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Depuis ce lundi 9 mai, le radar fixe installé sur la commune de Pont-les-Moulins flashe dans les deux sens de circulation.

Après Chapelle d’Huin, Epenoy, Etouvans , Valentigney et Villers-le-Lac, c’est le sixième dispositif qui est désormais équipé de cette fonction dans le Doubs.

D’ici la fin de l’année, la fonction « double-sens » sera encore appliquée sur deux autres radars dans le département.

 

L’équipe masculine de Floorball de Besançon, Les Dragons Bisontins, disputera le 28 mai prochain la finale de Division 1 de la discipline. Les Francs-Comtois affronteront Paris. La compétition se tiendra à Rouen.

Pour décrocher le fameux sésame, les Bisontins ont dû éliminer Wasquehal en demi-finale des play-offs. Vendredi soir, ils se sont imposés d’une courte tête (4-3). Lors du match retour, qui s’est tenu le lendemain, la formation a conforté son avance en s’imposant sur le score de 11 à 8. Sur l’ensemble des deux matches, les Dragons Bisontins devancent leur adversaire. Score final (15 à 11)

Ce matin, vers 9h, le chauffeur d’un poids-lourd a perdu le contrôle de son véhicule qui a fini sa course en travers de la voie des Mercureaux à Besançon. Ce qui a créé d'importants embouteillages. Les gendarmes se sont rendus sur place.

Merci à Yohan pour cette photo.

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Dans le cadre de sa formation en arts plastiques, une classe de 1ère littéraire du lycée Xavier Marmier propose une exposition inédite intitulée « déconstruire le support Â» au Musée Municipal de Pontarlier. Pour mener à bien ce travail, les jeunes ont travaillé avec Mr Tritarelli, le professeur de la discipline, et Mme Mansuy, la directrice du Musée.

Cette exposition s’inscrit dans le cadre d’un projet artistique mis en place par les Ministères de la Culture et de l’Education. Le concept pédagogique reposait sur la capacité des jeunes à analyser une Å“uvre pour ensuite la transformer, tout en prélevant les éléments qui leur semblaient significatifs. Savoir s’approprier une Å“uvre tout en s’en démarquant. Dans un premier temps, il a fallu observer, analyser et décortiquer quelques toiles avant de se lancer dans ce projet artistique personnel. Ainsi, L’Infante de Charles-Louis Müller, Le Paradis perdu de Gustave Courtois, L’Autoportrait de Gustave Courbet, Le Dégel sur le Doubs d’André Roz, et bien d’autres encore ont été revisités, réinterprétés, recadrés, décadrés, déployés… au gré des idées et des inspirations de chacun. « Tout d’abord, ce travail nous permet de voir comment fonctionne un musée, à travers son organisation et ses exigences. Ca apporte aussi une certaine contrainte. On est un peu plus sérieux que quand on réalise nos Å“uvres en cours» explique Alice. « C’est intéressant d’exposer une Å“uvre pour pouvoir montrer son travail. C’est important de ne pas le faire que pour soi. Savoir parler de son travail, ça nous aide aussi avant l’épreuve du bac Â» précise Justine. Isaac expose pour la première fois. « C’est une nouvelle expérience. On ne cherche pas qu’à se faire plaisir, on travaille aussi pour le grand public. Tout en proposant quelque chose qui colle à notre image Â». Enfin Benjamin y voit « une dimension plus professionnelle Â». « Beaucoup de personnes verront notre travail. Des contacts avec des experts, dont le regard est intéressant, sont toujours possibles» ajoute-t-il.

S’inscrire dans une démarche professionnelle

Inutile de préciser que ces 22 élèves de 1ère ont pour projet d’exercer une activité professionnelle dans le domaine artistique. Pour Alice, cette option était une évidence. « C’est la meilleure formation du lycée pour intégrer une école d’art» explique-t-elle. Justine ne sait pas encore ce qu’elle fera à la fin de ses années lycée. Une chose est certaine, cette littéraire apprécie énormément de pouvoir enrichir sa culture générale, en attendant de trouver définitivement sa voie. Chez les garçons, Isaac, qui entend rejoindre également une école d’art, profite pleinement de tous les enseignements théoriques et pratiques qui lui sont dispensés. Quant à Benjamin, il veut travailler dans le cinéma, et plus particulièrement dans la réalisation. « J’ai choisi cette option pour pouvoir jongler avec différentes matières comme l’architecture, la sculpture, l’image et la photographie Â» conclut-il.

Dans quelques jours, le 21 mai prochain, le groupe aura plaisir à vous accueillir au Musée Municipal de Pontarlier lors de la Nuit des Musées. Un moment privilégié pour échanger avec ces jeunes sur leurs créations et leur passion.

L’exposition est à découvrir jusqu’au 30 mai au Musée municipal de Pontarlier.

Ce week-end, environ 1500 teuffeurs se sont rassemblés à Grosbois, près de Baume-les-Dames, à l’occasion d’une free party, qui s’est tenue illégalement dans une prairie. Cette manifestation a rassemblé un très large public venu de France et d’ailleurs. Rencontre avec un organisateur de free party et bénévole ce week-end dans le Doubs.

Ce jeune homme, qui souhaite rester anonyme, se félicite du déroulement de cette manifestation. « Nous revendiquons des droits d’autonomie et à la fête libre «  explique-t-il. Et d’ajouter : « Nous avons montré notre capacité à savoir organiser des évènements. Nous avons accueilli plus de 1500 personnes sans avoir à déplorer d’éléments graves. Certes, les pompiers sont intervenus à quatre reprises mais j’estime que c’est très peu par rapport à la fréquentation réalisée. Et ce, sans aucune règle de l’Etat ».

« On cherche la légalité Â»

Il est reproché aux organisateurs de ne pas jouer franc jeu lorsqu’ils démarchent les propriétaires d’un terrain pour s’installer. A Grosbois, l’organisation d’un anniversaire pour une cinquantaine de convives s’est transformée en une méga teuf de 1500 personnes. « Â« Si nous rencontrons un propriétaire ou un élu et lui expliquons que nous souhaitons organiser une free party d’environ 500 personnes, il nous regarde avec des gros yeux et refuse notre demande Â» explique notre interlocuteur. Et de poursuivre : « Néanmoins, nous recherchons la légalité. Si on ne trompe pas les autorités, nous n’avons pas nos autorisations Â».

« Une grosse soirée Â»

Ce bénévole tient à saluer l’équipe qui s’est chargée de l’organisation de cet évènement. « Je leur tire mon chapeau parce qu’ils nous ont organisés une grosse soirée. Ils ont fait bouger du monde Â» commente-t-il . Et de conclure : « Ce genre de manifestation demande une grosse organisation. Contrairement à ce que beaucoup de personnes pensent. Ce n’est pas juste qu’une pile de caissons que l’on empile dans un bois ou au milieu des champs. C’est une logistique qui demande plusieurs mois d’organisation, voire quasiment une année pour certaines. C’est quelque chose qui nous prend du temps et de l’argent. Qui demande beaucoup d’investissement Â».

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