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Les services de police de Pontarlier et de gendarmerie Salins-les-Bains, ainsi que les sapeurs-pompiers, ont su se mobiliser pour secourir une dame de 67 ans, atteinte d'une pathologie, qui n'avait plus donné signe de vie à deux reprises en 72 heures. Les premières inquiétudes sont survenues samedi après-midi.

Après d'intenses recherches, la sexagénaire a été retrouvée dans la soirée et conduite à l'hôpital de la ville. Elle a ensuite regagné son domicile, avant de le quitter de nouveau. C'est une voisine qui a alerté sa fille. Des chiens pisteurs des sapeurs-pompiers de Pontarlier ont participé aux recherches. La Pontissalienne sera finalement retrouvée lundi matin, dans le secteur de Salins-les-Bains, par les gendarmes du secteur. Elle a été reconduite à l'hôpital. Une réflexion est menée pour que la meilleure des prises en charge soit effectuée.

Un incendie est en cours au Russey, près de Morteau. Il a pris dans une bâtisse comprenant deux étages. La toiture est entièrement détruite. Le bâtiment a été entièrement évacué. Plus d'information dans les prochaines minutes.

A l'occasion de la journée internationale du droit des femmes, le CROUS de Bourgogne Franche-Comté est à l'initiative d'une distribution de protections hygiéniques éco-responsables pour les étudiantes de Besançon, Dijon et Belfort. En plus de cette distribution, des étudiantes ont pu participer à un atelier de sensibilisation aux nouvelles pratiques liées aux produits d'hygiène durables.
Une prise de conscience de la précarité menstruelle par les institutions.

Cette initiative fait écho aux annonces de Frédérique Vidal, ministre de l'enseignement supérieur, qui a demandé que dans les universités, les étudiantes puissent avoir accès à des protections hygiéniques gratuitement.

C'est pourquoi dès la fin du mois de mars, les étudiantes de Bourgogne Franche-Comté pourront utiliser des distributeurs, au total 25 seront installés sur l'ensemble du territoire en complément de l'action des acteurs et des associations qui luttent contre la précarité menstruelle.

Dans le cadre de la journée internationale des droits des femmes, Joël Mathurin, préfet du Doubs, et Patrice Durand, directeur de l’inspection académique du Doubs, se sont rendus ce lundi au sein de l’ISIFC (Institut supérieur d’ingénieurs de Franche-Comté). Leur visite avait pour but de découvrir les activités de ces structures sur le thème de la place des femmes dans les métiers scientifiques et techniques relevant des microtechniques. Vincent Ambruster, directeur de l’ISIFC est au micro de la rédaction.

La mixité au sein des microtechniques

En ce 8 mars, deux classes des lycées Claude Nicolas Ledoux et Germaine Tillion de Montbéliard, composées majoritairement de filles et s’inscrivant dans le cadre du dispositif des cordées de la réussite, ont découvert la place des femmes dans le secteur des microtechniques de Besançon. Au-delà des activités présentées, l’objectif est de promouvoir le questionnement des élèves sur le thème de l’égalité professionnelle et de la mixité hommes/femmes, notamment au sein de professions considérées comme « peu mixtes Â». C’est-à-dire si la part d’un des deux sexes est inférieure à 30% dans le métier.

Une présence féminine à 70%

« On a beaucoup de filles qui s’intéressent à la santé, et qui viennent s’inscrire chez nous Â» souligne Vincent Ambruster, directeur de l’ISIFC. Si elle bénéficie pourtant d’une image de « filière traditionnellement masculinisée Â» selon son directeur, il y a toujours eu une présence féminine importante au sein de l’école. « Auparavant, il y avait plus de garçons. Mais ça vient sûrement de l’historique de la création de l’école, qui a été créée par des personnes venant des sciences de l’ingénieur, où il y avait un peu plus de garçons. Mais on était quand même quasiment à 50/50 Â» précise Vincent Ambruster. Désormais, le taux de présence féminine au sein de l’ISIFC de Besançon est de l’ordre des 70%.  

« Des promos qui marchent super bien Â»

« Les choses se font naturellement. L’idée n’est pas de chercher à tout prix un taux de féminisation Â» révèle le directeur de l’établissement. Chacun à sa chance de manière égale. Ici pas de préjugés ni de stéréotypes, l’essentiel se trouve dans le dossier. Lors de cette sélection, les candidats sont quasiment représentés par une parité équivalente de 50% d’hommes et 50% de femmes. Ce n’est qu’après l’ajout des concours de prépa, que le taux de féminisation grimpe en flèche jusqu’à 70%. « Ça nous convient très bien, ce sont des promos qui marchent vraiment super bien. On est très satisfaits de ce résultat-là Â» assure Vincent Ambruster.  

Afin de permettre aux habitants du département qui résident dans des zones éloignées des centres de vaccination d'accéder à la vaccination, la préfecture du Doubs, l'Agence régionale de santé, en lien étroit avec les élus concernés et les communautés professionnelles territoriales de santé mettent en place des centres de vaccination éphémères destinés à permettre d'administrer le vaccin anti COVID-19 en proximité. Ce sera le cas à Mouthe où un centre de vaccination éphémère sera activé du 10 au 12 mars prochain.

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