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Le député Frédéric Barbier a protesté « très fortement » ce vendredi auprès du Préfet du Doubs et des Ministères concernés, contre l'interdiction qui est faite aux boulangers, d'ouvrir avant la fin du couvre-feu, soit avant 6h du matin. « C'est une aberration, d'autant que ces commerces de première nécessité, que l'on peut même qualifier d'essentiels, ont toujours été autorisés à ouvrir très tôt le matin, même au plus fort de la crise, alors que le Pays tout entier était totalement confiné » explique le parlementaire.

« Leur redonner cette accréditation, c'est permettre à toutes celles et ceux contraints de se lever tôt pour continuer à faire tourner la France, salariés d'usines, du BTP, routiers, frontaliers, personnels soignants etc., de pouvoir s'approvisionner avant d'aller travailler et de trouver un peu de réconfort dans un contexte déjà particulièrement éprouvant » ajoute le représentant de l'état.

Et de conclure : « Il ne s'agit donc pas là de défendre un intérêt particulier mais bien un intérêt général. C'est pourquoi, je me battrai jusqu'au bout pour que les services de l'État reviennent d'ici lundi matin sur cette directive complètement hors sol qui ne se justifie pas ».

Réunis vendredi en commission permanente, les élus régionaux ont voté plus de 66 millions d'euros d'aides régionales. Une partie de ces crédits concerne des aides d'urgence et le Plan d'accélération de l'investissement régional mis en place par la Région pour faire face à la crise sociale et économique provoquée par l'épidémie de COVID-19. Les secteurs associatifs, de la culture, de l'emploi et de la santé en bénéficient.

Selon une étude l'Insee, en Bourgogne-Franche-Comté, comme en France métropolitaine, le développement de l'activité féminine progresse. La part des femmes en emploi se rapproche de celle des hommes. Les femmes de la région sont moins souvent au chômage que leurs homologues masculins.

Leurs conditions d'emploi demeurent cependant dégradées. Huit salariés sur dix à temps partiel sont des femmes. Elles travaillent plus souvent en contrat à durée déterminée, occupent plus souvent un emploi en deçà de leur qualification et perçoivent des salaires inférieurs à leurs collègues masculins. Enfin, l'éventail des métiers qu'elles occupent est nettement plus réduit que celui des hommes.

En raison de la recrudescence des faits de violences conjugales intrafamiliales, la commune de Métabief vient d'instaurer une permanence mensuelle avec le centre d'Information sur les Droits des Femmes et des Familles. Les chiffres sont inquiétants. Sur le secteur de la Communauté de Communes du Mont d'Or et des Deux Lacs, suite à la crise sanitaire, la délinquance a augmenté de 15,4 % en 2020. Sur les 50 crimes et délits supplémentaires, 32 étaient des faits de violence intrafamiliales. Le CIDFF a pour mission d'apporter des précisions juridiques aux femmes (travail, famille, séparation) et un accompagnement en cas de violence conjugale (physique, psychologique, économique,...).

Les premiers rendez-vous ont commencé le 10 février dernier dans un local à l'accès discret. L'association mettra en place entre 10 et 11 permanences par an, le mercredi après-midi. Pour mémoire, concernant l'année 2020 : 35 foyers résidents de la communauté de communes ont bénéficié de l'accompagnement du CIDFF, et ont été accueillis au bureau de Pontarlier.
Pour prendre rendez-vous : au 03 81 25 66 69

Il y a du basket ce samedi soir. Dans le cadre d'une nouvelle journée de championnat en nationale 1 masculine, le BesAC de Nicolas Faure (11è) se déplace à Pont-de-Cheruy (8è). Le coup d'envoi de la rencontre sera donné à 18h.

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