateurs de VéloCité et à tous les autres cyclistes de trouver un endroit pour regonfler les pneus de leur deux roues.

Le coût d’une station s’élève à 1000 euros. Précisons que ce système est fabriqué au sein d’une société française basée en Auvergne Rhône-Alpes.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la politique de développement des  modes doux à Besançon. Avec le tram et les bus, VéloCité fait partie des services proposés par la Ville et le Grand Besançon. Lancé en 2007, VéloCité a très largement trouvé son public. Les chiffres sont en constante évolution. Entre août 2018 et août 2017, les utilisateurs ont progressé de 12%. Depuis le début de l’année, ce sont 127.000 déplacements qui ont été enregistrés. La Ville ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. La mise à disposition de vélo à assistance électrique et le déploiement d’une option vélo avec Kéolis, qui gère les transports urbains bisontins, sont actuellement étudiés par les élus.

L'ensemble des départements franc-comtois ont été placés en vigilance jaune aux orages pour cet après-midi et toute la soirée. 

Il est fortement conseillé d'être attentif si vous devez pratiquer des activités sensibles aux risques météorologiques, ou bien si vous vous situez proche d'un cours d'eau. 

Le temps orageux devrait prendre fin dans la nuit pour laisser place à quelques rayons de soleil demain dans la journée. 

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