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Laurence et Lise, deux anciennes travailleuses frontalières, ont décidé de se lancer dans un projet novateur. Effectivement, ces deux femmes souhaitent proposer dans le courant de l’année 2016 un « food truck Â», autrement dit un camion ambulant qui ne vendrait pas des pizzas et autres produits liés à la restauration rapide mais des repas élaborés à emporter, cuisinés avec des produits frais, achetés chez des producteurs locaux. L’objectif étant de proposer, du lundi au samedi, trois plats et trois desserts différents par jour. Selon elles, « les consommateurs ont envie de renouer avec la cuisine traditionnelle Â».

Pour réaliser un projet au près plus des réalités du terrain, Laurence et Lise vous sollicitent. Elles vous invitent à rejoindre leur page Facebook (https://www.facebook.com/groups/1673878186191519/?fref=ts) et à répondre à leur questionnaire. L’objectif étant de récolter des informations sur les plats proposés, les tarifs, les horaires d’ouverture, les emplacements de leur camion , ... . Toutes les bonnes idées sont les bienvenues.

Il est également possible de les joindre via l’adresse mail suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

La semaine dernière, à Cluds, en Suisse voisine, les sections sport partagé des classes de 4è et 3è des collèges Malraux de Pontarlier et Emile Laroue de Frasne, ont participé à trois journées de formation sur le handicap. Ce projet annuel avait pour objectifs de permettre à ces jeunes, qui encadreront des personnes handicapées lors d’activités physiques de pleine nature, de faire connaissance et de découvrir ou redécouvrir le milieu du handicap. Rappelons que tout au long de l’année, avec leurs professeurs d’éducation physique et sportive, ces ados valides apprennent à accompagner des jeunes handicapés dans le cadre d’activité physique de pleine nature. Dernièrement, ils ont encadré des sorties bike and run et VTT. Prochainement, ils assureront des sorties ski à Métabief, en utilisant notamment du matériel spécifique.

Ainsi, durant ce temps de formation, les participants ont rencontré des professionnels et des personnes handicapées. Chacun a apporté ses connaissances et son vécu. Les déficiences visuelles, motrices et mentales ont été abordées. « Nous avons rencontré quatre personnes qui nous ont parlé de leur quotidien et de leur manière de communiquer. Certains utilisent le langage des signes. D’autres lisent sur les lèvres Â» explique Juliette. Les jeunes guides du Haut-Doubs ont également été sensibilisés au braille. Ils ont aussi pu échanger avec un ancien sportif, qui, suite à un accident, a perdu l’usage d’une jambe. Aujourd’hui, une prothèse lui permet de pouvoir encore pratiquer des activités sportives.

« Apprendre à comprendre Â»

Pas toujours facile d’accompagner ces jeunes handicapés, qui pour certains peuvent avoir des comportements inattendus et imprévisibles. « On doit rassurer, leur expliquer et les motiver pour qu’ils se sentent bien» explique Manon. Et de conclure : « On nous a également rassurés. Nous ne sommes pas toujours responsables de leur réaction. Il faut savoir prendre de la distance et attendre que la colère passe Â».

Ce dimanche matin, vers 6h15, un jeune automobiliste de 21 ans, qui devait être jugé prochainement pour des faits similaires, a été contrôlé avec 1,26 gramme d’alcool par litre de sang.

Le jeune homme, originaire de Doubs, a été placé en garde à vue. Son permis de conduire lui a été retiré pour une période de 5 mois dans un premier temps,. Il fait l’objet d’une ordonnance pénale.

Jeudi soir, les policiers pontissaliens sont intervenus rue du Commandant Valentin pour ramener à la raison un homme de 41 ans qui faisait une nouvelle fois parler de lui.

L’individu présente des troubles du comportement. Après avoir dégradé des pots de fleur, il a importuné des jeunes filles.

Devant la police, le quadragénaire a sorti une tablette de 47 grammes de résine cannabis. Tout en justifiant qu’il s’agissait d’un médicament qui lui avait été prescrit pour se détendre.

L’individu devra s’expliquer prochainement devant le délégué du Procureur. Il fait l’objet d’une composition pénale.

La 31è campagne d’hiver des Restos du CÅ“ur a débuté ce lundi. A Pontarlier, comme partout ailleurs, les bénévoles sont sur le pied de guerre pour accueillir dans les meilleures conditions les bénéficiaires. A Pontarlier, après trois après-midis seulement d’inscription, une soixantaine de familles ont poussé la porte de l’association. Ce qui représente environ 150 personnes à aider. Mme Delgrandi,  bénévole responsable du site de Pontarlier, s’inquiète car elle voit venir de nouvelles personnes. Des familles monoparentales, des retraités, des chômeurs mais aussi des jeunes déscolarisés. Un public touché de plein fouet par la précarité.

Pour la quasi-totalité de ces personnes, cet appel à l’aide représente l’ultime recours. « Les gens qui viennent nous voir sont tristes et émus. Ils nous expliquent qu’ils ne sont pas à leur place ici Â» explique Mme Delgrandi. Et de poursuivre : « nous leur expliquons alors qu’ils vivent un moment difficile dans leur vie mais que cela ne durera pas. Cette année encore, jusqu’en mars, les 69.000 bénévoles des restos distribueront au moins 128 millions de repas à près d'un million de personnes.

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